J’imagine que si les conditions sont atomiques au point de te soulever du sol sur la pente école, la situation doit être trop forte en prenant de l’ampleur avec l’altitude et le relief.
Décoller sur un thermique ?
Il y déjà quelques temps par chez nous, il s’est dit qu’un pilote BE et champion de France acro. par le passé avait réussi en décollant de la pente-école de Aérotec (celle du C.E.M., pas la grande de l’école allemande) à remonter se poser au sommet du Treh-Markstein. Je n’étais pas avec mais connaissant le garçon et ceux qui me l’ont rapporté, je n’en doute pas. 
Après comme le dit Patrick ; c’est pas parce-que lui a su le faire que cela devient pour le pilote lambda car cela devait déjà bien souffler sur la pente-école et ne pas être triste non plus plus haut… biroute :vrac:
Y’ avait une vidéo de l’ami Flaille en dynamico-thermique
Bonsoir,
Joli le redécollage après avoir touché la plage ! 
Voir à partir de 5’.

Marc
C’est à peu près typiquement ce qui se fait régulièrement à Palo Buque, Iquique. Tu décolles sur le plat, du bas de la dune au passage d’une bullette un peu plus forte que le thermodynamique installé, tu t’y accroches (ou si tu la perds, tu attends la suivante dans le dynamique), et hop, tu te retrouves 1000m plus haut, après avoir décollé de l’atterro.
Bon sur la pente école de Lumbin, on n’a pas exactement les mêmes conditions non plus, dommage (quoi qu’on en a d’autres pas dégueues sur le site non plus, des conditions).
ma petite expérience pas forcement très recommandable … :
l’année dernière au mondial de paramoteur a Blois, a la fermeture du salon, vers 17h30, j’ai voulu faire un peu de gonflage pour décompresser du salon.
15 de vent, mais ciel pavé de cum, et qques passage de thermiques.
gonflage sympa en chili2 puis tout d’un coup, je me retrouve a 10m sol, la voile dans mon dos, puis 2s après, la voile était entre le sol et moi
s’ensuit toute une série de mouvements pas très confortables mais très artistiques (pour ceux restés au sol… ) et enfin un posé sur les pied, tout doux, de l’autre coté des cabanes …
Pas tout compris, et pas aimé DU TOUT …
pas de dust car pas de tourbillons, mais un déclenchement ultra violent, sur un terrain tout plat (aérodrome) probablement du aux cabanes … mais le vent était quasi parallèle.
Voilà, on a la réponse : oui, c’est possible. Voir la vidéo ici : http://www.parapentiste.info/forum/videos-de-vol-libre/le-decollage-sur-le-plat-est-arrive-t47063.0.html
Derob
Bonjour,
Je n’appellerai pas ça du “décollage” ! Plutôt de “l’arrachage” et il faut s’appeler François R & Co., avec la voile qui va bien, pour contrôler ce genre de situation.
Remarquez que les 2 pilotes sont en marche arrière et se posent dès que possible, pendant que les autres affalent rapidement leurs voiles, il y en a même un qui n’avait pas levé sa voile et qui coure vers elle pour la tenir.
Alors possible ? Mais comme déjà demandé, pour quoi faire après ?
A+
Il faudrait demander à ces deux minables pourquoi ils n’en ont pas profité pour enrouler, faire un plafond et partir en cross record de 542 km.
S’ils nous lisent…
Est-ce qu’ils avaient du lait sur le feu dans un camping-car stationné pas loin ? Est-ce qu’ils avaient une canne à pèche au bord du lac et qu’ils ne voulaient pas la laisser emporter par un brochet ?
Ou alors peut-être que quand on n’a pas choisi de monter si fort d’une seconde à l’autre on ne pense qu’à remettre les pieds au sol au plus vite, même quand on s’appelle François Ragolski (?)
– edit - erreur de fil de discussion
Ou alors peut-être que quand on n’a pas choisi de monter si fort d’une seconde à l’autre on ne pense qu’à remettre les pieds au sol au plus vite, même quand on s’appelle François Ragolski (?)
Je pense que oui, à la lecture de ses commentaires sur face de bouc 
Bonjour,
Je me posais la question : serait-ce possible de faire un gonflage où il y a un thermique et donc d’éviter de devoir monter la montagne? Je connais quelques sites où le thermique est (quasiment) toujours au même endroit au sol. Alors, qu’en pensez vous ?
La prudence conseille :
- de ne pas étaler sa voile à proximité d’un déclencheur (crête, rupture de pente, haie, contraste du sol, etc.
- de ne pas gonfler sa voile dans un passage thermique ni à l’approche de celui-ci
Le meilleur moment pour décoller quand on a pu observer des cycles réguliers est après le passage d’une cycle
C’est la seule façon :
- d’avoir le temps de s’éloigner du relief,
- de prendre de la vitesse (nécessaire à bénéficier de toute la manoeuvrabilité que peuvent nous donner nos ailes)
- de s’installer dans son harnais
On peut seulement ainsi envisager d’affronter la situation la plus dangereuse qui soit pour une parapente : la turbulence à proximité du sol