Petit sac pour élévateurs

Merci Laurent.

Je suis habitué à ce système et je l’apprécie.
Il n’y a pas de raison rationnelle à ce choix… :roll:

Je prends un GRAND soins de mon matos, tu n’imagines pas comme ça me rend malade en ce moment d’étaler ma voile sur de la terre pas parfaitement sèche et qui laisse des traces !

Ca n’abime pas, mais ça me fait ch …

J’avais prévenu que j’étais maniac avec mon matériel … :bang:

J’apprécie ta prose Sagarmantha, mais là, j’avoue avoir été obligé de chercher la définition dans le Larrousse !

Pour aider ceux qui sont comme moi :

[i]salmigondis
nom masculin
(moyen français salemine, plat de poissons, et ancien français condir, assaisonner)

Ragoût de restes de viandes.
Familier. Mélange confus et disparate : Un salmigondis de banalités.[/i]

Décidément, on apprend de tout avec ce forum !
:forum:

à Stefender: pourquoi tu n’investis pas 40 ou 50 balles dans un saucisse bag, au moins tu auras le rangement protégé pour les élévateurs et tu ne seras plus obligé d’étaler ta voile sur un sol “pas propre” pour la ranger

@ xolivie

Tu penses bien que j’en ai un !
C’est quand je l’étale et prégonfle qu’elle se salit …

Pour le saucisse bag, je cherche à alléger au max mon matériel en ce moment et donc ne plus prendre de sac pour la voile …

Quand elle était en 3ème, ma fille avait planté sa prof de français en insérant dans une rédaction le mot “hiérophante”, à l’origine grecque évidente et qui est le contraire de “néophyte”, plus familier à notre entendement moderne.
Sa prof avait fulminé en classe en disant : “j’ai horreur de devoir chercher dans un dictionnaire pour comprendre une copie d’élève”.
25 ans après, ma fille boit encore du petit-lait.
Bref j’aime bien enrichir la culture de mes lecteurs, surtout ceux qui apprécient la qualité de ma prose et l’étendue de mon vocabulaire. Merci. :pouce:

Pour revenir au sujet :
Le sac de contention me semble incontournable pour protéger la voile de toute abrasion mais on peut l’alléger, par exemple en se cousant un sac perso en Skytex 27 récupéré sur une voile HS. C’est un travail de bénédictin pour récupérer le tissu en défaisant les coutures, puis pour assembler les petits bouts pour en faire un sac. Avec le métrage de fil qu’il faut, je ne suis pas certaine que ce soit très probant.
On peut plus simplement bricoler avec du tulle à rideaux ou de l’organza, ou tout autre tissu en maille-filet.
On est là dans du pinaillage pour quelques grammes et il y a probablement davantage de grammes à gratter ici ou là, par exemple en montant des élévateurs en tresse Dyneema et en remplaçant les maillons par des connects.
Il existe aussi des mini-connects pour remplacer les maillons triangulaires des élévateurs mais avec la tresse on s’en fout, le montage se fait comme les raccords de suspentage.
Pour attacher les freins, il existe des petits clips en plastique à coudre, cela ne pèse rien. C’est l’occasion de monter aussi des poignées ultra-légères sans émérillons (on gagne quelques grammes) comme celles de la Skin ou de l’Ultralite, ces dernières ayant ma préférence parce que plus aptes à accepter des grosses moufles en hiver.

Tout cela se fait bien sur la Spantik, la plus géniale des voiles avec la Diamir.

On peut aussi beaucoup gagner sur la sellette, notamment en optant pour la plus légère de toutes, celle de chez Ozone qui pèse moins de 100g.
Et en rando / paralpinisme on se passe facilement de secours, là on gagne plus de 2kg. On se passe aussi de casque (un bonnet suffit).
Le sac à élévateurs ne sert évidemment plus à rien dans ce contexte.

L’Ancienne “portait” dans sa jeunesse, avec l’âge ses vertèbres s’en souviennent et elle est devenue une inconditionnelle du léger.
:trinq: Râââhhh !.. j’ai envie de voler.