Oui Justin, ça fait partie des raisons qui font que le VAE a su trouver son public.
distance habitation -décollage
Réponse impossible.
Mon site, c’est Planfait.
Ma résidence principale, en banlieue parisienne, est à 600km. Je ne vais JAMAIS à Planfait depuis Paris.
En saison de vol, j’habite une caravane à Talloires, c’est à 2 ou 3 km de l’atterro de Planfait mais la caravane n’est pas ma résidence principale (je n’y reçois pas de courrier et le fisc ne connaît pas). D’autre part, étant retraitée, je suis “en vacances” toute l’année, donc jamais spécifiquement au sens où on l’entend normalement.
Mon site de gonflage parisien est à Argenteuil, à 5km de chez moi. En saison, c’est l’atterro de Doussard à 11km.
Mon bar préféré, c’est celui de Bruno à l’atterro de Planfait mais je n’y vais JAMAIS hors saison de vol.
Mon restau parisien préféré est à Paris 18ème, chez Aldo. Mon restau “de saison” est le bar de Planfait.
Bref le sondage ne comporte pas un panel de questions propre à une réponse correcte, il est donc mal pensé. Il me semblerait plus judicieux de lancer un sondage sur la distance du site de gonflage préféré.
En précisant : est-ce un site de gonflage FFVL ou FELA ? Autre ? ça y est je fais mon piment ROTFL ROTFL
Moi mon site de gonflage préféré, c’est le chant du vario.
Je viens ici sans prendre ma voiture, je cherche un thread comme “Appel aux actions du 17/11”, “Nicolas Hulot” ou tout fil ne traitant pas de parapente.
Un bon fil récent ouvert par Matthieu, wowo ou squatté par Sagarmatha peut aussi faire l’affaire 
Parfois je vais aussi sur twitter qui gonfle pas mal aussi, mais c’est moins marrant.
:canape:
:sors:
bon tu veux vraiment que je te traite d’emmerdeuse, et c’est ton droit le plus strict, mais je m’en garderai :ange:
avec un mini de bonne volonté tu considères que tu es en vacances (toute l’année tu l’avoues) donc tu coches la dernière option
(mais bien sûr avec un minimum de bonne volonté, donc pas obligatoire )
pour ma part, et comme beaucoup d’autres j’imagine, je n’ai pas de site de gonflage autre que mes décos (et j’en fais un minimum pour garder une grosse marge de progression :clown: )
Je réponds quand même, mais j’ai presque honte. 150m du déco. D’où je fais 80% de mes vols? toute l’année. Et où je repose 3 fois sur 4. Sauf des jours stables comme aujourd’hui, où je pose en bas et remonte à pied. Bilan carbone pas pire.
Conscient d’une “chance” incroyable. Mais un peu provoquée quand même.
Par contre ça rend flemmard. Pour aller sur d’autres sites, ben ça se fait surtout en cross pour pas perdre du temps en rotations 
Mais ça permet de minimiser le temps passé à l’activité (ou le maximiser), et de protéger la vie de famille!
J’avais déjà écrit je crois sous mon pseudo précédent, les bons jours, je peux faire bureau-déco-Dent-de-Crolles-bureau en une heure tout compris
Allez j’arrête.
(pas sur la tête!)
garde quand même ton casque ! enfoiré !
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:lol:
Alors merci du conseil mais d’abord je pédalerai moi-même, na ! Si je me souviens bien tu es aussi un peu cycliste et donc c’est pas la peine que je t’explique.
Mais c’est marrant ce que tu écris là parce que les premières fois que je voyais des VAE mes 1ères réflexions étaient “qu’est-ce que c’est que ce truc de fainéasse ?” :mrgreen:
Alors qu’en fait ça a amené au vélo tout un public qui n’en faisait pas forcément avant, alors voila quoi.
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HS:
le vélo VAE est excellent, ça permet d’élargir le rayon d’action du vélo. c’est intéressant pour les trajets qui sont un poil trop longs pour un voyage confortable en vélo normal. Je prends un exemple, un trajet pendulaire de 30km sur du plat. Avec un vélo de course ça prend 1h, mais avec cette distance il faut mettre les chaussures et le cuissard, ce qui demande de prendre un sac à dos. le confort est diminué, le trajet juste assez long pour bien transpirer. C’est une distance “bâtarde”.
Avec le VAE, ça prend 40 minutes, l’effort est un poil moindre, pas besoin d’équipement spécial, moins de transpiration
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Le problème est que si tu laisses ton vélo à l’atterro, tu as toutes les chances de te le faire chouraver (y’a un marché de “l’occase”) Pour réduire les risques tu peux emporter la batterie mais je te raconte pas le poids - et la place - en plus dans le sac. T’as intérêt à avoir une voile extra légère… Si tu transpires pas en pédalant, tu le fais après…
[quote]Alors merci du conseil mais d’abord je pédalerai moi-même, na ! Si je me souviens bien tu es aussi un peu cycliste et donc c’est pas la peine que je t’explique.
Mais c’est marrant ce que tu écris là parce que les premières fois que je voyais des VAE mes 1ères réflexions étaient “qu’est-ce que c’est que ce truc de fainéasse ?”
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Pareil, le premier que j’ai vu c’était y a 3 ans je montais Hautacam, content d’être à 10 à l’heure au dessus d’Artalens quand un gros type me double à vélo avec 15 km/h de mieux, sur le coup j’ai failli me casser la gueule de stupéfaction avant de comprendre qu’il y avait un truc…
Quand je ne serai plus capable de monter les cols avec un vélo “normal” dans 20 ou 30 ans je verrai à prendre un truc nucléaire!
Pour ceux habitant en région parisienne c’est plutôt 100-150km, en revanche, vu les petits déniv’: le déco et l’attéro sont au même endroit donc tu n’es jamais très loin de ta voiture, sauf si tu pars en cross.
95 réponses en 24h : inespéré!
c’est l’effet “dimanche pourri”?
Pour ceux qui sont en attente : Allez y ! Répondez !
merci
Depuis que j’ai arrêté la compet beaucoup moins de km pour aller voler, 2 fois cet été Barèges 80 km AR, le reste du temps c’est vol rando, le plus souvent départ à pied de la maison et atterro dans le pré de Fredo à 100m, quelque fois 5 ou 10 km en voiture avant de partir à pied, en général du lac d’Estaing ou du Tech. En fait je fais plus de km en voiture pour aller aux champignons ou en rando sans la voile.
Mais bon aucun souci écolo là dedans c’est juste que c’est mon envie de décoller un peu partout dans mon coin!
A pieds 7kms et 800m D+ en 1h45. Posé derrière la maison. Facile quoi !!!
1ère pente vaguement décollable : 45km (je n’y ai jamais volé)
1er site : 90km (j’y suis allé 2 fois)
Le club a un treuil (50km environ) et est plutôt actif pour organiser des séances, mais je n’y ai jamais participé.
Du coup, c’est toujours beaucoup plus loin, vers Lézalp ou autres montagnes… voire outre-mer ou étranger.
Du coup, je n’y vais que sur des sorties planifiées, de plusieurs jours (4 à 10 jours).
Du coup, je ne vole pas assez.
Un peu de hors-sujet : c’est dommage de se priver du treuil lorsqu’on en a un près de chez soi !
Le treuil c’est super et si le treuilleur est un bon, c’est super facile.
Et avec une piste suffisamment longue, dès que c’est un peu instable on accroche (le thermique) et c’est incroyable de se retrouver au plafond en étant parti depuis le plat !
C’est clair, et je regrette de ne m’être jamais assez motivé pour ça (sauf une fois pour aider à une séance de bi handicare, mais je n’ai pas volé).
C’est juste que j’ai d’autres impératifs sur les week-ends, souvent prévus de longue date, et il m’est difficile de m’en dégager au pied-levé quand la météo est favorable et qu’une séance treuil est organisée.
Question de priorités, évidemment. Je constate, sans le regretter vraiment puisque ça dérive de mes choix, que je ne pratique pas assez pour progresser.
PS/ c’est pas si “près de chez moi”, 50km en zone urbaine/périurbaine, c’est déjà 1h30 dans chaque sens, on n’y va pas sur un coup de tête ou juste pour y passer 1h.
Je vole un peu comme Hub et donc répondu le dernier choix. Objectivement, mon déco le plus utilisé, ça doit être Annecy ou Samoens. Après si on prend le site “moyen”, on arrive sur du site de plaine, facilement à plus de 100 km… Heureusement qu’on covoiture et que les rots déco/attero se font à pied, mais clairement on (les plaineux parisiens) est pas des exemples en termes d’empreinte carbone.
je suis à 30 km du site du matin, 18 km du site de l’aprem 
mais c’est un choix, quand je cherchais mon postdoc à l’étranger, dès que je voyais une annonce qui m’intéressait je tapais le “nom de la ville” et “paragliding” sur Google pour vérifier le potentiel parapentistique des lieux. J’ai donc fait mon postdoc à Trento, porte d’entrée des Dolos et non loin de Bassano del Grappa (pour ne citer que ceux-là)… De retour sur Grenoble depuis un an, j’ai bien écumé les sites alentours 