Heu…, le stage jamais fait (mais breveté parapente et paramoteur, sans stage aussi). 29 ans de parapente cette année et oui les années passent, pour moi on a 2 amortisseurs principaux qui sont nos jambes, l’airbag, le moussebag et autres c’est en plus de. Quand les conditions sont parfaites je me permets de sortir un peu plus tard mais la norme c’est entre 4 et 10 m sol suivant le brassage de l’atterro. Une bonne brise d’aprés midi d’été avec du stationnaire, reculade, remontée et autres fantaisies dans la finale du posé c’est toutes jambes dehors à 10 m sol et pret pour le rouléboulé, (y a pas mieux pour étaler et dissiper toute l’énergie), mais c’est vrais que ce n’est pas flatteur de se relever entier mais emmelé dans les suspentes et la sellette ou le pantalon verdis par l’herbe. Quant à la difficulté à ne piloter qu’aux freins en finale,comprends pas trop. S’il y a une discipline ou il faut chiader la finale c’est bien le paramoteur parceque avec 20 à 25kg de ferraille plutot chere et fragile sur le dos on a ni envie de se faire mal ni envie de tout casser. Je suis toujours surpris de voir autant de gens ne se relever qu’à la fin , fin du posé (certainement du à la confortable épaisseur des protections). A+