C’est aussi clairement mon avis.
Pour une repose au déco bien alimenté, Il faut, à mon avis, bien mieux arriver avec de la vitesse, à la bonne hauteur, dans une angle proche de 90° du vent et s’aligner + ou - face au vent à 2-3m/s et faire son freinage final, voir pomper si çà peine vraiment à descendre.
Dans ce cas, il faut alors pas hésiter à faire plusieurs essais, et refaire un “tour de circuit” si on est trop haut ou trop bas;
Samedi, à Saint Geniez, j’ai du m’y reprendre à 3 fois, peut-être 4. La dernière était la bonne, je suis arrivé en rase motte par le droite du déco, et au dernier moment, je me réaxe à 45° du vent pour planter mes freins. Posé en douceur.
D’ailleurs ce jour là un pilote semblait peu habitué à poser en haut. Le “local” lui a conseillé de pomper. Le soucis, c’est que, trop pressé de poser, il a fait du pompage nettement trop haut. Et le problème c’est que plus il pompait, plus il descendait les freins bas et les gardait longtemps en position basse. Il a fini par faire un décro à 1m/sol et à tomber sur le cul. Pas de bobo, mais quand même vraiment pas terrible je trouve.
Alors qu’avec ma technique (utilisée aussi par deux pilotes bons acrobates d’ailleurs), on a posé en douceur sans soucis.
Le risque en flirtant avec les basses vitesses, c’est de se retrouver bras au maillons à 10m/sol très vulnérable surtout si le vent n’est pas constant et un peu rafaleux (c’était le cas à Saint Geniez).
Dans une aérologie très laminaire, c’est vrai que c’est surement moins gênant finalement de poser à basse vitesse. Mais moi le laminaire je connais pas 
Oui en effet il ne faut pas voler au Vissou en se disant que l’on peut reposer chez les modéliste, il était là bien avant les parapentistes et le deal est clair: chacun chez soi!
).