Pas sur que tu ais complètement raison.
Je n’ai pas été un sportif de haut niveau. Juste un petit niveau national.
Certain de mes coéquipiers et/ou adversaire de l’époque ont percé et on fait carrière à haut niveau. Quand on se rencontre et qu’on en reparle, ils gardent un souvenir très fort de leurs championnats de France minime/cadet/junior. Pas forcément moins intense qu’une finale de championnat du monde (une victoire aux JO c’est encore à part).
Un « sportif du dimanche » qui se fixe comme objectif de gravir le Mont-Blanc ( +/- pour en redescendre en parapente), de faire un marathon, un triathlon… peut connaitre des sensations très fortes de satisfaction, d’aboutissement, de détresse, désespoir…comme un sportif de haut niveau.
