merci a toi nonosse j ai compris pleine fenetre bord zenith …
cours sur l'approche en mini voile à planfait ( annecy ) / PTU
Bah si:
[quote=""]
Bah si:
okay. bien vu.
effectivement sur les 5 pages de ce fil y a pas mal d’approx. et d’erreurs …
j’espere que ce n’est plus le cas dans le recap 
Là où je diffère, c’est quand on dit qu’on continue à voir la ligne médiane du terrain sous 45° lors de la vent arrière. C’est impossible si tout à la fois on descend (ce qui est assez inéluctable et même le but recherché) et qu’on fait la vent arrière sous forme d’une parallèle à cette ligne médiane sans s’en rapprocher (ce qui me paraît assez souhaitable). Cet angle diminue sans cesse en se rapprochant de 0, c’est sa variation et son passage sous un certain seuil qui va déclencher la prise de décision de terminer l’approche par l’étape de base puis la finale.
Yes, tu a tout compris sauf ce point particulier, cité ci-dessus.
Effectivement si on considère le cas général ou l’on descend doucement (vent de cul = finesse améliorée) dans la branche vent arrière, on ne peut évidemment pas faire cette dernière parallèlement à la médiane du terrain (médiane qui est sensée être l’axe de la finale puisque au milieu du terrain) Du moins au-delà de la 1ère moitié de la longueur de la branche vent arrière puisque dans la 1ère moitié en volant parallèle à l’axe médian on se rapproche en distance du point de visée qu’on situe généralement en milieu de l’axe médian (axe de finale) et la diminution de distance horizontale compense (parfois en excès) la perte verticale.
En fait, l’idée est après cette 1ère moitié de branche arrière de converger vers cette médiane de façon à respecter notre valeur approximative de 45°. Car pour la sécurité dans le respect du point de visée à 45°, une finesse de 1 serait toujours (il s’entend ; dans des conditions normales de pratique) suffisante pour atteindre le dit point de visée.
Donc en commençant l’étape de base à 45° visuel du point de visée sous le vent de ce point de visée mais, et c’est le point déterminant de la méthode, nous devrions, dans les conditions aérologiques admises plus haut (Tx de chute normal), être et plus bas et plus prés de notre point de visée au moment de passer en étape de base.
La décision de se mettre en étape de base se prend avant tout par rapport à la hauteur restante et pas forcement au point théorique de croisement "branche vent de cul/2èm diagonale, car.
Ce n’est que si la perte d’altitude s’est faite au bon endroit, ce n’est que si la décision de partir en branche vent arrière est intervenue au bon moment, ce n’est que si la branche vent arrière s’est vue faite en respectant tout ce qui à déjà était dit à ce propos.
Ce n’est donc que si tous ces SI se sont vus respectés que le passage en étape de base se fera approximativement au dit croisement "branche vent de cul/2èm diagonale.
Je mets sciemment “approximativement” pour rappeler que le parapente est du vol à vue et que toutes nos décisions se veulent empiriques et qu’elles n’auront jamais une précisions calculée par une machine. J’espère bien que personne ne fait sa prise de terrain en suivant pour cela les indications de son altimètre et/ou GPS.
c’est l’étape de base, en la prolongeant ou en la raccourcissant au besoin, qui est là pour ajuster finement notre altitude d’entrée en finale.
La finale est là pour nous laisser le temps de préparer le posé. Si en finale on est encore obligé de prendre des virages c’est que l’on a mal exécuté tous ce qui précédait (approche, perte d’altitude, branche vent arrière, étape de base).
Pour résumer :
-
le positionnement dans la zone de perte d’altitude sert à perdre de l’altitude tout en prenant conscience de la force de vent et se mettre à 45° de notre point de visée (+/- milieu du terrain d’attero) pour partir en branche vent arrière. On a encore la la possibilité si le vent tournait de changer notre prise de terrain pour garantir un posé face au vent.
-
la branche vent arrière permet d’affiner la perception de la force du vent et permet de se positionner au mieux pour l’étape de base en se rapprochant ou s’écartant des limites du terrain (et donc de l’axe médian du terrain qui représente l’axe idéal pour la finale)
-
la finale idéale (réussie) se fait en ligne droite pour éviter roulis et tangage, avec une prise de vitesse pour se protéger de l’éventuel gradient et garantir l’énergie nécessaire à une ressource.
A force de répéter est-ce que l’on arrive à convaincre ? NON !
Mais à force de tenir les mêmes propos en essayant de mieux les expliquer, en essayant de comprendre pourquoi les autres ne vous comprennent pas, je me dis que là peut-être pourras t-on trouver une explication claire de la PTU qui permettrait à ceux qui n’ont en pas l’habitude de s’y essayer.
En relisant les derniers post je me dis que l’on est pas si loin d’un consensus et que si le post de Hub de 14h12 va à tous le monde il me va aussi.
Je rajouterais que le mieux pour ceux qui n’aiment pas faire de PTU. Serait qu-ils se posent juste la question si ce n’est pas parce-qu’ils ne savent pas la réussir correctement ? (pas besoin de répondre nominativement)
Maintenant s’ils se répondent silencieusement OUI à eux même et que si avec tous ce qui s’écrit dessus ne sont toujours pas convaincus d’avoir compris comment la réussir. Le mieux c’est de se payer quelques atterrissages avec PTU sous contrôle pédagogique d’un vrai moniteur (fédéral ou pro)
Finis, promis-juré, je n’interviendrais sur ce fil. Si j’ai su intéressé tout de même quelqu’un sans le fatiguer, on peut continuer en MP sur le sujet.
Salutations,
Salutations
A force de répéter est-ce que l’on arrive à convaincre ? NON !
bon pas forcément! (en dehors de “oui dans la pratique réelle faut ajuster, s’adapter …” etc)
notamment parce que tu rajoutes des “SI”, plutot que de clarifier comment caler ta PTU proprement.
et que tu es d’accord avec Hub, “SAUF” …
bon.
et là:
- cette histoire de branche VA qu’"on ne peut évidemment pas faire … parallèlement à la médiane du terrain ",
c’est quand meme une contradiction avec la définition même d’une branche VA ?? Une PTU propre c’est 2 virages a angle droit !!
donc okay, on peut dire que ce que tu appelles “1ere moitié de branche VA” c’est une espece de transition entre ZPA et le plan de visée; pourquoi pas. mais pourquoi ne pas caler directement ton arrivée dans ce plan de visée, plutot que cette liste de “SI” ?
finalement je me demande même si y a pas une typo là:
"en commençant l’étape de base à 45° visuel du point de visée sous le vent de ce point de visée "
(un schema ne ferait pas de mal
)
- tu utilises la notion de “diagonale” (point théorique de croisement "branche vent de cul/2èm diagonale ), sans définir clairement quelle forme a ton terrain (carré? rectangle ?), ce qui ne permet donc pas de situer ou tu mets précisément tes virages;
en tout cas, je comprends que la construction geométrique (basée sur un simple triangle isocèle),
n’a toujours pas l’air si claire pour tout le monde :roll:
c’est finalement peut-etre ca la réponse à pourquoi bcp disent que la PTU n’est pas vraiment enseignée en init 
Y’a rien qu’a voir le fil sur la PTU… Franchement avec tous les essais d’explication point par point de ce qu’il FAUT faire, un débutant qui lit ça et qui essaie de l’appliquer, …
:canape:
… je pense qu’il a 9 chance sur 10 de faire un hors terrain ou de se bouffer une haie.
“ou” ? ca voudrait dire que la haie n’est pas “hors terrain” ? :banane:
bon, plus pragmatiquement, merci pour ce feedback 
qui confirme le pb d’assimilation d’une PTU en init … et aussi par la suite :grat:
Non, non je dis pas que la PTU est une méthode difficile à assimiler, je dis qu’a vouloir trop “codifier” et décrire une approche on la rend au final encore plus incompréhensible.
Quand tu es débutant, tu as besoin effectivement d’un cadre. Par exemple, ma copine avait la trouille au début pour poser et ne savait pas à quel moment partir en branche vent arrière. Je pense que si elle avait lu ce genre de fil, elle aurait fait une syncope et aurait encore plus stressé.
Pour la rassurer je lui ai montrer un arbre d’environ 10-15m à planfait et je lui ait expliqué que tant qu’elle était à 3-4x la hauteur de l’arbre elle faisait de la perte d’altitude au vent du terrain, ensuite branche vent arrière et à 2x la hauteur elle se met en étape de base. Quand elle arrive à la hauteur de l’arbre il est temps de se remettre face au terrain et zou… Elle a jamais loupé un attéro depuis.
Non, non je dis pas que la PTU est une méthode difficile à assimiler, je dis qu’a vouloir trop “codifier” et décrire une approche on la rend au final encore plus incompréhensible.
Quand tu es débutant, tu as besoin effectivement d’un cadre. Par exemple, ma copine avait la trouille au début pour poser et ne savait pas à quel moment partir en branche vent arrière. Je pense que si elle avait lu ce genre de fil, elle aurait fait une syncope et aurait encore plus stressé.
Pour la rassurer je lui ai montrer un arbre d’environ 10-15m à planfait et je lui ait expliqué que tant qu’elle était à 3-4x la hauteur de l’arbre elle faisait de la perte d’altitude au vent du terrain, ensuite branche vent arrière et à 2x la hauteur elle se met en étape de base. Quand elle arrive à la hauteur de l’arbre il est temps de se remettre face au terrain et zou… Elle a jamais loupé un attéro depuis.
tout à fait, simplement des repéres simples au départ pour aider et aprés elle se fera une idée d’elle même de la hauteur et de la prise de décision pour commencer sa prise de terrain
Le seul problème, c’est que ce genre de repères, ça marche vachement bien… tant qu’on pose toujours sur le même terrain (au moins durant la phase d’apprentissage, avant que les repères et trajectoires deviennent une seconde nature).
Non, non je dis pas que la PTU est une méthode difficile à assimiler, je dis qu’a vouloir trop “codifier” et décrire une approche on la rend au final encore plus incompréhensible.
Quand tu es débutant, tu as besoin effectivement d’un cadre. … Elle a jamais loupé un attéro depuis.
D’accord avec toi, En tant que defenseur de l’intérét de la PTU, j’ai sans doute trop blablaté pour essayer de l’expliquer alors que je n’ai pas les compétences pour cela.
A ma défense, plus d’une fois il me semble j’ai invité à aller l’assimiler en stage sous le regard et après explication d’un moniteur compétent.
Salutations,
De toutes façons en phase d’apprentissage, normalement tu es censé voler en air calme avec peu de vent et une finesse qui est à peu près constante.
Les monos te donnent donc toujours des repères sol, genre une fois au dessus de la cabane vous faites virage gauche 90° puis ensuite virage gauche à tel endroit…
C’est obligé, tu peux pas enseigner la théorie des angles et des droites à un élève qui n’a jamais volé.
La difficulté c’est sur, c’est la phase ou tu deviens autonome et ou tu vas voler sur site inconnus et qu’il faut développer sa capacité à savoir à quel moment il faut se mettre en finale
bon ben voilà un fil de bon aloi
:forum:
clairement les reperes visuels sont plus sympas et rassurant que les angles et les carrés.
d’aileurs les caps en général, c’est “le petit port”, “la pente école”, 'l’eglise" …
mais comme dit Hub ou kaiser (ou moi), après faut pouvoir se projeter sur différents attéros, et s’ajuster au conditions de vent.
ce qui est marrant c’est qu’en regardant de plus près, on voit que l’appréciation des hauteurs peut être assez subjective (meme si l’essentiel c’est que ca marche) :
… un arbre d’environ 10-15m …
… à 2x la hauteur elle se met en étape de base.
… à la hauteur de l’arbre il est temps de se remettre face au terrain
ca fait une étape de base ou tu bouffes 10-15m de gaz … donc >70m ! pour Talloires c’est bcp non? :grat:
Ce qui est marrant Py, c’est ta promptitude à te sentir obligé de rajouter un petit détail à tous les post d’autrui sur ce fil qui parle de PTU.
La géométrie c’est pas top, les amers non plus (je parle pas du Picon-bière)
Sans doute la PTU te pose vraiment problème, laisse toi aider, il n’y a pas de honte à cela !
Et tu verras comment une fois apprise dans les règle elle te semblera intéressantes et utiles.
Je sais, je sais j’avais dit que je n’interviendrai plus sur ce fil mais que veux-tu, je dois être un peu comme toi … Ah non, je sais faire une PTU.
Salutations,
ca fait une étape de base ou tu bouffes 10-15m de gaz … donc >70m ! pour Talloires c’est bcp non? :grat:
Hé hé hé. Et bien non! Elle va dégrader dans chacun de ses virages… Tout est sous contrôle :mrgreen: :mrgreen: :mrgreen:
Par contre comme l’a fait très justement remarquer Hub, ça ne marche que sur un terrain. Mais comme à chaque nouveau terrain ou elle va poser (car on est sensé aller repérer tout nouvel attéro avant de voler, hein?
) je lui ai refais un briefing avec ce que je trouve (pour Doussard la salle polyvalente au bord du terrain, pour Bourg St Maurice, une rangée d’arbres) y’a jamais eu de soucis. Maintenant, no fear et elle me bousille en précision maintenant!
Maintenant, no fear et elle me bousille en précision maintenant!
eh eh, l’éléve a dépassé le maître 
Allez, je relance le fil sans mollir.
L’atterro de Planfait est un piège, c’est piégeux et plein de pièges divers, qui varient selon l’aérologie du moment. Je m’y pose plus de 200 fois dans la saison et ce n’est vraiment franc qu’une fois sur deux.
Quand il n’y a aucun vent ou une bonne brise du lac, tout va bien. Quand ce n’est pas franc, que les biroutes se contredisent, qu’il y a des déclenchements thermiques, que cela peut passer cul en quelques secondes, c’est une vraie vacherie ce terrain… qui de plus n’est pas plat du tout, avec un creux marqué côté Annecy barré au bout par la saillie du chemin d’accès.
La raison : il est sous le vent d’une butte et d’un ensemble de maisons.
Il y a un atterro de secours de l’autre côté de la route qui va à Menthon, encore plus moisi parce que sous le vent d’un massif forestier.
La pire vacherie de cet atterro, c’est la cible placée au centre géométrique : si on se règle pour mettre les pieds dedans, pour se la péter, et qu’on prend une bulle, on a déjà “bouffé” les 3/4 du terrain et on a repris du gaz, on est mal… si on prend une 2ème bulle et que cela passe cul, c’est le vrac.
Si on se présente à plusieurs et qu’il y en a un qui déconne, les taupes ont du souci à se faire.
En général, je vise l’entrée du terrain, après la maison du plombier, pour éviter de me faire piéger par les gags connus, tant pis pour la cible. Pas de PTU ni de PTS, mais plutôt une PTA (prise de terrain adaptée). Par vent assez fort ou travers, on approche en crabant et on se met face au vent juste au moment de poser. Les biroutes étant aussi franches qu’une promesse électorale, c’est la meilleure façon de ne pas faire de cratère.
Le matin, avant la brise, on pose en général face à Doussard dans du tout petit voire du nul, là on peut faire la cible. L’approche au ras des toits avec une mini n’est pas vraiment géniale mais cela se gère bien.
Avec une mini-voile, tout est plus compliqué à cause de la vitesse mais bof, on s’y fait. Il m’est arrivé une fois d’être scotchée bras hauts avec l’Awak, juste en entrée de terrain, et de descendre verticalement dans du foin sur pied, c’est doublement désagréable : un hors-terrain en public et un pot à payer à l’agriculteur.
Les PTU, PTS, PTx etc, cela va bien pour guider des débutants, cela leur occupe l’esprit en gérant leur stress. Quand on vache, sans biroutes sur un terrain inconnu, il n’y a pas de PTmachin qui tienne. Alors on oublie les cours du stage init et on gère nos posés en fonction du terrain et des conditions. Je connais très peu d’atterros francs comme Doussard et Lumbin, beaucoup d’atterros “délicats” et quelques uns vraiment très moisis. Cela dit je n’ai volé que sur 35 sites et vaché à peu près autant de fois, mes statistiques sont donc à relativiser.
Salut et fraternité*
pob
Les PTU, PTS, PTx etc, cela va bien pour guider des débutants, cela leur occupe l’esprit en gérant leur stress. Quand on vache, sans biroutes sur un terrain inconnu, il n’y a pas de PTmachin qui tienne. Alors on oublie les cours du stage init et on gère nos posés en fonction du terrain et des conditions.
Pourtant c’est dans ce genre de conditions qu’il est important de reprendre les bases de construction d’une approche. Sur un attéro inconnu il est primordial de ne pas improviser sous peine de se louper un jour ou l’autre.
Contrairement à de ce que tu dis, sur une vache ou un terrain pourri, je reprend les bases “cucu concon” de mes premiers cours de delta d’avant guerre
. Une PTS ou une PTU en fonction du terrain avec des étapes bien marquées qui me permettent de me concentrer sur mes repères sans avoir à improviser la prochaine manoeuvre. C’est peut être pas super fun, mais c’est efficace !
De plus, sur un terrain hyper fréquenté comme à Annecy, il est important pour la sécurité de tous que nos manoeuvres soient prévisibles par les autres pilotes.
De plus, sur un terrain hyper fréquenté comme à Annecy, il est important pour la sécurité de tous que nos manoeuvres soient prévisibles par les autres pilotes.
Ouaip, c’est très juste, mais il y a un détail qui les met dans le vent : la vitesse des mini-voiles en général et de l’Awak en particulier. C’est comme ça que je me suis fait planter vilain par un biplaceur, qui me connaît bien et qui m’avait vue, mais qui a affalé sa voile pile dans ma trajectoire au moment où je faisais mon arrondi.
Il m’a dit ensuite qu’il n’avait pas remarqué que j’avais une Awak et qu’il me croyait déjà posée. Bon, c’est un copain et je ne m’étais pas fait mal, mais avouez que pour changer de trajectoire et donc choisir de se poser en vrac dans un trou de souris entre la clôture et un biplace au sol, il faut avoir des nerfs solides.
45 ans d’automobile, 40 ans de moto : si j’avais fait confiance aux autres, il y a belle lurette que j’aurais un petit jardin sur le ventre. En parapente c’est pareil, je ne fais confiance à personne et je gère les autres en étant prête à les voir faire une connerie. Voler avec une mini-voile dans le trafic, c’est comme avec une moto parmi les voitures : on va plus vite et les gens peu attentifs peuvent être surpris, donc il faut se méfier de tout et de tous et anticiper davantage tous leurs mouvements. C’est épuisant pour les nerfs.
Quand c’est un pilote de compète en fin de formation BE qui me plante avec son biplace, je me dis que ma méfiance n’est pas absurde. Je pense que tous les pilotes volant avec des voiles rapides font comme moi : on s’occupe surtout de ceux qui sont devant en veillant à ne pas gêner les autres, donc en construisant une approche et une prise de terrain propres, pour ne pas encadrer ceux qu’on va rattraper… en leur laissant la possibilité de faire une erreur, donc en prenant de la marge.
L’atterro de Planfait a quand même un avantage, du moins quand les foins sont faits : en cas de gros souci, on peut faire un hors terrain en toute sécurité dans un des prés alentour. J’ai vu des gugusses aller se mettre tout seuls dans des arbres, des clôtures, des jardins, des talus, par conditions aérologiques calmes et parfois en guidage radio. Cela me stupéfie toujours.
Salut et fraternité*
[quote=“Paragliding old bag,post:144,topic:37742”]
Comme dit patrick, raison de plus pour faire une belle PTU plutôt que d’improviser une “PTMachin” … 