Petit rappel :
Voler en sellette équipé d’un cocon ne veut pas forcément dire voler en position “couchée”.
Position qui , si j’ai bien écouter les moniteurs, n’est pas la meilleure position pour piloter.
De plus toute les sellettes, même en position “assise” sont différentes les une des autres (dimension, conception, matériaux). Et les essais d’homologation sont fait avec deux pilotes de poids différent pour essayer la voile en bas et en haut de la plage de PTV déclarée par le constructeur.
Seul est préciser par le constructeur le réglage de la ventrale qui d’ailleurs, à moins que je ne sache pas bien lire, n’est pas toujours reporté dans le rapport d’homologation.
Est-il nécessaire de rappeler (apparemment, oui…) que les essais d’homologation raportent un comportement des voiles en réponses à une mise en situation DANS UNE MASSE D’AIR CALME où le pilote n’agit plus, une fois celle-ci acquise, pendant le retour à la normale. Et ce pour une voile dont les caractéristiques de conception et dimensionnelles sont enregistrées.
Ces essais ne “certifient” jamais un ensemble sellette-voile. Et je ne parle pas du pilote “lambda” qui va l’utiliser.
Alors pourquoi ne pas aussi poser une question du genre:
Voler à Saint André les Alpes au mois de mai à 14 h 00 fait sortir de l’homologation (masse d’air non calme), pourtant beaucoup s’y risque. Qu’est-ce qui est le plus dangereux" ?