Nous trouvons qu’il faut débrancher le cerveau en PWCA (et encore plus à la X’Alps ou la X’Pyr) tout comme les touristes trouvent que nous débranchons le cerveau lorsqu’ils nous voient décoller du col de la Forclaz.
Tout est relatif, et s’il ne fallait pas un minimum de dépassement, ce sport ne serait pas ce qu’il est. A chacun de juger ce dont il est capable …
Cependant, il y a beaucoup de manche en PWCA où il est totalement inutile (voire contre-productif) de débrancher le cerveau !

