Bonjour je réside à Tahiti petit clin d’œil à Bernard Claude
Le paramoteur
Le terrain de jeu est fabuleux. Le parapentiste en particulier, élargit son horizon dans des proportions incroyables, et ne se restreint plus aux seules montagnes. Oubliées les contraintes de navette, marche d’approche, vent de face au décollage, treuil, remorquage, récupération…
Quelques litres d’essence dans le réservoir, un coup d’œil à la météo… à la carte aéronautique… et à nous les cumulus ! Montée à 500 ou 1000 m, on cercle le thermique, coupure du moteur, plafond. Les afficheurs relâchés, ou le barreau d’accélérateur à fond, c’est la transition : si l’ascendance n’est pas au rendez-vous, un coup de démarreur électrique ou de lanceur, et ça repart ! Et quand l’activité baisse, retour au point de départ au moteur…
Mi-parapente, mi-paramoteur, les parcours sont sans limite. Certains souvenirs sont inoubliables : Dinan/Granville en sautant le Mont Saint-Michel à 1200 m d’altitude… Le désert tunisien… Les châteaux de la Loire…
Les parapentistes s’inquiètent de l’augmentation de traînée due à la cage, l’hélice, et la position du pilote. L’excellent travail réalisé par les élèves de l’ENSICA, nous informe qu’une division de la traînée du pilote par deux augmente la finesse… de 8 % ! Le type de pilotage, le système d’accrochage, l’adaptation de la voilure, la charge alaire sont également à prendre en compte pour une utilisation “motoplaneur”
Vautour desserre un peu les fesses et viens essayer le paramoteur tu vas kiffer… :forum:

