Annecy

je sais pas si ils vont passer de sitôt

:grat:

et pour le parking :

Salut JP et merci pour la correction.
En effet, Entrevernes est un site thermique du matin, mais je n’y ai fait que du soaring et pour monter sur la face E du Roc cela ne me semble pas très évident, même si j’ai déjà vu des gens le faire.
Aller “taper” la falaise sous Entrevernes en venant de Montmin n’est pas simple non plus et j’en ai vu pas mal vacher à Lathuile, en cause une dégueulante à -4 avant d’arriver à la rive W du lac.
Cela m’est arrivé 3 fois l’an dernier avec la Diamir, et le gars qui posa à côte de moi avec une Peak 2 n’était pas une brèle. Avantage : ses copains venaient le chercher depuis Doussard, cela m’évita une petite heure de marche sous le cagnard. Un autre, parti juste derrière nous avec une Artik 3, avait failli prendre un bain.
Pourtant les concurrents de l’Open du lac raccrochèrent la carrière en étant partis de Montmin, où ils bricolèrent pas mal pour aller raccrocher le bout du Roc et monter un peu. Ils volaient avec des voiles plus performantes que la Diamir et l’Artik 3, ils étaient aussi meilleurs pilotes mais cela ne semblait pas vraiment simple.
C’était en tout cas très spectaculaire depuis le déco.

Je n’ai réussi qu’une fois à raccrocher mais c’était au-dessus de la pente-école et trop bas pour espérer monter, vu l’heure trop avancée de la matinée.
Dis JP, tu me prêterais ta Cayenne 5 pour refaire un essai ? Avec 1pt de finesse de plus que la Diamir, c’est sans doute moins difficile.
:trinq:
(RDV à Planfait fin février / début mars)

Hé, comme tu y vas Viviane, te prêter ma Cayenne 5 !
Alors qu’elle n’est pas sortie de tout l’hiver, de peur de la salir …

Le secret pour réussir le raccrochage d’Entrevernes depuis La Forclaz c’est de ne pas décoller trop tard (aux alentours de 11h, variable selon les conditions du jour).
Trop tard et la brise commence à se faire sentir et transforme la fin de la transition en grand plongeon.
Trop tôt et on touche la falaise d’Entrevernes mais on coule irrémédiablement faute de thermiques établis.

Dans les 2 cas, même très bas au dessus des champs, ne rien lâcher. Il m’est arrivé par 2 fois de remonter après une séquence survie de bulles en bulles dérivantes.