le prix de l'essence

ca t’apporterai pourtant une crédibilité et rendrais ta future école / structure incontournable et te permettrais de t’impliquer avec une légitimité dans la future fédération du vol libre algérien que vous voulez créer pour sortir de la tutelle de la fédération algérienne de sports aériens.
j’ai lu un peu le livre d’or de skidda parapente, et j’ai bien l’impression que c’est de ca qu’il s’agit. il y a une querelle au sujet de la maitrise (et donc des revenus associés) de la filière séjour à thème orienté parapente en algérie.

:coucou:
Merci Stephson pour tes encouragements bah le BE pourquoi pas, je vois que tu suis le sujet et cela est tout a ton honneur ,cela me reconforte et me conforte j’espere mener a bien mon projet mais j’ai une famille dons quand je te dit que je pars bientot se seras dans 2 ou 3 ans .Je suis en bons termes avec la fédé et autres assoc’ mais le souci c’est la mentalité sur place l’apatie et l’ignorence en general
Connais tu d’autres algeriens qui pratiquent? karma+

“I pity the poor immigrant
Who wishes he would’ve stayed home,
Who uses all his power to do evil
But in the end is always left so alone.”

C’est chanté par Joan Baez et Bob Dylan, 2 méchants blancs occidentaux (si j’ai bien compris :mrgreen: :wink: ).
En plus américains, quelle horreur (selon certains critères à la mode, et toujours si j’ai bien compris :mrgreen: :wink: ).

http://www.youtube.com/watch?v=LXDEfxff_RE

Confessions of an Economic Hit Man, traduisez par “Confessions d’un tueur à gage économique”
http://www.infoguerre.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=893&Itemid=10

L’auteur définit les « Economic hit men (EHMs) », dont il fait partie, comme étant des professionnels très bien rémunérés dont la mission consistait à capter les fonds de la Banque mondiale, de l’USAID et des autres organisations d’aide au développement pour les dérouter vers des multinationales.

Retranscription d’une interview de John Perkins
http://www.legrandsoir.info/article.php3?id_article=2816

avoir ton BE ou en être proche, même si ce n’est pas nécessaire en algérie te confortera fortement dans ton projet la bas. tu auras une capacité prouvée à enseigner.

est ce que je connais des parapentistes algérien :grat: heu je ne sais pas. peut etre des fils d’algériens nés en France c’est probable je pense. mais comme je demande pas forcément ses papiers à toutes les personnes d’origine supposées maghrébine que je connais :wink: je ne serai pas dire si ils sont tunisien / marocain ou algérien (je sais que ce n’est pas la même chose et que entre eux ces 3 pays nous :tomate: quand on dit que vu d’ici c’est pareil la bas (ben quoi, il y a la mer, du sable du soleil et des dattes :mrgreen: )).

Pour en remettre une couche sur les énergies et le climat il y a cette conférence (1h45) de Jean-Marc Jancovici (devant des cadres dirigeants de la SPIE) très intéressante car elle remet en perspective des idées débitées isolement sur les énergies et le (coût du) changement climatique, la croissance, le PIB…
Le tableau d’ensemble est bien sûr celui de son auteur, le point de vue est donc évidemment subjectif…à vous de voir si cela vous parle:
http://storage02.brainsonic.com/customers2/entrecom/20080227_Spie/session_1_fr_new/files/index.html

D’autres ressources que je n’ai pas encore consulté:
http://www.manicore.com/documentation/environnement_prospective.html

Ouaip, il donne envie de signer la pétition ton lien hervé…

http://www.avaaz.org/fr/islands_climate_warning/?cl=125369240&v=2128

Environnement - La révolution de la voiture

Louis-Gilles Francoeur
Édition du samedi 22 et du dimanche 23 novembre 2008

Mots clés : Pierre Langlois, Rouler sans pétrole, Automobile, Livre, Québec (province)

Une revue critique en profondeur des technologies de motorisation et des filières énergétiques

Avec Rouler sans pétrole, qui vient de paraître aux Éditions MultiMondes, le physicien Pierre Langlois déchire le rideau de la méconnaissance pour faire apparaître un fait troublant: la révolution de la voiture électrique est déjà un fait technologique accompli.

Et ce n’est pas le marché qui ne suit pas, car les consommateurs réclament déjà des voitures moins énergivores. La réalité est beaucoup plus sinistre: la transition vers des véhicules moins énergivore est d’abord bloquée par des constructeurs automobiles qui ne veulent pas perdre le marché lucratif des pièces de rechange, lequel disparaîtrait en grande partie avec des véhicules nécessitant pratiquement aucun entretien, et qui verraient la longévité des véhicules augmenter considérablement.

À lire ce livre, troublant à plusieurs égards, on en vient presque à souhaiter que les grands constructeurs actuels passent l’arme à gauche durant crise économique actuelle afin de laisser la place à de plus audacieuses entreprises qui sauront bâtir, avec les travailleurs disponibles, de nouvelles usines et satisfaire dès lors un marché qui ne demande qu’à évoluer malgré la résilience d’un indécrottable segment de dinosaures.

Un livre actuel et unique

Même si le Québec compte au moins trois guides annuels de l’auto, un genre à peu près inconnu ailleurs dans le monde, personne n’avait, en tout cas dans la francophonie, fait un bilan technologique et politique des progrès accomplis en matière de motorisation électrique. Il y avait bien L’Odyssée du transport électrique, de Pascal Griset et Dominique Larroque, publié en 2006 chez Cliomédia en France. Mais ce livre, à distribution restreinte, n’était pas disponible sur le marché, du moins au Québec. Et il a surtout une valeur historique et n’est pas un bilan actualisé.

Par contre, Rouler sans pétrole fait le tour des technologies présentement disponibles, testées et bien documentées, déjà utilisées dans différentes stratégies de motorisation moins énergivores, de l’hybride classique représenté par la Prius jusqu’aux modèles à moteur-roue que Volvo veut mettre en marché dans… 10 ans. Ce constructeur, comme d’autres, veut sans doute rentabiliser encore davantage ses vieilles chaînes de montage plutôt que de prendre tout de suite les devants avec une solution qui est à deux doigts de ce que proposait il y a 15 ans déjà le chercheur Pierre Couture, d’Hydro-Québec. Pierre Langlois consacre d’ailleurs un chapitre à ce dossier pourri qui demeurera un stigmate cuisant dans la réputation d’Hydro-Québec. Selon le physicien Langlois, en abandonnant la mise au point d’un véhicule hybride déjà fort avancée au lieu de limiter le projet à son seul moteur-roue, Hydro-Québec a fait rater au Québec la chance de prendre la tête du futur marché mondial de l’automobile avec une solution de 20 ou 30 ans en avance sur son temps.

Le physicien Pierre Langlois, qui a déjà remporté plusieurs prix avec d’autres ouvrages de vulgarisation scientifique, aborde aussi de façon très critique les filières de l’hydrogène et des biocarburants, qui bénéficient elles aussi de progrès importants. Comme l’hydrogène n’existe pas à l’état naturel, elle doit être produite avec d’autres filières énergétiques, certaines plus énergivores et polluantes que d’autres: danger. Pierre Langlois estime plus réaliste d’augmenter l’efficacité des hybrides actuelles ou de produire massivement des tout-électriques déjà capables de répondre aux besoins de la majorité des consommateurs urbains. En optimisant les techniques disponibles on pourrait, démontre-t-il facilement, réduire la consommation de pétrole des voitures de 75 à 80 % avec des solutions déjà éprouvées.

Progrès

Les progrès accomplis dans le stockage de l’électricité, principalement avec les piles lithium-ions, explique le physicien, permettent déjà à des voitures, des autobus, des motos ou scooters et même à des camions de livraison ou de long cours de parcourir des distances qu’on pensait réservées, il y a 10 ans, uniquement à des moteurs conventionnels. Déjà, les diesels produits massivement en Europe permettraient des économies de 15 à 30 % si seulement les constructeurs, comme Volvo, rendaient disponibles ici les modèles qu’ils vendent depuis des lunes en Europe.

Pierre Langlois aborde avec un oeil tout aussi critique la production des biocarburants qui risquent de provoquer une crise alimentaire mondiale si les champs alimentent de plus en plus les voitures plutôt que les humains pour faire des profits. Certes, il y a d’autres filières comme la biomasse, mais ce n’est pas celle que privilégient dans les faits les gouvernements, beaucoup plus intéressés à séduire les électeurs du monde agricole qu’à protéger la biodiversité…

Rouler sans pétrole est tout cela: une revue critique en profondeur des technologies de motorisation et des filières énergétiques, qui remet en question la courte vue de nos politiques publiques et corporatives. Un livre essentiel pour voir venir et accélérer le changement.


Rouler sans pétrole

Pierre Langlois

Éditions MultiMondes

Québec, 2008, 294 pages

:coucou:

petit message inutile pour dire que je suis content … hier j’ai fais le plein à moins d’1€/l de mazout (0,999€, les matheux-puristes et les marketeurs apprécieront la précision)

Où ça ???

leclerc ZA du chapotin (région lyonnaise :stuck_out_tongue: )

Grrrrrr je déteste LYYYYYYYYYYYYYYYOOOOOOOOOOONNNNNNNNNN :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil: :evil:

1.02€ pour le gazole pour moi aujourd’hui à Esso à Rennes.

:grat: J’ai fait le plein aussi hier mais j’étais encore bien au-dessus de ce prix. :frowning:
D’ailleurs, d’après http://www.prix-carburants.gouv.fr/index.php il n’y a rien de tout proche à moins de 1€ le gazole… :frowning:

En savoie c’est pire, aucune station n’a osé proposé ce prix.

ce n’est pas étonnant.
certaines villes sont bien plus accessibles que d’autres.
et la savoie, c’est comme les vosges, dés qu’on monte un peu, ca devient hors de prix.

par contre, ca ne m’étonnerait pas qu’ils ne se soient pas mis à jour, vu que je ne retrouve pas la pompe à 1.02 d’aujourd’hui sur rennes :grat:

Le plein à 0.93 cts le litre de 95 à Bettembourg,c’est au LUXEMBOURG.
En SUISSE c’est combien les frontaliers ?

heu je ne suis pas ça au jour le jour vu que des fois il se passe un mois sans que je fasse le plein, mais je crois qu’il y a des stations à CHF 1,46 le SP95, soit EUR 0,95
Le diesel aucune idée, de toute façon il est plus cher et ça n’intéresse personne ici (et ils ont bien raison :mrgreen: )

Oui, dans le Jura elle est à ce prix là mais autour de Lausanne elle est plutôt entre CHF 1,50 et 1,56, me demandez pas en € j’ai la flemme de faire le calcul :mrgreen:

EXCLUSIF Le rapport enterré qui accable la voiture électrique

Publié le 03/12/2008 à 14:07 - Modifié le 03/12/2008 à 16:34 Le Point.fr
Par Patrick Bonazza

juju ca fais 1euro 1euro04…

chez moi 0.99EURO et max en station normal 1.15euro

ca change un peu…