vous me reprochez de ne pas être productif
je ne vois pas bien ce que vous apportez pour l’instant de plus que ca :
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"5.6.2. REMISE EN QUESTION
Dans sa pratique monoplace, le pilote “s’arrange” inconsciemment avec “sa technique”. Celle-ci
diverge peu à peu de celle de ses premiers apprentissages :
- Précautions et procédures préalables au décollage parfois amputées ou escamotées (visite prévol,
choix de l’endroit, des conditions, du moment, actions vitales, temporisation contrôle)…
- Course souvent “mangée”, rattrapée par le jeu de l’incidence aux freins, d’où incidence variable au
décollage,
- Installation prématurée dans la sellette,
- Conduite du vol “égoïste”, marge de sécurité étroite,…
- Atterrissages à demi construits, à demi réussis,…
- Finales écourtées, arrondis trop bas,…
- Freinage indécis, imprécis, incomplet, d’où course nécessaire, ce qui sera difficile en biplace…
Soit ce que nous appellerons le “Syndrome du Pilote Confirmé”, expression que nous devons à
Philippe MERMOUX.
La technique devient ici une adaptation tellement personnalisée qu’elle ne répond plus ou peu aux
critères sur lesquels elle s’était fondée. Or le biplace mettra à la loupe toute déficience technique au
décollage et à l’atterrissage notamment, car dans ces deux phases, les exigences vont être plus
rigoureuses qu’en monoplace :
- Course plus longue à faire à deux,
- Contrôle constant d’un appareil plus grand, difficile à rétablir à cause d’une plus grande inertie,
- Atterrissage plus problématique : vitesse, bon moment du freinage,…"
mais vous n’etes qu’au début de votre réflexion et m’étonnerez surement et positivement je l’espère
je ne vois pas en quoi pour vous, à par pour JC qui à bien exprimé ces raisons personnelles, cela implique de refuser d’aller dans une direction différente que je propose
je serais intéressé par votre point de vue