“mais nous avons encore beaucoup de choses à améliorer, notamment la tenue de notre site Internet, la communication interne et la nécessité de faire connaitre nos activités au grand public.
Notre fédération est peu connue et les éventuels partenaires se concentrent sur des activités connues et visibles.
Il faut mettre en place des actions pour répondre à ces critères, l’État se désengageant doucement des fédérations non olympiques. Notre survie proviendra des fonds privés.”
(c’est moi qui souligne)
Aïe, aïe, aïe ! Avec les multiples autres mauvaises nouvelles de la période, ça sent la fin de cycle…
On comprend mieux l’espoir que portait le kite à la FFVL pour la suite de la fédé.
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