dureté des commandes

Non, c’est normal. On réussit très bien cette manoeuvre si on trouve le mouvement de lacet à la sellette et si les transferts de poids sont bien faits, sans retard. On monte même très facilement à 15° au-dessus du plan de la voile.
J’ai trouvé cela plus difficile avec l’Artik qu’avec la Joy et la Chili 2, qui montaient plus vite et plus haut. Ces comparaisons sont très accentuées quand on ajoute de la commande.

Une Hook 2 ou une Atis 2 sont de ce point de vue dans une bonne moyenne question vivacité.

Salut et fraternité*

Les wings over sont la seule figure d’acro que je réussisse à peu près, sans être la plus facile ni la moins dangereuse.

j’ai une artik 2 depuis l’automne et j’ai très peu volé avec…Mais j’ai touvé les commandes plus physique que ma factor.Pour ceux qui ont une artik 2 depuis quelques temps ,qu’en pensez-vous an niveau “dureté des commandes”?

J’ai moi aussi une Artik 2 depuis peu (juin 2011). Je ne connais pas la Factor. Je la trouve “dans la moyenne” au niveau de la dureté des commandes. Elle n’est pas physique sur de longs vols (3-4 heures). Je trouve que c’est un bon compromis, assez légère dans les 20-30 premiers centimètres puis elle durcit franchement au delà pour prevenir tout surpilotage.

J’avais trouvé la Mentor 2 un peu plus physique, plus ferme sur tout le débattement. La plus légère des voiles assez récentes que j’ai essayé est la Gin Sprint X alp, un régal de ce point de vue. La Rush 3 est aussi assez légère à la commande. Je sortai d’une Epsilon 5 (très physique). Je n’ai pas d’autres points de comparaison.

Ne dit-on pas parfois que les voiles très tendues sont un peu dures à la commande ? Certaines sont qualifiées de “camions” ou de “paquebots” ce qui semblerait signifier qu’elles sont lourdes à la commande, avec de l’inertie. :grat:
J’ai volé avec des tas de voiles B et C et comme je pilote beaucoup à la sellette je n’ai jamais noté de dureté particulière, sauf quand il faut freiner la voile pour sortir d’une spirale engagée, ou quand il faut la maintenir en décrochage (là c’est vraiment athlétique) mais on est alors hors du domaine de vol.

Ce que je trouve par contre pénible, ce sont les appuis des coudes sur les élévateurs, en aérologie turbulente, quand on est secoué comme un dé dans un cornet pour cause de sellette un peu trop large, avec le souci de garder de la précision dans les commandes et les genoux en mode pilotage actif. Là, les muscles travaillent pas mal.
Encore plus dures, les crispations quand on a froid.
D’où l’importance d’être en bonne condition physique.

Salut et fraternité*

:trinq: MERCI JEFF POUR TON RESSENTI