Les foins : préserver l'usage de "nos" terrains.

N’importe quoi ! Il y en as qui préférent le rouge :wink:

J’ai amené dernièrement des amis citadins très branchés bio, dans une ferme.Nous sommes arrivés au moment de la traite. Lorsque les gamins (9 et 11 ans), ont compris que le lait qu’il buvaient tout les matins venait de LA !!! ils ont été horrifiés et ont expliqué à leurs parents qu’ils ne boiraient plus jamais de lait. Ni leurs parents, ni moi même ne s’est risqué à leur dire que le fromage ou les yogourts avaient la même provenance :slight_smile:
Si ces gamins font un jour un sport de pleine nature, ils auront certainement du mal à comprendre que la campagne n’est pas le bois de Boulogne où l’on peut se balader à sa guise, et que de “l’herbe” peut être une culture qu’il ne faut pas piétiner.

Super document, belle initiative ! C’est en effet loin d’être inutile de rappeler ces règles élémentaires de savoir vivre.

Même en cherchant la petite bête (dans la botte de foin), je n’ai pas trouvé grand chose à ajouter…
Peut-être mentionner que la plupart des prés de fauche (que ce soit des prairies naturelles ou des prairies temporaires=semées) sont fauchés plusieurs fois durant la belle saison : souvent 2, parfois 3, et le regain (cité par Derob) est souvent pâturé par les troupeaux à l’automne. Donc il est utile de rester vigilant sur la hauteur de l’herbe, même si une fauche a déjà eu lieu car l’utilisation agricole de la prairie n’est pas terminé pour autant !
Et bien sûr, en fonction de la phénologie de la végétation, la période sensible ne va pas être la même à 300m d’altitude en plaine et à 1600m dans le Queyras où la première récolte aura lieu fin juin/début juillet au plus tôt :wink:

Déplacement de l’appel à contribution pour le panneau de l’atterro de Montaud, qui mérite son propre fil de discussion.