Fermeture assymètrique accélérée

:grat:

Ce que je pige pas là Viviane, c’est pourquoi tu as pas tourné vent de cul, avec autant de zef tu aurais bénéficié d’une finesse de planeur pour trouver une vache plus confortable. Voire revenir au Roc pour tenter de faire du gain grâce aussi au zef et puis choisir un autre chemin pour revenir plutôt qe de bourriner tetue face au vent. :grat:

http://vimeo.com/89291872

Oh ho ho Viviane ou ce que t’es !

Je te pensais occupé ailleurs mais comme je vois que tu es active sur le fofo, j’avais espéré que tu nous donne une explication quelle qu’elle soit sur le pourquoi du comment ;

Car là, il existe assurément un réel intérêt pédagogique pour tous ceux qui lisent le forum et qui se posent de justes questions sur le bon usage de l’accélérateur en parapente mais aussi sur les plans de vol et leur nécessaires révision par moment au gré des conditions de vol qui évoluent.

Tu va pas me laisser penser que soit tu n’as pas de raisons (bonnes pour toi à minima) à proposer ou pire (et ça je ne peux me l’imaginer) que c’est peut-être avec le recul le constat d’avoir mal joué dans la circonstance et de ne pas vouloir t’y reconnaître qui te fait ignorer la question.

Au plaisir de te lire,

:trinq:

Faut lire hein!

Mouaih… pour autant risquer d’aller se fracasser en pleine ville, il ne s’est pas non plus montré dans les trois dernières minutes je pense. Si la masse d’air était descendante et non montante, il n’y avait, il me semble, pas non plus encore une telle urgence à descendre pour finir au pire endroit possible.

Est-ce que vraiment il n’y avait pas d’autres solutions à envisager, c’est ça finalement la question que je me pose assis devant mon clavier. :grat:

Ben si je comprends bien. Si tu connais un peu le spot. Ou si tu regardes sur une carte ou une photo satellite, avant, c’est le lac. Y’a surement un moment où tu peux faire demi tour, assez haut et assez tôt, et puis après c’est trop tard…

J’imagine que c’est juste le fait de ne pas se poser au pied du roc des boeufs à Duingt (et faire du stop pour rentrer à Talloire) … :canape:

Oui, ou pour fuir la zone d’accélération créée par le cumul de la brise et du cunimb qui tirait au bout du lac. Enfin j’en sais rien, j’étais pas là. C’est pour pas juger des décisions, bonnes ou mauvaises, prises dans une situation qu’on ne connait pas vraiment… Mais c’est pas vraiment le sujet de toute façon :coucou:

Avec ma Kaîlash, quand je ferme à vitesse bras haut, il y a au plus juste un petit mouvement en rouli le temps de revenir en dessous de la partie ouverte.

J’ai déjà eu en Paramoteur avec la Kaîlash une fermeture asymétrique à 80% full accélérée et détrimé au max du PTV avec le moteur qui pousse. L’aile à réouverte rapidement après avoir fait presque 180 degrés. Donc oui il y a bien une différence mais en vol accéléré, j’ai moins peur d’une asymétrique que d’une grosse détente de suspentes comme j’ai déjà eu (en Paramoteur).

Pour ta question “Faut-il mieux s’éloigner de la paroi, accélérer puis recoller?”, près du relief, les turbulences du aux rafales ou déclenchement thermique peuvent aussi bien arrivé de devant comme de derrière. Il n’y a donc pas que la fermeture qui guette mais aussi le décrochage.

Les manuels d’utilisation des ailes parlent habituellement du pilotage à adopter en aérologie active. Dépendant si c’est une aile full reflex ou profil parapente, dépendant à quel niveau de pilote s’adresse l’aile, ça ne sera pas toujours les mêmes conseils.

Pour ma M6, il est écrit que le meilleur compromis vitesse finesse solidité sécurité est au premier barreau.
Vérifie ton manuel pour voir.

Il n’y a pas de jugement de valeur sur la pilote, mais la question de…

Je pense que pour nombre d’entre ceux qui viennent sur le fofo pour trouver des réponses aux questions qu’ils se posent ou des informations utiles sur comment voler, lire que l’on peut arriver à aller se poser dans un atterro épouvantablement dangereux DANS Talloires, dans les rouleaux sous le vent du Roc de Chère, sur une pelouse minuscule devant un pavillon. en poussant pour cela l’accéléro.
Surtout si ils ne connaissent pas les lieux, peuvent s’imaginer que dans une telle situation, seul avancer contre le vent est une solution. Notez que dans les conditions décrite la finesse tombe en-dessous de 0,5 soit pratiquement une descente à la verticale dans un environnement qui au vu du zef ne peut que donner des turbulence maximales.

Alors oui dans le dos, il y a le lac mais la question est aussi justement de savoir à quel position horizontal et vertical on a perçu le cunimb et ou le vent fort de face s’est imposé. Cela permet d’avoir une idée des scénarios possible. Forcément, il n’y a que Viviane qui peut proposer ces éventuelles hypothèses.

Il me semble pas que cela soit hors sujet, Puisque la question originelle porte bien sur le choix à faire entre pousser le barreau et cheminement et/ou combinaison des deux.