enfin… bon c’est clair que c’est délicat de savoir toujours ou se trouve la meilleure solution 
dans mon cas, comme je m’interesse à beaucoup de choses, et que je consulte les médias de toute horizon… (fonction “actualité” de google qui amène aux articles du figaro à marianne en passant par 1 bonne cinquantaine de quotidiens d’informations + la possibilité de voir les commentaires en bas des articles, d’en faire etc…) bref, je finis quasiment toujours par avoir une idée sur les sujets sur lesquels je me suis penché… et si un jour je ne vote pas, ce sera par principe et non pas désinterêt et c’est ca qui compte. il y a déja tellement de gens qui votent et qui expriment leurs opinions sans “savoir” que je m’en voudrais de rajouter un mouton à la liste :roll:
ensuite, l’alternative utile, c’est de valider le vote blanc… bien sur, cela n’arrange jamais le pouvoir en place… et pourtant, ce serait l’un des plus grands progrès de la démocratie! 8)
Noooooooooooooooooooo elle l'a fait
[quote]mais je ne suivrais jamais la voie du “moins pire”
[/quote]
les grands mots "jamais " “toujours” :mdr:
je crois que la ligne de partage des sensibilités est souvent là …
entre d’un côté le compromis, la participation malgré les imperfections d’une démarche
et de l’autre une attitude plus radicale (intègre ?), le refus de cautionner
Qui a raison ? Surement personne, ou plutôt tantôt les uns tantôt les autres …
Vous aurez compris à ma phrase pécédente que je retrouve le plus souvent dans
les idées découlant de la 1ère attitude !
Je vote, même si c’est souvent par défaut
Je me réjouis de l’élection d’Obama comme validation d’une évolution sociale positive
(évolution passée) sans me faire d’illusions sur sa politique future …
(c’est pour illustrer, pas pour relancer le débat)
Il me semble même qu’on se chamaille plus souvent
avec quelqu’un avec qui on est d’accord sur le fond
(juste parce que étant d’accord, l’un trouve que l’autre ne va pas assez loin
et l’autre ne comprends pas que l’un soit si radical)
qu’avec quelqu’un avec qui on est en désaccord profand
(peut être parce qu’on discute alors moins longtemps…)
A+, Seb
les grands mots "jamais " “toujours” :mdr:
je crois que la ligne de partage des sensibilités est souvent là …
entre d’un côté le compromis, la participation malgré les imperfections d’une démarche
et de l’autre une attitude plus radicale (intègre ?), le refus de cautionner
[/quote]
effectivement, j’avais pas vu ca comme ca :roll:
et le pire c’est qu’en général, je ne suis pas aussi radical. . et sans faire de l’auto psychanalyse de comptoir, je crois c’est juste l’envie de me détacher, ou du moins de faire valoir mon opinion qui me fait employer ces termes là 
ca donne un caractère plus “incisif” à mes propos et c’est justement l’effet recherché 
mais je crois que cela touche tout le monde, en tout cas, ceux qui veulent parquer au cours d’un débat leur position 
naturellement, il va de soi que dans la vraie vie, je ne suis pas aussi manichéen :ange:
Qui a raison ? Surement personne, ou plutôt tantôt les uns tantôt les autres …
Vous aurez compris à ma phrase pécédente que je retrouve le plus souvent dans
les idées découlant de la 1ère attitude !
Je vote, même si c’est souvent par défaut
Je me réjouis de l’élection d’Obama comme validation d’une évolution sociale positive
(évolution passée) sans me faire d’illusions sur sa politique future …
(c’est pour illustrer, pas pour relancer le débat)
Il me semble même qu’on se chamaille plus souvent
avec quelqu’un avec qui on est d’accord sur le fond
(juste parce que étant d’accord, l’un trouve que l’autre ne va pas assez loin
et l’autre ne comprends pas que l’un soit si radical)
qu’avec quelqu’un avec qui on est en désaccord profand
(peut être parce qu’on discute alors moins longtemps…)
A+, Seb
Je précise juste que pour moi
ce radicalisme est plus près de l’intégrité que du manichéisme
Je proposais simplement une autre grille de lecture
dont on atteint très vite les limites …
Allez a+, Seb
ah oui ?
tout est relatif… regarde nos grands parents… a quel age ont-ils eu l’eau courante et l’électricité ?
Oui mais là tu sautes une génération, et pas n’importe laquelle, celle des baby-boomers! Le vrai scandale, c’est justement que c’est la première fois dans l’histoire qu’une génération vit moins bien que la précédente (qui en plus s’accroche au pouvoir comme c’est pas permis…).
Voir pour ça tous les travaux de Louis Chauvel:
http://louis.chauvel.free.fr/