quelques remarques (en gras) d’un incompétent en brevets “parapente” mais qui a eu à déposer et parfois (souvent) à choisir de ne pas déposer des brevets En gros “bien d’accord avec choucas”
Faites attention à ne pas mettre vos commentaires à l’intérieur des messages que vous citez, mais bien à l’extérieur de ceux-ci, pour assurer une meilleure lecture.
Ceci arrive pratiquement chaque jour.
Je sais : je me répète et je le dis souvent, mais je trouve cela dommage.
Il suffit en fait :
de citer un message auquel on veut répondre (quitte d’ailleurs à enlever des parties du message cité qui ne concernent pas la réponse que l’on veut faire) ;
puis d’écrire ses propres commentaires tout en bas, en-dessous du message cité !
On peut aussi corriger son message si on voit que sa mise en page n’est pas bonne.
[quote]Je ne vois pas en quoi le fait que des lauriers soient aussi récoltés par d’autres autoriserait à escamoter le nom de l’inventeur ! Au moins ce large partage sans obstacle des fruits de la recherche d’un visionnaire dédouane cet inventeur de toute vélléité d’accaparement de ses trouvailles (par brevetage ou autre mise au secret ridicule).
[/quote]
Et ça va lui apporter quoi à Gibus? Très bon pilote, concepteur brillant mais je ne suis pas certain qu’il ait été un chef d’entreprise avisé, personne n’est parfait.
Sinon les premières U3 que j’ai croisé c’était en compet à la Clusaz au début des années 2000, 2003 je pense, y avait Gibus et Ronron dessous, effectivement ça planait et ça avançait, surtout comparé à une Sigma4 :shock:
Mais ça n’a pas vraiment percé à très haut niveau… si la U3 avait été si au dessus des autres guns de l"époque les tops pilotes auraient tous switché sans état d’âme.
Et je pense que pour la suite Gibus a un peu trop privilégié les guns au dépend de voiles “grand public”, perso j’étais bien incapable de gérer un truc comme la U3 et les autres voiles de la gamme étaient aussi bien trop chiantes à décoller sans vent pour que ça me tente.
C’est surtout que sous de faux airs d’intervention courageuse, tu lèches juste les bottes de tes amis hégémoniques du moment en faisant preuve d’un révisionnisme misérable :
Quel rapport entre Ozone et l’invention des deux lignes ? Aucun : l’invention des voiles de performance à trois lignes puis à deux lignes est là (comme Sagarmatha le sait très bien il me semble, à moins que sa mémoire flanche vraiment à force de bouffer trop de marketting en hiver) : https://aircross.de/fr/aircross-geschichte/
[/quote]
Tu aurais pu mettre discutable à la place de misérable, ton post aurai bien plus de sens.
La tu ne fais qu’insulter, donc du coup on écoute pas le fonds de ton propos !
On peu quand même échanger sans systématiquement insulter l’autre non ?
A moins que ce soit ton unique forme de communication.
Pour revenir à tes questions, voici mon regard suite à expérience des deux lignes “sages” (Peak4 et Zeno) en compet :
Sécurité : Il faut avoir l’expérience nécessaire en pilotage car, pour simplifier, deux lignes dit recherche de perf donc allongement plus important et c’est plutôt ce point qui apporte l’exigence en pilotage.
J’aurais tendance à penser qu’en deux lignes il y a plus de risque de cravate après fermeture.
Entretien : Plus de contrôle, oui, pour s’assurer que le calage est bon car avec environ 80% du poids sur les avants il faut s’assurer que les arrières ne rétrécissent pas trop.
Mais contrôle ne veut pas dire re-calage systématique.
Plaisir de pilotage : Tu ne l’as pas posé mais une grosse différence entre 2 ou 3 lignes est là, en plus de perfs.
J’ai maintenant la sensation que 2 lignes est la configuration naturelle d’un parapente et que 3 lignes ou 4 est une configuration de montée en expérience.
Si je veux faire une comparaison originale (mais risquée, j’attends les commentaires… ), quand tu es petit tu apprends à marcher avec un youpala, donc avec quelques roulettes pour t’aider, (3 et 4 lignes) et un jour tu es autonome sur tes deux jambes (2 lignes) et plus tard tu participes aux jeux olympiques en athlé (Enzo3) :lol: :lol: :lol:
tu peux peut-être développer car pour un puceau des 2 lignes comme moi, la synthèse que j’ai pu me faire de mes lectures, c’est que les 2 lignes (et très allongées) ça plane et ça a un super rendement mais ça tourne pas (par rapport aux autres).
donc quel “plaisir de pilotage”? en ligne droite?
Je n’ai pas trouvé le coté “ça tourne pas” sur Peak et Zeno, au contraire la Peak4 est plutôt ludique, plus maniable que l’Artik à mes yeux.
Un comble, non ??
La Zéno est différente, son coté poutre la rend moins sensible en thermique, moins joueuse mais je la trouve encore moins physique que la Peak en virage et c’est cool car sur des vols de plusieurs heures, tu t’économises…
J’ai un peu volé avec un proto compet à 7,5 d’allongement et ça change un peu mais pas tant que ça.
Alors c’est vrai que tout est relatif, mais en tout cas, aucune souffrance maintenant en virage sous ces voiles (ce qui n’était pas forcément le cas il y a 3 ou 4 ans)
Et puis, et surtout, tu ne choisis pas une 2 lignes pour ses qualités ou non en virage, mais bien pour l’apport en perf qui se traduit pas un plaisir de pilotage “global” surtout sur le couple plané/vitesse
Dernier regard sur le sujet, j’ai toujours entendu parler de pilotes qui, après des années de vol sous voiles perf, redescendaient en catégorie pour être plus zen.
Après avoir volé avec la Zéno, je pense qu’un cap est passé et que ce genre de situation se présentera moins…
Et ça va lui apporter quoi à Gibus? Très bon pilote, concepteur brillant mais je ne suis pas certain qu’il ait été un chef d’entreprise avisé, personne n’est parfait.
Sinon les premières U3 que j’ai croisé c’était en compet à la Clusaz au début des années 2000, 2003 je pense, y avait Gibus et Ronron dessous, effectivement ça planait et ça avançait, surtout comparé à une Sigma4 :shock:
Mais ça n’a pas vraiment percé à très haut niveau… …
[/quote]
Boah, Phil Broers a juste fait 3ème (ex-aequo) aux Championnat d’Europe 2004 avec une U3 (et encore, il aurait pu faire un poil mieux, mais lors d’une manche il pose volontairement, dans un endroit craignos, pour porter secours à un pilote qui a percuté la planète (hélas sans pouvoir le sauver).
Avec Phil Broers, paul Schmidt et Cédric Zoller, sous U3, la Belgique fait un top 10 par équipe en 2006 à Morzine.
Pas mal pour une petite boite qui disposait de peu de moyens, donc de peu de voiles à haut niveau