…ce jour comme pratiquement une fois par semaine avec un copain nous étions à Doue (77), c’est une pente de 25/30m avec trois orientations …enfin plus ou moins , cette colline permet de faire des gonflages sympas et aussi de faire des petits ploufs…ensuite non loin il y a le treuil (Club école les Potes en Ciel) c’est pas mal pour s’entrainer aux atterros “et parfois de tenir un bon moment en l’air”…, puis il y a des sites de vols dans les environs mais qui demandent une bonne maitrise , mais avant ça tu as déja de quoi faire . Je fais mouvement sur la Bretagne Dimanche prochain , quand je rentre “vers le 30 Mars” si cela t’intéresse je te présente le site .
Cordialement . Pierrot . 
Sites de vols accessibles "débutants"
Ca doit être beau la Bretagne en parapente 
Breizh da viken.
C’est toujours beau la Bretagne, c’est un pays magique qui a une propriété étonnante : quand on respire à fond, il y a toujours de la place pour respirer encore un peu plus.
Le Menez Hom était le plus beau coin du monde avant la construction de la centrale nucléaire de Brennilis. Quand on tourne le dos à cette ignoble saleté humaine délabrée dans ce paysage merveilleux, on retrouve la Bretagne d’autrefois, celle qui fait que les Bretons restent bretons partout où ils peuvent émigrer.
Bon, je sais bien que la langue bretonne est assez rustique mais elle complète bien la langue française, savoir du breton est aussi important que savoir du grec l’était dans les siècles passés.
Il y a toujours de l’air en Bretagne et quand on pédale sur les petites routes cela monte toujours et on a toujours le vent de face… mais “ma” Bretagne, celle de ma belle-famille, c’est surtout le Finistère. De mon côté ils étaient de Nantes et on n’a jamais parlé breton à Nantes, n’en déplaise au groupe Tri Yann an Naoned.
Pour voler, c’est bien mieux en Bretagne qu’en région parisienne. Notre Pierrot préféré (
) va bien se gaver.
Je ne conseillerai cependant pas le Menez Hom à des pilotes débutants parce que quand il y a de l’air ce n’est pas dans le style “soupir de taupe amoureuse timide”, on se fait bien ventiler et les mouettes se font déplumer. En face, c’est le Canada et il n’y a rien pour freiner le vent sur 5000km.
On peut cependant voler un peu partout en dynamique sur des moindres dunes ou falaises, en partant des plages pour y reposer, c’est autre chose que les Alpes et ce n’est pas de la bibine.
Wil si tu me lis.
(la Telenn Du est une splendeur)
Site pour débutant ça ne veut rien dire Castejon est parfaitement adapté à un débutant le matin tôt et le soir, déco immense en pente douce, atterro immense aussi et dégagé (piste ULM), on vole loin du relief et y a 1400m de déniv pour un joli plouf mais mais dès que ça se met en route on peut se demander parfois si c’est adapté à des pilotes confirmés tellement ça envoie du bois…
:affraid: finalement en 76 Bilal n’était pas si loin de la réalité avec son joli conte.
http://www.bedetheque.com/media/Couvertures/VaisseaudePierreLe01.jpg
probleme qui revient sous diverses formes.
par exemple dernierement : http://www.parapentiste.info/forum/autres-discussions/nombre-de-licencies-et-proportion-de-debutants-t46329.0.html;msg580693#msg580693
ps1.

ps2.
hé ben oué … pareil à annecy, la moquette de la forclaz est gigantesque, on peut poser un airbus sur l’atterro à doussard …
mais quand y a 50km/h de vent et qu’il pleut, c’est vraiment pas top :init:
[quote]et on n’a jamais parlé breton à Nantes
[/quote]
Ha oui !? autant dire qu’il n’y a jamais de brise du Lac à Doussard. :roll:
Sinon il y a les Vosges avec comme point central pour le parapente, la Vallée de la Thur. Des sites sans véritables pièges, des écoles et des pilotes prêts à partager leurs expériences et connaissances des lieux.
Une trentaine de sites (peut-être plus) dans un rayon de ~ 100 km, des campings et hébergements abordables, une aérologie le plus souvent adaptée à tous les profils de pilote (suivant l’heure quand même) et probablement pas plus de journée pluvieuse qu’en Bretagne. Et en distance cela ne doit pas faire beaucoup beaucoup plus loin depuis l’IdF et pourtant déjà des dénivelés de “montagne” avec 780 m au Treh et 700 au Drumont par exemple et des plafs (autorisés) à l’avenant avec le fl115 (3500 m) les belles journées.
Bref, il y a tous ce qu’il faut pour progresser longtemps et sûrement.
Pourtant les Vosges c’est hyper chaud, je me souviens d’avoir lu sur ce forum que pour y voler en sécurité il fallait un gun non homologué capable de planer à 65 km/h tellement les conditions y sont puissantes. Du coup c’était criminel d’obliger les pilotes à voler là bas sous une voile homologuée forcément moins sûre…
ROTFL
C est interdit aux gloglos tu veux dire !! 
Tu as pas mal de clubs qui sortent régulièrement le week end… Dont le mien (non je fais pas de pub !) ===> http://www.lesailesdesenart.com/
En fonction de là où tu es en Ile de France tu trouveras chaussure à ton pied. Les ailes de Sénart sont en sud IDF, donc plutôt sorties en Bourgogne/Champagne, et parfois Normandie mais un peu plus rarement.
Les sites du coin sont tout de même généralement assez techniques : petit dénivelé donc on y va quand il y a du vent pour tenir en soaring, souvent blindé (en général le WE il y a 1 ou 2 sites majeurs qui le font dans un rayon de 200 km autours de Paris, donc tout le monde s’y retrouve). Pas facile pour un débutant (et je parle d’expérience).
Je rejoins donc Sagarmartha dans ce qu’elle dit : mange de la pente école, et essaie de voler au treuil. Il y a un paquet de clubs qui sont équipés autours de Paris (les piafs, les piafs migrateurs, les canards sauvages… la liste est longue), c’est un outil très pratique quand on débute pour travailler les exercices en l’air et les prises de terrain (et je parle aussi d’expérience).
Continues d’aller à Bondoufle, c’est un site frustrant vu l’aérologie pourrie du site, mais on y apprend énormément exactement pour les mêmes raisons !
Ouais ouais d’ailleurs on dit que les Vosges sont Non Homologuées
Si ça ne vole pas dans l’Aube ou en Bourgogne, je serais assez tenté de découvrir cet endroit Pierrot 
pour Melodieuse et KKdecanard. Vous pouvez covoiturer et on vous voit à Bar sur Aube (Est et Nord-Est), Eaux-Puiseaux (Ouest), Saint Martin sur Armançon (Sud-Est), Rigny Le Ferron (Nord Nord-Est) etc…, bref il y a de quoi faire.
Je te laisse un lien bien utile : volatile / parigot / free (je ne comprends pas, l’url habituelle ne marche pas mais Google est ton ami 
- gonflage, gonflage, gonflage (même sur terrain plat)
- identification d’un club
- si tu habites du bon côté de Paris la Normandie a quelques beaux sites dont une ou deux super pente écoles et quelques sites en bord de mer pour faire des ploufs (à moins de 2 h 30 de Paris).
Les deux amants n’est pas un bon site pour les débutants (mon humble avis) …
je plussois 
J’ai lu des trucs étranges.
Je ne sais pas comment on pourrait poser un Airbus à Doussard, même avec 100km/h de “brise”. Même un A400M, qui décolle et pose très court sur toutes sortes de terrains, n’aurait pas assez de place pour se poser en catastrophe sans se mettre en vrac…
Cela fait tout juste pour l’ULM de Dom en bordure de terrain.
Quand je disais qu’on n’a jamais parlé breton à Nantes, je ne disais pas qu’il n’y avait personne parlant breton, les Bretons étant assez voyageurs. La duchesse Anne (épouse de Charles VIII puis de Louis XII) ne parlait pas breton et à l’époque de la plus grande extension du breton on ne parlait pas breton à Nantes (ni d’ailleurs à Rennes). On parlait surtout des patois dérivant plus ou moins d’un français agricole plus ou moins abâtardi.
Un lien : https://fr.wikipedia.org/wiki/Frontière_linguistique_bretonne#/media/File:Dialectes_Breton.png
Rappelons-nous Rabelais (tourangeau), qui ne peut plus être lu qu’avec une traduction, alors qu’à la même époque Du Bellay (angevin) et Montaigne (bordelais) écrivaient dans un français très lisible à notre époque.
Des patois, il y en a de moins en moins dans notre pays et c’est bien dommage parce qu’ils enrichissent la langue.
Mon vocabulaire emprunte un peu au breton du sud-Finistère (je ne comprends pas celui du nord) et au patois de Chamonix, ainsi qu’aux parlers québécois et vaudois. Les expressions nantaises de ma grand-mère, apprises dans mon enfance, n’ont pas été perdues mais je n’ai jamais compris le patois des paysans des années 50.
Retour à nos moutons.
Je ne suis pas convaincue que décoller au treuil soit très simple quand on sort d’init, vu la minceur squelettique du bagage technique. A mon sens - mais ce n’est qu’une opinion - il vaut mieux “bouffer du gonflage” et réserver un ou deux stages perfs auprès d’une école de montagne. En montagne, on fait des ploufs qui valent le coup, parfois de 800m voire plus, on s’aguerrit et on apprend à voler en thermique. de retour dans la plaine, on sera mieux armé pour décoller au treuil avec un club et prendre du gaz, ou décoller en bord de mer et voler en dynamique avec une sécurité convenable.
Les sites délicats comme la Côte des Deux-Amants seront accessibles plus tard.
http://soyeuse.free.fr/2007/709/08/4029.jpg
La Roque (en aval des Andelys). 8 septembre 2007.
40m, avec des maisons dessous puis une ligne téléphonique, la route, des barbelés, un pré et la Seine. Tenter un plouf n’aurait pas d’avenir, c’est un site de soaring vol de pente qui n’est plus guère utilisé. On m’y voit pour la photo, je n’aurais jamais tenté de décoller. Même avec du vent, ce doit être assez craignos de poser sur le plateau, derrière les arbres.
http://soyeuse.free.fr/2013/02/12/618.jpg
Déco de La Landelle - 12 février 2013.
On voit le pilote se poser sur le chemin et on mesure à quel point le plouf est frustrant. Au moins ce n’est pas dangereux et, pour les novices qui ont des mollets et la hargne de voler, il n’est pas absurde d’aller faire des ploufs de 20 secondes sur ce petit site de 45m, qui a un excellent rendement quand le vent est favorable et qu’on sait enrouler des ascendances. Le déco n’est pas complètement évident mais il y a presque toujours des pilotes expérimentés qui peuvent apporter un soutien appréciable.
Cela équivaut à peu près à une bonne pente-école comme on en trouve en montagne, pour apprendre à décoller et à poser mais les vols sont quand même trop courts pour faire du temps de vol et apprendre des manoeuvres de pilotage.
Gonflage + petits ploufs, c’est mieux que rien et cela permet d’acquérir des bases pour aller plus loin tant il est important de bien décoller et de bien poser. Cela permettra d’accéder au treuil plus efficacement si on n’a pas l’opportunité d’aller voler en montagne.

peut-etre juste en considérant l’aspect hyperbolique 
https://www.etudes-litteraires.com/figures-de-style/hyperbole.php biroute
certains pilotes pratiquant régulièrement le treuil pourraient t’expliquer comment ils forment des pilotes en stage initiation directement au treuil,
il ne faut pas considérer le treuil comme un élastique ou un catapultage, et un treuilleur expérimenté est capable de gérer le taux de montée du pilote voir même de le stabiliser en phase pallier en cas de besoin.
Puisque tu sembles être un adepte du treuil, tu dois savoir qu’on n’apprend pas de la même manière à décoller au treuil qu’en montagne.
Il y a de quoi dérouter un(e) débutant(e)
Il n’y a que l’atterrissage qui soit identique.
cdlt