le bordel entre le cale pied et l'accélérateur.

Nah. tu bluffes wowo
explique moi sur la photo de la forza (j’en ai trouvé une) :mrgreen:

http://www.flyozone.com/gallery/d/1/3/132297.jpg

pfff frimeur. :wink:

à vous lire çà parait presque trop facile

Kiss=keep it simple
C’est une règle de base en aéronautique, donc chez des gens sérieux :stuck_out_tongue:

“keep it simple, stupid” si je peux me permettre :wink:

ZeMike,

Si j’étais toi, je me procurerais un accélérateur “normal”. Au bout d’un moment ce genre de choses s’accumule chez les parapentistes, donc tu devrais pouvoir en trouver neuf ou presque pour pas grand chose.

Ensuite, tu relis un élastique entre la boucle de l’accélérateur (le 1er barreau) et ton cale pied. Longueur à ajuster au portique mais c’est pas au cm près, grâce à l’élastique. L’idée étant que l’élastique soit presque (voire très très légèrement) tendu quand le cale pieds est utilisé.

Pour le décollage, c’est le cale pied entre les jambes. Alors oui, teste un peu en pente école avant mais dans mon cas ça ne m’a jamais gêné.

Et ensuite c’est bonheur : super facile de chopper le cale pieds après le déco, super facile de chopper l’accélérateur en vol, super facile de revenir au cale pieds.

:pouce:

il y a plein de bonnes idées sur ce fil et je vais rester simple .

( c’est dommage de laisser tomber le leash de surf çà faisait trop classe)

Dans cette vidéo sur la Kuik2, on voit bien comment le cale pieds est relié à l’accélérateur :

http://youtu.be/cY7WUe8gDes

Du temps où je m’emmerdais avec une Karma 2, il y avait un élastique reliant le 1er barreau à la barre du cale-pieds, les deux ne pouvaient pas se désolidariser ni faire un embrouillamini du genre spaghetti trop cuits.
Le problème se situait au décollage : il fallait bien positionner le bigntz avant de mettre un pied dedans puis d’enfiler la sellette. Cela battait un peu le tibia dans la course d’envol mais bof… En vol, choper le cale-pieds du talon libre était évident (le pied dedans facilitait la manoeuvre) et choper l’accélérateur était facile… sauf qu’y mettre les deux pieds était délicat, talon gauche par-dessus et pointe droite par-dessous… bref une misère.

La seule fois que j’ai volé avec une Vamp (d’emprunt, ma Delight 2 étant en réparation) tout le fourbi s’emmêla et ce fut un vol compliqué, si inconfortable que cela se termina rapidement à l’atterro salvateur.
Devoir quitter le fabuleux thermique de Montclar fut un déchirement.

Mon opinion à deux balles : c’est le moment de passer au cocon. Finis les ennuis de cale-pieds, finies les crampes grâce aux poulies de grand diamètre, fini l’accélérateur qui se met n’importe comment, tout se trouve au bon endroit sous les pieds et le pilotage est un régal. Il reste juste un petit souci, parfois, pour choper le cocon en sortie de déco mais l’inconvénient est relatif.
Et puis on est bien dans un cocon quand on prend de l’altitude, on n’a pas froid même en hiver, le seul inconvénient que je rencontre est que le petit parcours à pied du point de posé au point de pliage m’oblige à marcher en canard pour éviter que la planchette repose-pieds ne me flingue les tendons d’Achille. Cela me donne une démarche d’ivrogne avant d’aller écluser une petite bière et cela fait désordre.
:trinq:

Je le sens pas tout de suite le cocon. Je serais moins à l’aise pour piloter selette dans les temps forts.
merci d’avoir essayé

Salut.
On m’a parlé du coup d’avoir un élastique qui relie le cale-pieds à l’accélérateur, mais après essais, j’ai laissé tomber :

  • Problème 1 : Je n’arrivais pas à avoir un montage où c’était bien centré. La prise de l’élastique sur l’accélérateur ou le cale-pieds avait tendance à glisser vers l’extrémité gauche ou droite et donc à mettre celui-ci de travers.
  • Problème 2 : l’élastique fait un truc de plus qui se prend dans les jambes …
  • Problème 3 : à quel barreau de l’accélérateur je relie ? Si je relie au 2è barreau, il me faut un élastique assez long pour éviter de tendre l’accélérateur lorsque je suis au cale-pieds, et celui-ci passe sous le 1er barreau. Si je relie au 1er barreau, il passe alors sous le 2è barreau et lorsque je suis à l’accélérateur au 2è barreau tend à rabattre le 1er barreau vers le bas.

En fait c’est 2 élastiques qu’il faut. 1 de chaque côté.
De cette façon, ça ne se tortille pas et ça ne gêne pas la prise au pied.
J’ai utilisé ça des années durant sans trop de pb - avant de passer au cocon.
En général, pour accélérer, je commençai par garder un pied sur le cale-pied, puis enfonçai le premier barreau avec l’autre pied. Ensuite, pour enfoncer au 2e barreau, il suffisait de ramener le 2e pied sur l’accélérateur, le cale-pieds venant se placer devant les tibias (j’espère que c’est clair, car je ne ferai pas de crobard).

C’est clair et parait pas bête. Je vais essayer, merci !

Tout ceci dit, si tu as plus pratique, je suis preneur…

Bon suite et fin de mon mélodrame.

j’ai viré le cale pied , de toute façon pour les turbulences et lécher le cailloux ce truc ne sert définitivement à rien.
j’ai mis un accélérateur coudé qui est scratché sous la selette

bon voilà je suis au top

Salut,
je fais un beau déterrage, mais j’aimerai essayer le truc des tanka pour l’accélérateur, sauf qu’au moment d’attaquer le bricolage, je me suis demandé s’il n’existait pas un risque que le tanka en question ne bloque la drisse de l’accélérateur au moment de relâcher ce dernier. En clair, n’y a t’il pas un risque de rester bloqué en position accéléré?

Ou alors j’ai rien compris au truc.

Merci aux utilisateurs du système de m’éclairer.

Après plusieurs mois d’essai, je confirme : ça fonctionne très bien. J’ai mis un élastique type sandow de chaque coté, entre l’extrémité externe de l’accélérateur et un point d’attache cousu sur les sangles latérales du cale-pied environ aux 2/3 de la longueur. Du coup, cela ne s’emberlificote plus en vol.

  • En vol, près du relief, j’ai les jambes repliées avec le cale-pieds qui passe entre les deux jambes en reposant sur le dessus du tibia droit (soit du coté extraction du secours souscutal, afin de garder la sangle du cale-pieds aussi loin que possible de l’extraction secours - le petit plus à David Eyraud).
  • En transition, avec le pied gauche, je tends le cale-pieds, puis y ajoute le deuxième pieds.
  • Pour utiliser l’accélérateur, je tends d’abord le cale-pieds avec le pied gauche, ce qui amène vers l’avant l’accélérateur grâce aux élastiques et me permets d’en accrocher facilement le premier barreau avec le pied droit.
  • Éventuellement, après le premier barreau, avec à nouveau le pied gauche je pousse deuxième barreau.

Il y a une discipline à prendre sur avec quel pied on pousse dans quel ordre, mais ça fonctionne bien.

Merci à tous ceux qui ont donné des indications ! :smiley: