Pas tout à fait,
j’ai 150 vols et 2 secours dans les 100 premiers vols.
référentiels et énergie cinétique (était : Statistiques sur l'usage du secours)
Whoo !
Je laisse les pros réagir.
J’ai sorti le pack de popcorn depuis la presentation de 20h04
Ah ? Euh, d’accord…
File m’en un peu, d’abord…
Ça te fait 1 secours aux 50 vols. Tu es rendu à 150…fait attention à ton prochain vol !
En 2017 sur les 22 accidents mortels en parapente qui ont fait l’objet d’une enquête fédéral, 14 ont eu comme cause initiale une fermeture et pour 5 au moins d’entre-eux, on peut supposer que le lancer du secours aurait donné une chance au pilote pour que l’accident se termine autrement.
Un accident par exemple ; plus de 40" et 400 mètres en auto-rotation avant d’impacter sans lancer de secours, pourquoi ? On ne le saura jamais…
C’est ce qui a motivé la campagne et le slogan “1 tour = secours”
Sinon bienvenu à Upwego en espérant qu’il ai sur le long terme autant de “chance” que M@tthieu.
Si cela ne faisait pas trop morbide, j’oserai l’exclamation "le Roi est mort, vive le Roi ! (M@tthieu se faisait discret/raisonnable ces derniers mois, visiblement la relève est assurée)


Merci pour la bienvenue !
Je ne sais pas qui est M@tthieu mais des potes m’ont baptisés la Chkoumoune… c’était avant que l’un d’eux ne s’enfonce dans un trou où il n’avait aucune chance d’ascendance. A force de rester sur les freins pour pas descendre il a finit en hélico. Au bout de quatre ou cinq tours, et sans jeter son secour, il a réussi à sortir de l’hélico avec une belle abatée droit dans les sapins. Un autre hélicoptère (un vrai cette fois-ci) est venu le chercher… Il allait plutôt bien quand même.
Charognard merci pour ton humour à la shadok !!
Avec les stats mon espérance de vie devrait augmenter.
Le prochain incident devrait arriver vers 300eme vol.
Ce n’est pas que je veuille flooder, mais comme il fait froid en ce moment et qu’on a pas grand chose à voler, il est peut-être bon de rappeller quelques trucs à ceux qui n’ont pas eux la chance de faire secours.
D’abord je l’avait déjà fait en para, et donc ça ne m’inquiétait pas trop.
Ensuite, un secours c’est fait pour servir, pas pour faire joli.
Ca se passe pas toujours mal sous un secours.
A Clessy, assis dans le vent sur mes freins à contempler les copains, un méchant décrochage est venu me réveiller brutament.
D’abord tu comprends rien à ce qui t’arrive, et comme tu essayes par reflexe de te racrocher aux branches imaginaires, tu as une main en l’air et l’autre sous les fesses au moment particulier où la voile va shooter…
Grâve erreur qui te propulse en abatée oblique directement en 3.6 engagé.
Comme l’extérieur ne supporte pas cette accélération violente il se ferme …
c’est con tu peux plus freiner pour sortir …
T’es au dessus de la falaise, des arbres en dessous, et ce n’est plus toi le pilote. Tu fais quoi ?
Règle d’Or, quand c’est plus toi qui est aux commandes, quand t’es incapable TU TIRES LE SECOURS, et c’est tout !
C’était une très bonne idée.
La voile c’est rouverte instantanément,
et comme un beau Spi dans le vent,
elle m’a entrainé vers un champs,
(et non pas dans les arbres) Yes !!
Un simple repliage et une tournée au bar ont été mes seuls frais.
La seconde était à Thollon mais je l’ai raconté par ailleurs. (2000m)Accélérateur à fond pour fuir une déguelante, j’ai contourné une montagne sous le vent durant 3km et quand j’ai tourné et que j’allais déboucher face au vent à 200m du relief… j’ai laissé l’accélérateur… Grosse fermeture et double cravate droite et gauche en bout de plume avec mes deux commandes en suspentes coiffantes. (donc elles passaient au dessus de l’extrados et ressortaient par le bord d’attaque pour ceux qui ne connaissent pas). Départ en 3.6 planete. Quand je tirais ma commande c’est le bord d’attaque qui descendait… 3 tours, 75 mètres perdus sur les sketch, reste 125m => Secour ! Là ca a été sapin, secours déchiré, voile principale intacte posée comme une fleur entre deux sapins. La casse a été limitée.
Ce que je tire de tout ça, à part le secours, c’est qu’on peut se battre quand on est haut. J’ai eu 7 twist à 2500m, (après une légère aspiration dans du +13) la voile en boule, j’ai perdu 500m pour ouvrir, mais il restait du gaz. Pas de probleme.
Quand t’es à 200m, le temps réflexion devient drastiquement plus court.
D’où la règle, est ce que c’est toi qui pilote ? Est ce que tu comprends ce qui se passe ? Est ce que tu maîtrises encore quelque chose ?? Est ce que tu as le temps ???
Alors t’arrêtes de faire le con et tu tires ton secours plutôt que de tirer le diable par queue en espérant (vainement) que tu sois soudain devenu un bon pilote.
Il faut savoir se résigner à tirer son secours.
C’est comme ça.
Quand on est près du sol face à incident violent (qui risque donc de générer un nouveau sketch à la sortie… et il reste peu de hauteur…) ON SAIT OU SAIT PAS !
Mais on fait pas le malin.
Dernier point, la probabilité d’un incident :
J’avais joué une martingale à la roulette en doublant sur rouge à chaque tour, … noir est sorti 12 fois de suite, j’ai perdu 400€.
Alors qui sait, je ferais peut -etre secours à mon prochain vol, moi ou un autre … n’est ce pas Charognard ?? Parait que je porte pas chance
:jump:
Le fils spirituel de Matthieu et Sagarmatha donc… putain vivement la fin de l’hiver.
Intéressante et révélatrice ta comparaison!
La martingale classique que tu as jouée à la roulette est (bien-sûr) perdante: rien à voir avec la chance (malchance en l’occurrence) que le noir soit sorti 12 fois, il DOIT sortir 12 fois à un moment ou à un autre et il sortira. Le fait que tu gagnes presque rien à chaque coup (si mon calcul est bon et si tu dis la vérité, si tu perds que 400 euros en 12 mises que tu as doublées à chaque fois, tu as commencé avec une mise de 400/(2^13-1)=5 centimes d’euros environ, donc tu gagnes à chaque partie 5 centimes seulement!) fait que tu dois jouer un très grand nombre de fois pour gagner quelque chose, et la séquence de 12 noirs a (1/2)^12=1/4000 environ, et une chance sur 4000 c’est pas une proba nulle quand tu joues des milliers de fois! Bref, fallait réfléchir avant!
Pour quitter les maths et en revenir au parapente, ta façon de penser que le tirage du secours est dû à la malchance est du même ordre d’idée que ta martingale. Vu ce que tu racontes et ta façon de pratiquer, tu est 100% sûr de te faire mal très rapidement (si tu connais pas Mathieu, lis au hasard qqs pages de son fil http://www.parapentiste.info/forum/recits/mes-premiers-vols-en-autonomie-t31497.0.html).
Et pourtant, je suis un des premiers à dire qu’il y a une part de chance et malchance dans le parapente, même pour ceux qui font un gros effort sur la formation. Mais là c’est un peu gros quand même.
Samy
:grat: J’ai beau me concentrer, je n’arrive pas à voir en quoi c’est une chance de faire secours ?
De même, je le comprends pas bien ta comparaison entre le Parapente et la roulette. Est-ce que tu pars du principe que la probabilité d’avoir un accident ne relève que de la (mal)chance?
Euhhh… je vole aux freins et Pouf je fini en décro… WHATTT ?? Non mais allo quoi ?
Enfin dsl mais quand je lis ton récit et tes divers sketches en seulement 150 vols, ca fait peur !
Je sais pas si tu es passé par une école ou je ne sais, mais je suis pas certain que ton expérience de parachutisme ne t’aide beaucoup dans le parapente… à part à te donner une confiance erronée en tes capacités ?
Le secours ca se termine pas toujours mal, certes et heureusement, mais ca se termine pas toujours bien non plus !
Pour en revenir au sujet stats sur l’usage secours :
Perso 700 vols et 570heures. 2 grosses frontale dont 1 sortie cravatée ou si j’avais pas réussi à sortir la cravate, j’aurai eu besoin de faire secours.
Bon ton gros vrac c’est un peu différent t’avais 1500m de gaz et apres la frontale ça montait de nouveau tu as eu le temps de gérer comme tu pouvais, le secours c’etait la toute dernière chose a faire.
Ici upwego parle de sketches irrecuperables assez proches du sol pour tirer sans trop analyser.
Oui en effet (j’avais 400m de gaz, pas 1500, mais en effet de quoi voir venir) c’est pas des situations comparables. La je parlais juste de ce que moi j’ai vécu pour alimenter le coté “statistique sur l’usage du secours” qui est l’objet du poste.
Pour Upwego, clairement se faire vraquer proche du sol, le secours rapidement est une bonne option. Je ne critique pas le fait qu’il ai fait secours, mais qu’il se soit retrouvé 2 fois en situations de faire secours si rapidement ! Je connais pas personnellement mais ca m’inspire pas confiance.
Ce n’est pas que je veuille flooder, mais comme il fait froid en ce moment et qu’on a pas grand chose à voler, il est peut-être bon de rappeller quelques trucs à ceux qui n’ont pas eux la chance de faire secours.
D’abord je l’avait déjà fait en para, et donc ça ne m’inquiétait pas trop.
Ensuite, un secours c’est fait pour servir, pas pour faire joli.
Ca se passe pas toujours mal sous un secours.
…
Je ne sais pas quelle est la part de provocation qu’il y a dans ton message, mais cela me rend quand même un peu perplexe ! :grat:
1/ Tu sembles affirmer que le fait de tirer son secours serait un geste relativement anodin et banal qui risque d’arriver de toute façon dans la vie d’un pilote.
Il y a eu sur ce forum des sondages pour savoir qui vole avec ou sans secours et qui a déjà tiré son secours en conditions réelles (hors SIV) et combien de fois.
Il apparaissait (évidemment !) qu’une petite minorité des pilotes (seulement) avaient dû lancer leur secours depuis qu’ils pratiquent et encore moins nombreux étaient ceux qui avaient dû le lancer plusieurs fois.
Il était aussi indiqué qu’un certain nombre de pilotes (comme moi par exemple) volent toujours sans secours (sauf lors de stages encadrés de type SIV, journées “Voler mieux”…).
Je vole pourtant depuis 31 ans, j’ai plus de 1000 vols au compteur et je continue de voler toujours sans secours et sans stress : à chacun sa façon de pratiquer.
2/ Tu écris :
A Clessy, assis dans le vent sur mes freins à contempler les copains, un méchant décrochage est venu me réveiller brutalement.
D’abord tu ne comprends rien à ce qui t’arrive, et comme tu essayes par réflexe de te raccrocher aux branches imaginaires, tu as une main en l’air et l’autre sous les fesses au moment particulier où la voile va shooter…
Grave erreur qui te propulse en abatée oblique directement en 3.6 engagé.
Il serait quand même étonnant que ta voile ne décroche pas si tu es assis sur tes freins dans le vent, n’est-ce-pas ? (il n’y a pas de quoi être surpris).
Gérer une fermeture avec une main en l’air et l’autre sous les fesses, je ne comprends pas non plus : il est évident que la voile va partir violemment en 360 engagés (pourquoi donc chercher exprès les gros ennuis ainsi ?
).
3/ Tu écris aussi :
T’es au-dessus de la falaise, des arbres en dessous, et ce n’est plus toi le pilote. Tu fais quoi ?
Règle d’or, quand ce n’est plus toi qui est aux commandes, quand tu es incapable TU TIRES LE SECOURS, et c’est tout !
C’était une très bonne idée.
La voile s’est rouverte instantanément, et comme un beau Spi dans le vent, elle m’a entrainé vers un champ, (et non pas dans les arbres) Yes !
Je ne comprends pas non plus : tu tires ton secours et la voile se remet alors à voler !
- elle aurait donc sans doute pu revoler sans le lancer du secours ;
- tu as l’air content de la réouverture de la voile alors qu’il faut chercher à l’affaler en cas de secours (risque fort lié à l’effet miroir avec les conséquences potentielles associées). :grat:
4/ Autre citation :
La seconde était à Thollon mais je l’ai raconté par ailleurs. (2000m) Accélérateur à fond pour fuir une dégueulante, j’ai contourné une montagne sous le vent durant 3 km et quand j’ai tourné et que j’allais déboucher face au vent à 200 m du relief… j’ai laissé l’accélérateur… Grosse fermeture et double cravate droite et gauche en bout de plume avec mes deux commandes en suspentes coiffantes. Départ en 3.6 planète.
Contournement de montagne sous le vent pendant 3 km en restant près du relief et on s’étonne d’avoir ensuite de gros ennuis !
Les ennuis graves, apparemment tu les cherches, n’est-ce-pas, et il ne faut s’étonner ensuite de ce qui t’arrive !
5/ Et enfin :
J’ai eu 7 twists à 2500 m (après une légère aspiration dans du +13) la voile en boule, j’ai perdu 500 m pour ouvrir, mais il restait du gaz. Pas de problème.
Il faut savoir se résigner à tirer son secours.
On ne se retrouve pas par hasard dans une ascendance à +13 m/s ( :affraid: ).
Que faisais-tu là-dedans ?
Bien sûr il faut se résigner parfois à tirer son secours, mais si on pilote de façon à ne pas avoir à le faire, c’est quand même beaucoup mieux…
Enfin chacun pratique comme il le souhaite.
Je te souhaite beaucoup de beaux vols sans avoir à tirer ton secours.
Marc
Intéressante et révélatrice ta comparaison!
La martingale classique que tu as jouée à la roulette est (bien-sûr) perdante: rien à voir avec la chance (malchance en l’occurrence) que le noir soit sorti 12 fois, il DOIT sortir 12 fois à un moment ou à un autre et il sortira. Le fait que tu gagnes presque rien à chaque coup (si mon calcul est bon et si tu dis la vérité, si tu perds que 400 euros en 12 mises que tu as doublées à chaque fois, tu as commencé avec une mise de 400/(2^13-1)=5 centimes d’euros environ, donc tu gagnes à chaque partie 5 centimes seulement!) fait que tu dois jouer un très grand nombre de fois pour gagner quelque chose, et la séquence de 12 noirs a (1/2)^12=1/4000 environ, et une chance sur 4000 c’est pas une proba nulle quand tu joues des milliers de fois! Bref, fallait réfléchir avant!
[/quote]
Ton calcul est faux mais tu n’avais pas les bon éléments.
Jouer des milliers de fois des petites sommes ça ne donne rien. Il faut jouer gros et pas longtemps. Ca passe ou ça casse.
En fait j’ai perdu 511€; Je commence à 2 euro, que je double à chaque fois. au huitième coup je mise 256. quand je le perd j’ai perdu 511 au total.
Comme la mise est plafonnée par table, tu ne peux pas miser 512 pour te refaire (au neuvieme coup). C’est donc une mauvaise journée.
Je suis resté à la table pour noter les tirages suivants, et c’est resté noir jusqu’au douzième inclus. Très mauvaise journée en somme.
Quand tu fais ça il faut aussi jouer très peu de temps; Car statistiquement huit tirages d’affilés finiront par arriver assez rapidement.
Si tu viens, tu joues gros et pas longtemps, et tu repars avec ce que t’a gagné. Dans les 180e en trente minutes, car tu le fais simmultanément sur les couleurs, les paires, et les manque et passe… Il faut savoir quitter à ce moment là.
Si t’es venus au mauvais moment, t’as perdu.
Ca s’appelle passer entre les portes avec une chance sur 10 d’en prendre une dans le nez.
Donc faut pas le faire longtemps.
Je ne suis jamais rentré dans un casino et je ne comprends pas précisément ce dont tu parles.
Mais ce n’est pas grave : nous sommes ici sur un forum de vol libre, alors être ignorant des subtilités de la roulette n’est pas un handicap. 
Juste une petite remarque : tu commences à 2 € et tu doubles à chaque fois.
Tu ne mises donc que des sommes paires et leur total (la somme que tu as perdue) est un nombre impair! :grat:
:sors:
Marc
Pour répondre à Marc Lassalle, sans tout reprendre pour faire assez court:
Il n’y a pas de provocation. Je dis simplement qu’il vaut mieux avoir un secours dont on a pas besoin mille fois que l’inverse. Car ce jour là sera peut-être le dernier.
Par précaution, un secours est donc à mon sens obligatoire.
A clessy, le vent à 200m était assez fort pour faire du stationnaire avec 20 cm de freins.
L’erreur est que dans cette circonstance ma vitesse sol est nulle, et par conséquent mon inertie est nulle aussi.
Si le vent se coupe à cause d’une turbulence qui passe, tu es directement décroché. C’est là que sur l’instant tu fais n’importe quoi avec les mains et que tu pars violement en sketch avant de comprendre ce qui t’arrive.
Effectivement juste après avoir tiré le secours (avant qu’il soit déployé) la voile s’est rouverte et j’aurais pu sortir du 3.6. Donc oui tu as raison, j’aurais pu revoler sans tirer le secours. Mais c’était trop tard le secours était lancé. Et ça c’est finit sans bobo. Il y avait beaucoup d’autres pilotes en l’air et c’était pas plus mal comme ça, j’ai fini avec bonheur dans un champ de foin moissonné et c’était très bien ainsi.
Moralité : je reste maintenant toujours en mouvement ! (vitesse sol) et quand je pose au déco un peu en surplace je prend garde à ne pas m’éterniser dans cette situation. Ca veut dire qu’il faut arriver bas et devant les rouleaux.
(suivant)
L’effet mirroir met quelque temps à s’installer. Ca vaut donc si tu est haut. Quand tu es déjà bas, empècher la voile de voler suffit. Le sol arrive.
(suivant point 4)
Oui je cherche les ennuis, j’avais réussi à me satéliser de 1600 à 2500 pour espérer rejoindre la montagne derriere. Ca l’a pas fait je suis arrivé à 2000 et c’était trop mou pour regratter. Donc j’ai décidé de me barrer avant d’être au tas. Puis trop court pour le retour par le même chemin, soit je posais et faisait 6km à pied soit je contournais celle de devant. Ca l’a pas fait non plus… :banane:
(suivant 5)
Qu’est ce que je fesais dans du +13… j’avais décidé de visiter un congestus. Au début c’était amusant mais après 10 minutes c’est partit progressivement très fort.
Les twist et la voile en boule m’ont fais changer d’air rapidement. Pas besoin de fournir un effort pour descendre, ca vient tout seul.
Là j’ai simplement défait les twists, et je suis sortit par le bas , sans tirer le secours, puisque j’avais assez de gaz.
En somme tu as raison, il faut piloter sans avoir besoin du secours.
Mais pouvons nous être sûr que cela ne nous arriverra jamais ?
A clessy, le vent à 200m était assez fort pour faire du stationnaire avec 20 cm de freins.
L’erreur est que dans cette circonstance ma vitesse sol est nulle, et par conséquent mon inertie est nulle aussi.
Si le vent se coupe à cause d’une turbulence qui passe, tu es directement décroché. C’est là que sur l’instant tu fais n’importe quoi avec les mains et que tu pars violement en sketch avant de comprendre ce qui t’arrive.
Et c’est reparti pour les discussions de referentiel !
Je ne suis jamais rentré dans un casino et je ne comprends pas précisément ce dont tu parles.
Mais ce n’est pas grave : nous sommes ici sur un forum de vol libre, alors être ignorant des subtilités de la roulette n’est pas un handicap.Juste une petite remarque : tu commences à 2 € et tu doubles à chaque fois.
Tu ne mises donc que des sommes paires et leur total (la somme que tu as perdue) est un nombre impair! :grat::sors:
Marc
2+4+8+16+32+64+128+256 =510 +1 euro pour le personnel =511.
Salut,
si tu poses ta question pour savoir si ca vaut le coup de t’acheter un secour, voila mes stats perso :
- sur 100 vols, j’ai tiré deux fois le secours.
Voilà mes stats perso :
- sur plusieurs milliers d’heures (J’ai passé au moins 20 ans sans compter donc impossible d’être précis) je n’ai jamais tiré le secours.
Mais vu qu’on en est arrivé à comparer les stats d’ouverture de secours à la martingale à la roulette. Pourquoi pas, la communication entre les hommes réserve toujours de mystérieuses et surprenantes comparaisons
. Je croyais d’ailleurs que la martingale était considérée comme une tricherie. Comme je considère qu’il te suffit de ne perdre qu’une fois pour tout perdre et que la tricherie ça ne marche pas pour le vol, je pense préférable de miser sur l’emport d’un secours.