C’est marrant parce que j’ai un string mais ça me fait rien du tout perso au niveau psychologique.
Ensemble montagne
C’est pour ça que je veux une planchette, même une petite, j’ai un super sac hyper light super confortable de 60L une fusion et une ultralite ça rentrerait niquel !
Mon option est une UFO avec une sellette F-lite, le tout pesant 1,7kg et tenant dans mon sac à dos d’escalade (Millet) que j’utilise depuis 1972 (il a fait le Dru, la Walker et toutes mes courses dans les Dolomites, toutes mes randos à skis à la journée, deux fois la marche du concours de l’ENSA et je skie toujours avec, j’ai même couru un chamois et une flèche avec, en terminant dans les temps argent (je n’ai jamais atteint le niveau or).
Il est bleu et je n’a hélasi pas pu l’utiliser à l’armée, il fallut supporter les sacs “US” des années 30, des horreurs.
Le portage est fabuleux et je ne le sens pas.
Je l’utilise aussi quand je vais faire mes courses à pied.
Autre avantage : la sueur ne mouille pas la voile à l’intérieur, les bâtons et les crampons tiennent très bien à l’intérieur et le piolet à l’extérieur, je l’ai même bricolé pour pouvoir porter les skis.
Inconvénient : le rabat (qui peut contenir une bouteille d’eau) impose un tuyau si on veut boire sans ôter le sac, qui n’a pas été conçu pour la rando mais pour l’escalade difficile.
C’est un poil plus lourd que les sacs de portage ultra-légers mais il fait beaucoup moins transpirer et il ne cisaille pas du tout les épaules. Vu qu’il n’y a quasiment rien dedans, on ne souffre pas à la montée. il y a aussi des sangles sur les bretelles pour accrocher des dégaines, des coinceurs et des broches à glace, en cas de besoin.
Je pense que les sacs d’escalade sont mieux adaptés au portage que les sacs de parapente.
Tant mieux pour toi.
hello,
voila toute la difficulté de voler léger, de réver léger devant son matos dans sa piaule et d’être trés mal à l’aise en l’air (car pas de secours, pas de protec, doute sur la solidité,…).
Donc il faut bien définir ses besoins , ses priorités et ses capacités (technique, theoriques, mentales) une fois en l’air en l’air.
Une fois cela fait , tu peses ton sac , ça sera le poids qui te convient une fois en l’air, et moins bien au sol 
bye
jérôme
j’ai pas une grosse experience du vol mais pour moi le psychologique c’est plutot dans les sensations :
en effet en vol je me sens moins bien avec une karver 2 qu’avec une radical 3 sans airbag…
au niveau de la securité c’est techniquement exactement pareil (zero protection), mais le confort et la position sont differents. ainsi dans la radical 3, je me sens comme dans un fauteuil et j’oublie la sellette.
ce que je n’ai pas aimé dans la karver 2 c’est juste le sac a dos de portage qui me tirait en arriere (donc pas du tout la faute de la sellette mais du principe du string en lui meme) et donc me rappellait que c’etait un string sans protection. donc en fait maintenant je sais que pour me sentir en confiance je ne peux utiliser que des selettes avec sac a dos en vol integré (donc au min radical 3 ou easyness 2) et les strings ne sont pas faits pour moi.
c’est pour ça que pas mal utilise des sangle de rappel au niveau du sac qu’on viens une fois en vol accrocher au maillon de l’accroche sellette/voile !
Ouaip, mais quand on n’a rien d’autre dans le sac que le T-shirt (et le SG) imbibés de sueur, la bouteille vide et le sac de compression de la voile (dans le rabat) et les bâtons pliés sur le côté, je ne pense pas que cela pèse beaucoup et un VRAI sac à dos, qui reste bien plaqué au dos, ne tire pas en arrière et ne pendouille pas sur les fesses, offre un confort excellent.
Le rappel entre les bretelles et les maillons est par contre essentiel en vol-bivouac et en marche & vol parce que le sac n’est pas vide en vol.
Pour le reste, question mental, on s’habitue assez vite à voler avec une sellette-string sans casque, sans secours, bref “à poil”.
Cela commence à me travailler le mental quand les conditions forcissent et je ne fais pas de vol thermique dans cette configuration, c’est juste pour porter le plus léger possible à la montée et redescendre en volant, en air encore paisible et en profitant des petits souffles de brise qui déclenchent ici ou là.
Sur le vol de l’Aiguille du Midi, je suis déjà allée prendre un thermique rive droite, sous le Moine et les Flammes de Pierre, parce que cela descendait trop fort rive gauche au risque de poser sur la Mer de Glace, mais jamais je n’irais prendre en configuration minimaliste un thermique susceptible de me faire monter au Dru.
Le choix du vol qu’on va faire impose un équipement adapté, et le choix d’un équipement impose le type de vol qu’on fera.
Plus de 500 vols-randos et plus de 1500 vols thermiques m’ont apporté cette philosophie. On a bien évidemment le droit d’en avoir une autre.
Ok merci pour les précisions, je ne savais pas pour le rappel, je suis encore qu’un piou-piou (et je suis trop vieux pour devenir autre chose 
)
un sac a dos léger n’est quand même pas confortable a mon gout, j’aime quand la sellette et le sac a dos ne font qu’un.
Pour moi, avec ou sans protection, si on tombe on meurt :-p je ne me fais pas trop d’illusions sur mes chances de survie même avec protection (et la paraplégie ne me fait pas rêver). Ma seule sécurité se trouve entre mes deux oreilles càd qu’on est pas gagné
Question sac le sak Kortel est pas mal question portage en plus il fait air bag une fois retourné
Oula la vision étriqué de ce que peut être un incident de vol !
T’es pas obligé de te planter en tombant du ciel à -20m/s sur le dur, ça peut très bien être un incident plus minime, style décrochage/parachutale à 4-5m/sol à l’atterrissage (ou repose déco), asymétrique juste après le décollage avec retour à la pente à une dizaine de mètre du sol (et pas en chute libre hein !). Ce sont mêmes ces types d’accidents qui sont les plus fréquents. Et là une protection peut parfois faire la différence entre un simple coude cassé avec un tassement de vertèbre et justement la paraplégie…
ouai… enfin quand t’es pas trop grand sinon c’est pas top… meme dessérré a fond.
Dommage qu il ne soit qu’en une taille