'tain si seulement j’avais fait mon stage init avant de faire des gosses et créer ma boîte!!! :bang: Tout le budget couches / lait / fringues de gamins passé en matos, stages et voyage :jump: :jump: … rendez-moi ces 5 dernières années!!!
Ah les jalousies corporatistes Triple Seven a raison. J’ai un boulot qui me permet de voler. Célibataire sans enfant, des copines de temps en temps. Je suce la substantifique moelle de la vie en général et du parapente en particulier.
Akira, je suis chargé de TD à la fac
TD = tyrannie disciplinée des étudiants m’ont traité de tyran cette année.
Mike57, j’ai trop rigolé ! J’appartiens à plusieurs catégories selon les jours… Surtout si ça a bien ou mal volé :grat:
Dites les gars, je suis en vacances… :ppte:
Je me suis mis à voler il y à deux mois et ben meme en y passant tout mon temps j’en suis pas encore à mes 30vols… Et je suis pas du genre à me donner des prétextes pour ne pas voler loin de la! :banane:
Ne t’en fais pas, la météo ne t’a sûrement pas aidé et ça n’est pas la course non plus : il vaut mieux bien voler que trop voler. Et tu verras que l’automne est la meilleure saison du débutant ! :jump: :jump: :jump: :jump:
Pourquoi l’automne est mieux??
Le temps n’a pas toujours joué en ma faveur et comme tout le monde le boulot, parfois des conditions trop forte obligeant à redescendre en voiture et parfois des conditions trop plouffante ne motivant pas à monter.
Je viens de passer 10 jours à Barrême et fais les ploufs du matin et les vols de l’après-midi et du soir : 18 vols et 11 heures de vol. C’est vrai que je suis avantagé maintenant par les vols thermiques où l’on reste plus en l’air.
oui mais monter en stop puis marcher jusqu’au déco puis retourné en stop à la voiture pour 10minutes de vole je préfère rester au sol faire du gonflage ou autre
On m’avait dit qu’un vol c’était un décollage et un atterrissage, plouf ou pas. Et c’est vrai ! Il m’arrive de faire 1h30 de voiture pour un vol de 30 minutes voire au début des ploufs de 10 minutes. Mais je ne le regrette pas.
Les choses deviennent automatiques : prévol, gonflage, décollage, prise de terrain, atterrissage. Autant de choses de gagnées pour ensuite de plus grands vols. Ce soir à Saint André, ça montait de partout, une demie-heure pour descendre avec oreilles, et accélérateur (le vent forcissait) et quelques timides 360. J’étais content d’atterrir sans trop avoir à penser, juste réfléchir au sens du vent et voilà. Après mon nombre de vols, cela commence à être bien ancré (surtout pour un atterro aussi large que celui de Saint André les Alpes.