50m. D’après mes expériences, c’est la distance minimale entre le point de départ et l’altitude exploitable. On peut le vérifier lors du vol à la pente: plus la pente est raide, plus on peut voler près du sol. Un moniteur le disait: les thermiques ne sautent pas des arbres de la forêt. :dent: Survoler des arbres au raz des cimes ne marche pas.
Quand il y a du vent, les 50m peuvent être mesurés inclinés.
C’est pourquoi un effet thermodynamique peut exister plus près du sol.
A Mieussy, le club des Choucas offrait le champagne au premier pilote que poserait au déco après avoir décollé du terrait d’atterro. Un pilote qui voulait poser, arrivé à 2m du sol au bout du terrain, là où il redescend vers la rivière, a pris une bulle qui l’a remonté au déco
. Mais jamais personne n’a réussi l’exploit depuis le sol :init: . Maintenant que cet atterro a disparu, le champagne va vieillir… La pente ne fait que 10m, mais il y avait un bon vent de vallée.
Côté mathématiques
: 1m3 d’air = 1.2Kg. 5° de différence = 30g Accélération=30/1200=2.5cm*seconde2 Si on prend une vitesse verticale de 1.5m/seconde, cette vitesse n’est atteinte qu’à 45.75m après une minute de montée.
Il me semble qu’il faudrait la multiplier par g=9.81m/s² si j’essaie de refaire le calcul :grat: (en passant par le poussée d’Archimède). Dans ce cas ça donnerait des valeurs de 0.24m/s² d’accélération, et 4.6m de hauteur de montée :dent: pour atteindre 1.5m/s de taux d’ascension, en 6s.