Cela s’appelle du plagiat ! 
Phrases célébres ou non pour tous les passionnés de l'air
M…e quelqu’ un a deja mis ?
Sorry!
“Celui qui veut connaître le Divin doit sentir le vent sur son visage et le soleil sur sa main.”
le Coran
ça ne rappelle pas certaines scènes aux décos ? 8)
“Vent du cul, vitesse accrue” :vrac: :affraid:
Je ne crois pas l’avoir vu en parcourant les pages précédentes (s’il est déjà sorti, veuillez m’en excuser 
)
Elévation
[i]Au-dessus des étangs, au-dessus des vallées,
Des montagnes, des bois, des nuages, des mers,
Par delà le soleil, par delà les éthers,
Par delà les confins des sphères étoilées,
Mon esprit, tu te meus avec agilité,
Et, comme un bon nageur qui se pâme dans l’onde,
Tu sillonnes gaiement l’immensité profonde
Avec une indicible et mâle volupté.
Envole-toi bien loin de ces miasmes morbides;
Va te purifier dans l’air supérieur,
Et bois, comme une pure et divine liqueur,
Le feu clair qui remplit les espaces limpides.
Derrière les ennuis et les vastes chagrins
Qui chargent de leur poids l’existence brumeuse,
Heureux celui qui peut d’une aile vigoureuse
S’élancer vers les champs lumineux et sereins;
Celui dont les pensers, comme des alouettes,
Vers les cieux le matin prennent un libre essor,
- Qui plane sur la vie, et comprend sans effort
Le langage des fleurs et des choses muettes![/i]
Charles Baudelaire
karma+
tout de suite un femme, ça relève le niveau, c’est comme dans le parapente en fait , tapez pas les gars, tapez pas :canape:
karma+
tout de suite un femme, ça relève le niveau, c’est comme dans le parapente en fait , tapez pas les gars, tapez pas :canape:
Du profond de l’éther et dans l’aube naissante.
cette phrase mon cher demeure très profonde.
vacillante lumière éclaire notre attente.
que veux tu dire par là ? illumine notre monde…
Merci pour Charles
C’est pour te faire pardonner ça ?
femme au manche avion dans les branches :mdr: , je me trouve excellent enfin je veux dire honteux d’avoir dis cela :clown:
pour me rattraper 2 petites citations de st ex
“chaque habitant possède dix mille mètres de ciel pur sur lui, un ciel qui va jusqu’au cirrus” (courrier sud)
“alors descendant heure par heure cet escalier d’étoiles vers l’aube, on se sent pur. Quand maintenant gaz réduits, moteur assoupi, le pilote glisse vers l’escale, et qu’il considère la ville où sont les misères des hommes, leurs soucis d’argent, leurs bassesses, leurs envies, leurs rancoeurs, il se sent pur et hors d’atteinte.” (un sens à la vie)
“vent de fion : vent de couillon”
quelques unes qui apparaissaient dans ce livre dont j’ai parlé dans ce fil :
« Le parapente ne conduit pas au bonheur. Il est le bonheur… »
« il est des choses que celui qui descend de là haut ne sait redire »
« le parapentiste est un terrien insatisfait, s’élever dans le ciel, se rapprocher des dieux, quitter le construit, le confus, l’agité pour rejoindre le vide et la pureté, survoler la terre, l’embrasser d’un seul regard en écoutant les confidences divines, être dans le secret des nuages, le parapentiste recherche en l’air ce que la terre ne lui donne plus, de la légèreté, de la fluidité, de la liberté »
et 2 autres tirés de birdy également dans ce livre
“Quand je vole, c’est comme dans un rêve, sauf que ce n’est pas un rêve”
“Ce qu’il faut, c’est sentir l’air. c’est se dire qu’il est suffisamment consistant pour nous porter. Ce qu’il faut, c’est avoir confiance”
Cette phrase n’était pas originellement sur le parapente ou l’aviation… mais elle pourrait bien s’appliquer à ceux qui les pratiquent :
“Heureux soient les fêlés, car ils laissent passer la lumière.”
Auteur inconnus, mais sans doute un fin observateur du monde et de ses vicissitudes.
La perfection est atteinte, non pas lorsqu’il n’y a plus rien à ajouter, mais lorsqu’il n’y a plus rien à retirer.
St Ex - Terre des hommes.
Je prefere tres largement la version poetique de Leonard Cohen :
There is a crack in everything,
That’s how the light gets in.
Là ou certains voient un risque, d’autres prennent de la hauteur.
Ce n’est pas une phrase célèbre mais un slogan publicitaire pour la Banque HSBC
“J’aimerais un jour être assez sage pour ne plus avoir besoin d’aile pour voler”
Philippe Nodet (parapentiste)
cette fois ci c’est dans le dernier pp mag :
“j’admire les petites ouvrières qui assemblent nos ailes pour des salaires qui leur permettent juste de survivre et me permettent à moi de vivre magiquement” (christian-ancelin)"
“pour vivre, il faut risquer. déja on est rien, on maîtrise rien, alors si en plus, on laisse filer le temps…en attendant quoi ?, il y en a plus d’un qui devraient aller en montagne, ça fait du bien de le savoir de temps en temps, que t’es rien.” (Marco siffredi : partit à 23 ans alors qu’il tentait la première descente en surf de l’everest)
Pierre béghin et eric escoffier dorment quelque part en himalaya. Dans un trés beau livre de jean michel asselin (les années montagne, éd glénat), nous avons retrouvé ces mots trés forts, paroles d’or qui ne vous laisseront sûrement pas indifférent…
“La montagne m’équilibre. Que se passerait il si je devais arrêter ?, Je crois que ça n’irait pas du tout. Le quotidien m’emmerde. La plupart des gens aiment leur petit boulot, leur petite famille, etc. Moi, je vois une photo d’un sommet et ça me fait vibrer. Je suis assez angoissé et anxieux surtout à cause de cette question : “avec quoi ai je rempli le temps qui passe ?”. La montagne est plus qu’un jeu. c’est le moyen de remplir le vide. J’ai l’angoisse d’être repris par le confort, d’être récupéré par cette pente du “finalement, arrêtons de faire des choses difficiles”. En montagne, il existe un engagement absurde et un peu délirant qui me motive. Même si ça ne sert à rien (mais qu’est ce qui sert ?), j’aime ce délire.” (pierre béghin)
“Il n’y a que les amateurs de vie intense qui trouveront leur voie dans la grande aventure de la vie. Pas plus con qu’un autre, vous devriez chercher…” (eric escoffier).
“Quand tu donnes, tu perçois plus que tu ne donnes, car tu n’étais rien et tu deviens” Antoine de Saint-Exupéry.