ça ce n’est pas de la tolérance la frustration… c’est de l’évitement
petit scarabée
Le niveau suivant, c’est le détachement :ange:
C’est une thérapie de l’on gagne à pratiquer en groupe, tout aussi bien sur les déco que les atterro
Sur ces derniers, concentrez vous sur l’anticipation des ratés et autres événements préoccupants, souvent prévisibles plusieurs dizaines de secondes avant que les ailes n’aient touché le sol
Efforcez-vous de devinez les trajectoires, les réactions des pilotes, les points d’aboutissement…
Arrêtez quand vous sentez que vous risquez de dépasser la dose médicale, avant la nausée…
Il est possible qu’intervienne alors un carton plus grave que les autres et que vous l’ayez prédit
Ne jurez pas alors en pensant qu’il n’y a rien à faire
Regardez rapidement autour du lieu prévu du crash et voyez s’il est encore temps d’écarter des spectateurs qui pourraient être impactés par l’infortuné(e) pilote
Expérience vécu à Luchon tu temps où l’on atterrissait près du centre ville : ne pouvant écarter enfants et poussette, j’ai agité les bras au dessus de ma tête, attirant le pilote paniqué par une inversion de la brise prés du sol - il m’a vu et pris comme point d’aboutissement pour impacter, toujours dans la haie mais quelques dix mètres à l’écart et donc sans risquer de percuter avant les enfants
Veuillez croire le “vieux” pilote : ce traitement fait un peu mal ou début mais c’est bon pour nous


