atterrissage par vent fort, quand ça veut pas, ça veut pas

Bonjour à tous.
Après 2 ans sur ce sujet peut-être encore quelqu’un pour me répondre.
J’ai été confronté à la situation visible sur le film précédent très récemment. Et je cherche à savoir si j’aurais pû mieux m’en sortir.
Après en avoir parlé un peu on me dit qu’il existe une technique consistant à se poser twisté, ce qui permettrait de courir immédiatement vers la voile l’empêchant ainsi de rester gonflée.

J’ajoute par ailleurs que malgré ce qui est dit plus haut même par vent météo nul j’ai déjà été confronté à de très fortes accélérations du vent dues notamment à un déclenchement thermique traversé en phase d’approche.

Sous une aile comme ca, l’accelero est redoutable. Appuie sur le champignon, et tu seras tres vite à -2m/s ou -3m/s …

J’ai testé lors de posé par vent fort, une technique qui marche vraiment bien sur une 3 lignes.
L’affalement au b une fois posé. Pas de risque de se faire traîner, et aucun risque que la voile “regonfle” une fois au sol.
C’est vraiment très efficace une fois bien maitrisée, à conditions de ne pas se retrouver dans les mêmes conditions que Pal T. :speedy:

La prochaine fois qu’on te sort une énormité comme ça, demande à ton interlocuteur de faire une démo !

:+1: :mdr:

Michel Werli m’a raconté une fin de vol de l’équipe de France dans le Valais où cela reculait fort. Ayant vu Richard Gallon se faire copieusement trainer après l’attero, il a décider de poser volontairement le dos dans la haie qui borde le champs. Marche arrière, posé impec les pieds au sol la voile dans la haie, pas de mal ni pour lui ni pour la voile. Ce n’est pas un conseil pour les pilotes du dimanche, mais Michel est vraiment un phénomène !