Moi j’ai trouvé un truc qui marche pas mal avec ma copine qui avait le même problème pour déterminer sa hauteur. Les arbres. En gros à planfait, je lui ai dit que l’arbre au bord du terrain faisait 10m et qu’elle se démerdait comme elle voulait (mais classique, hein, PTS ou PTU…) mais que je voulais la voir en finale quand elle arrivait à sa hauteur. Ce qui fait qu’avec comme consigne absolue qu’en approche on à tout jour un œil sur le terrain, elle a ajusté entre le point fixe du terrain et la hauteur de l’arbre. Depuis, elle pose mieux que moi! Avec la M4, j’arrive pas à me faire au plané du bordel et je me fais avoir à chaque fois!
attero bof bof
Merci a tous je n’esiterais pas a vous raconter le resultat de vos conseils karma+ car j’avoue que cela me pouri un peut la fin de mes vols :boude:
c’est exactement ça … et c’est pour ça que plus l’atterro est exigu et bordé d’obstacles, plus tu pose “facilement” vu que tu te positionne par rapport à un obstacle
il est marrant ton avatar!
c’est la même photo qu’a utiliser olm pour commenter un attéro dans un camp nudiste :clown:
hello!
comme Gusty, je prépare mes apprches en visualisant une porte d’entrée au terrain, qui n’est que le résultat de l’analyse des conditions et du point d arrivée souhaité.
me concernant, ca fonctionne plutot bien.
Sinon, avec deux potes moniteurs, nous nous amusions a faire des exercices du type : “entre le deco et l atero, tu n as droit qu’à trois virages…” cela aide enormement à travailler le placement tout en restant très concentré sur l’objectif.
@+
fab
[quote]Sinon, avec deux potes moniteurs, nous nous amusions a faire des exercices du type : “entre le deco et l atero, tu n as droit qu’à trois virages…”
[/quote]
C’est marrant mais quand je fais mes triangles FAI je fais pareil! :canape: :sors:
Salut Bigbud,
Non justement je ne fixe pas le point d’aboutissement pendant l’approche, juste la fenêtre d’entrée du terrain que je me suis fixé. Ca m’est venu en m’amusant à shooter les arbres en entrée de terrain (bon je sais c’est pas très malin), je me suis rendu compte que c’était beaucoup plus facile que de faire la cible. Entre viser une surface horizontale, même grande, avec un angle très plat, et une porte verticale, qui peut être beaucoup plus petite, mais avec un angle beaucoup plus marqué, il y a un monde de facilité! Et si la porte d’entrée a été bien choisie, la cible initiale est quasi garantie.
Effectivement avec du vent la pente de descente est beaucoup plus marquée, l’angle s’ouvre et il est plus facile de viser direct le point d’aboutissement.
Enfin bref pour moi ça marche c’est l’essentiel, à chacun de développer sa technique. Ces derniers temps j’ai fait pas mal de rando avec une mini (tu connais? :mrgreen: ) qui plane bien et va vite, et dans des atteros très exigus et sans vent, et j’ai complètement validé!
hello Gusty,
Si tu te fixes sur la porte d’entrée et bien tu poseras prés de la porte d’entrée!!!
fais le même travail avec le centre du terrain tu verras que ça marche bien. C’est dans ce contexte qu’il est préférable de matérialiser un point sur une surface plane.
Il est toujours plus facile de faire son approche et de poser précis avec une aile qui a moins de finesse et qui va plus vite , visuellement c’est plus confortable de se rendre de l’angle de plané qui aura moins de change d’être modifié par l’aérologie.
Ta remarque sur l’approche est bonne et elle est personnelle. Beaucoup de pilotes ne travaillent visuellement en approche que sur l’entrée de terrain, ou sur un obstacle en bordure de terrain. La précision de posé dans le terrain sera alors aléatoire, surtout s’ils changent de terrain ou leurs obstacles/repères n’existent plus!!!Il vaut alors mieux bosser directement sur le point souhaité pour poser.
Bons vols
bigbud69
Jesaispluski a dit :
[quote]>>> on dit souvent qu’on va ou l’on regarde.
[/quote]
Très juste, Auguste !
Et c’est vrai dans tous les domaines : kayak, descente de rivière, ski, sports en chambre etc…
C’est même tellement vrai que ça régit aussi ce qu’on appelle le “syndrome de l’obstacle”… Suffit de fixer un obstacle (même à éviter, surtout à éviter !)… pour se le manger plein pot !
a+
olm
Bigbud69 a dit :
[quote]>>> poser systématiquement n’importe où à l’intérieur d’un grand terrain d’atterro démontre simplement que l’on ne sait pas poser correctement
[/quote]
Peut-être un peu, je sais pas… Mais à mon avis, ça montre surtout qu’on ne fait pas assez attention, et qu’on ne fait pas l’effort de se prêter au jeu de la précision.
Puis :
[quote]>>> il faut se donner un point précis (choisir par ex un 1/4 de terrain)
[/quote]
Oui, en plus de ça y’a un côté ludique dans le fait de s’adonner à cet exercice…
Remember Camember : les premières “compètes”, il y a 25 ans, c’était des “compètes” dite “PA” comme… “Précision d’Atterrissage”…
a+
olm
Parapente Patrick Samoens a dit :
[quote]>>> Le repère visuel qui permet d’être précis n’est pas un repère de hauteur mais la visualisation du point d’aboutissement (le point immobile quand tu te déplace). On ne calcule pas sa pente de vol ou son point d’atterrissage, on le voit.
[/quote]
C’est sur que le visuel est primordial. Mais ça c’est une question de fealing, donc d’expérience minimale. Ce qui est délicat, à ce rayon “fealing”, pour un néophyte, c’est d’intégrer de façon intuitive sa finesse en finale. Sans même avoir à réfléchir…
a+
olm