Sur le fond, toutes ces idées de partage collectif et colloboratif part d’un excellent sentiment, améliorer la sécurité au-travers de l’amélioration de l’information.
Mais il me semble sincèrement et ce qu’importe la forme imaginée (drapeau, appli, etc.) La pierre d’achoppement reste le côté subjectif de l’appréciation des conditions, autant par celui/ceux qui determinent et mettent à disposition, que de celui/ceux qui souhaitent s’en servir.
Déjà il y le fait que la définition d’un “niveau” de conditions à un moment t en un lieu donné n’est certainement pas/plus vrai dans l’absolu un peu plus tard, un peu plus loin.
Il n’y a qu’à voir la difficulté (et sujet à discussions) que représente déjà en compétition ou pourtant une plus grande, même si imparfaite, homogénéité de competences “minimales” existe quand des niveau 3 sont annoncés.
Et surtout comment, si le résultat escompté est bien l’amélioration de la sécurité, tenir compte de la subjectivité des pilotes quant à leur propre niveau réel.
Je ne peux m’empêcher de penser qu’à force de pré-macher l’analyse des conditions de vol, on risque de ne que d’en compliquer voir stopper la digestion.