Ouais, comme elle était déjà au lit hier soir, bin j’l’ai pas réveillée et j’l’ai bisée ce matin.
Un autre truc qu’il ne faut pas perdre de vue, l’inversion des température, c’est rarement du genre +5°C et 20 mètres plus haut -5°C, c’est bôôôcoup moins contrasté (c’est donc décontrasté comme disait Garcimore), ça s’accompagne aussi assez régulièrement d’un cisaillement de vent … pas un truc du genre jet-stream, hein, mais un cisaillement quand-même du fait qu’on a quand même deux masses d’air qui luttent pour occuper la même place : elle glissent l’une sur l’autre.
Donc pour résumer et pour mettre tout ça dans la situation qui nous intéresse : les thermiques
- Généralement plus on prend de l’altitude, plus la température de la masse d’air décroit.
- La température des thermiques décroit aussi en prenant de l’altitude.
- Tant que la température de la masse d’air contenue dans le thermique est supérieure à la température de la masse d’air extérieure, le thermique continue a fonctionner.
- Lorsque la température de la masse d’air décroit moins rapidement en prenant de l’altitude que le thermique ne le fait, celui-ci va s’arrêter (un réchauffement n’est pas indispensable, une simple différence dans la diminution de la température est suffisant).
C’est la couche d’inversion : en gros, une zone ou la température décroit moins vite que le gradient adiabatique sec.
… ce soir je vous parlerai de ce fameux gradient adiabatique sec, pasque là j’ai un bilan à tirer.
A ce soir
Tonton Ben
).