A voté 
Sacrifier le boulot. :canape:
Mais on en reviens… C’est un peu comme un coup de foudre, après 5 ou 6 ans passé ensemble on relativise… Même si l’amour est toujours là.
D’ailleurs à ce propos je ne comprend pas : ‘Sacrifier l’amour’ :grat: :roll: Pourquoi faire ? On ne peut pas voler la nuit de toutes façons. :mrgreen:
J’adhère avec tes propos manu ! 
mouaip :roll: mon coup de foudre a quand même duré 10 ans de pratique intensive …
même si effectivement les premières années sur Lyon, nous étions (avec 2 copains inséparables) plutôt des stakhanovistes du parapente et que après quelques années j’ai relativisé ma pratique (avec notamment la découverte que quand ça veut pas le faire, on peut toujours se baquer à la piscine municipale avec le gamin 
)
dernièrement, par suite de soucis personnels, cela fait 2 ans que je vole beaucoup moins… en ben finalement je peux quand même vivre (même si je peste un peu d’avoir loupé la semaine là qui semble avoir été démente)
Parapentiste de la première heure (15 ans de parapente), pour ma part c’est réglé je ne vole plus que 5 à 10 fois par an.
Du coup je suis toujours en famille le WE, j’ai un boulot qui rapporte, et j’ai trouvé une activité ou toute la famille participe (le Golf).
L’inconvénient est que comme je vole très peu j’ai perdu en auto assurance et donc je vol que dans des conditions météo calme et sur site (vole du matin ou du soir).
Vous savez tout de ma vie :canape:
Au risque d’en scandaliser certains et bien que j’aie changé ma vie pour cette activité, mon avis c’est que le vol libre n’a aucune importance.
C’est à dire qu’il n’a que l’importance qu’on veut bien lui attribuer.
Lorsque les choses importantes déboulent (par exemple la pâte à tartiner Ovomaltine :mrgreen: ), le vol libre s’efface et peut même disparaitre.
pour ceux qui sont prêts à changer de boulot, je crois qu’ils cherchent un cuistot sur ce bateau… ca peut le faire.
A voté ! et perso je suis assez d’accord avec Surf air
Surfair
Je pense que tu n’as pas bien regardé ce que sont près à faire pour leurs “passions” des triathlètes, des marathoniens, des chasseurs, des alcoolos, des fumeurs, des joueurs, des adeptes du tuning auto, des sports mécaniques…
Un jour, j’ai entendu un gars me dire qu’il était embêté parce qu’il ne pourrait pas aller à la première communion de son fils parce que c’était un jour de chasse… J’ai connus des gens qui fumaient 2 paquets de clops par jour mais n’avaient pas les moyens de payer une complémentaire santé pour leurs mômes.
Je connais des triatlètes qui s’entrainent 20 heures par semaine. En plus du boulot, il ne reste pas beaucoup de temps à consacrer à la famille.
Le parapente n’est pas un sport cher. Compare avec le budgert annuel d’un sport mécanique auto ou moto…
J’ai voté : “concilier tous ça à la fois et pas voler autant qu’on voudrait” mais je dois avouer que ça n’a pas toujours été le cas…
J’ai travaillé à temps partiel de fin 87 jusqu’au début 2000. Mi-temps, 66 %, 80 %…
Je ne faisais pas que du parapente pour ne pas devenir monomaniaque, mais pas loin quand même. Je considère que cette activité est addictive (je sais pas quelles hormones on secrète quand on vole, mais ça manque quand on vole plus). A l’époque je parlais de “maladie des caissons”.
La vie de famille était parfois difficile…
Et même comme ça j’étais frustré ! Je n’en faisais pas assez, je me disais que ça n’allait pas durer, qu’il fallait en profiter encore et encore…
Un cercle pas très vertueux…
Mais il y a un temps pour tout et je ne regrette pas cette période. Maintenant oui, je concilie…
Je me demande s’il faut ou pas que je montre à ma cop’s ce fil pour qu’elle me comprenne (ou pas) un jour…
Bref, toujours est-il que j’ai voté “un boulot avec RTT” : j’ai posé hier aprem et avant-hier aprem, et j’ai volé dans des super conditions, je me suis bien gavé, et ce week-end, j’annule la compète d’Annecy sans regrets pour m’occuper de ma petite famille (de toute façon, Barbulle a dit que ce sera pas top niveau mto, et Barbulle, il est fort en mto !)
Bon, faut préciser que j’ai aussi la chance de pouvoir voler quasiment tous les midis où ca le fait, ça aide.
Sinon, j’ai pas encore atteint le stade de plénitude de surfair : pour moi le vol libre, c’est super important ; les périodes ou je me suis le plus mal senti dans ma vie ces dernières années correspondent avec celles où j’ai le moins volé. Je ne crois pas que ce soit une coïncidence.
Oui enfin Surfair habite tout de meme sur un grand site de para, n’est ce pas :clown:
Ca aide un peu a la pleinitude … (dit il avec les crocs GRAAAAAAAAAAAAAAAVEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE)
C’est vrai. Et c’est un choix.
Du coup c’est un vrai confort psychologique de pouvoir se dire “Là c’est trop le speed au boulot, tant pis je laisse tomber les super conditions de la période et je m’arrangerais mieux l’année prochaine. Et dans quelques semaines avec ma nouvelle aile, même s’il n’y a plus 2500 de plaf je me ferai les vols super-zen du soir…”
Mais par contre Akira, je maintiens que tout ça peut-être balayé d’un simple souffle de la destinée.
Idem pour moi “concilier tous ça à la fois et pas voler autant qu’on voudrait” et pourtant j’ai la chance de ne bosser qu’un mois sur 2 mais malgre ca je trouve que je ne vole pas asse.
J’ai pas mal de temps libre en semaine (mon ptit bout de femme travaille :mrgreen: ) alors les WD sont plutot consacres a faire des sorties ensembles, montagne, golf, etc.
Juqu’ou j’irais pour voler plus? Arreter de travailler suffisament tot et profiter de tout ce temps libre pour decouvrir les nombreux spots que nous avons la chance d’avoir en France.
D’accord avec Surfair.
Des milliards de gens sur terre n’ont jamais volé et ne voleront jamais.
Des centaines de parapentistes dévorés par la passion pendant des années ont vu cette passion diminuer et sont passé à autre chose.
Des centaines tu dis? Ben je serais curieux de savoir combien exactement. A mon avis il ne doit pas y en avoir tant que ca, je parle de seus qui on arrete de leurs plein gre, pas contraint, force par les proches (parce-que percu comme sport dangeureux) ou obligations professionnelles, accident ect.
Quand tu regardes un peu aux decos il y a pas mal d’anciens quand meme.
Donc pas d’accord, je pense que quand tu as cette passion en toi t’es cuit cui cuit 
:sors:
J’ai l’exemple tout proche de moi de 2 parapentistes qui sont “passés à autre chose”. L’un d’entre eux a participé à des manches de coupe du monde et ne vole pratiquement plus. Dans les 2 cas leurs conjointes volaient aussi et ne les ont pas poussés à arrêter.
Non, pas des centaines, … des milliers !
Tu vois plein de vieux sur les décos parce qu’ils ont le temps, ils sont retraités ou pré-retraités ou au moins débarrassés de leurs enfants…
Mais quand je me retourne vers les personnes avec lesquelles je volais il y a 20 ans, je vois qu’il n’y en a qu’environ un tiers qui soit resté dans l’activité.
Alors bien sûr ils ont arrêté sous pression (mais quand t’as la passion, la pression n’a pas de prise) ou sur crash, ou à cause du travail (mais quand t’as la passion, le boulot passe en second)…
Mais il en reste quand même pas mal qui ont arrêté par prise de conscience des énormes contraintes liées à l’activité ou tout simplement par désintérêt progressif.
j’ai voté: “concilier tout ça à la fois et ne pas voler autant qu’on le voudrait”.
mais en vrai, si je veux voler plus, je n’ai pas besoin de “sacrifier” quoi que ce soit, à moins de ne vouloir faire que ça (mais ça ne m’intéresse pas une miette), il suffit juste par exemple d’avoir moins la flemme, genre maintenant que les journées sont longues et que ça monte encore après 19H, en sortant du taf un peu plus tôt (mais faut commencer plus tôt aussi :? ).
mais bien souvent, je ne me sens pas trop d’aller marcher après le taf.
comme aujourd’hui, je me sens mieux de me boire un bon jaunastre en perdant mon temps me relaxant sur :forum: :mrgreen:
J’adorerais re-habiter dans le coin de Grenoble pour faire le vol du soir a Chamrousse ou a Montaud ou un petit vol pendant la pause entre midi et 2…
J’ai mis boulot avec RTT… mais quand je l’ai choisi je volais pas 
Anne