Pour l’approche, le pilotage à la sellette me semble intéressant pour garder plus de vitesse et éviter d’avoir trop de frein intérieur ce qui pourrait entrainer un départ en négatif lors de la traversée d’un gradient très marqué…
Pour les Biplaces, ça me semble assez différent car sans l’aide du passager, les appuies sellettes sont bien moins efficace qu’en solo.
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hello Seb 26,
S’il y a un risuqe de gradient à l’atterro c’est qu’il y a du vent marqué. Donc s’il y a du vent marqué je pense qu’il est préférable de piloter son aile au freins car l’aérologie prés du sol est turbulentes et il faut être précis.
Et en général s’il y a du vent soutenu tu ne fais pas trop de virages car tu es face au vent;-)
Je ne suis pas contre le pilotage sellette. je pense juste que le pilotage sellette qu’on apprend et qu’on utilise ensuite est trop important par rapport aux pilotage aux freins. Il y a une dérive de l’utilisation de la sellette.
la sellette s’utilise par transfert de poids , ça suffit amplement.
oui en voltige , la ventrale est plutôt bcp plus déserrée qu’en pilotage loisir, et en voltige on fait des appuis marqué avec les cuisses sur la planchette, c’est trés différent en pilotage thermique et encore plus en cross:compet où on travaille plus par torsion du bassin…
Surfair , oui un pilotage sellette en contre suite à une grosse fermeture peut fonctionner mais tu sais bien que c’est trés difficile. Aprés la fermeture(ASY) le pilote doit prendre apui sur ses élévateurs avec ses avants bras pour remonter dans sa sellette puis de contrer, c’est trés long et peu efficace, comparer à un contre frein dosé.
Le contre sellette doit intervenir en anticipation avant la fermeture POUR DES VOILES DE LOISIR et il est préférable de "plonger " coté de la décharge(coté fermeture) AVEC LES VOILES DE COMPET pour garder de l"appui sur l’air et surtout de la vitesse pour que les commandes restent efficaces.
Il me semble qu’il vaut mieux apprendre tôt le débattement aux commandes plutôt que de l’amener tard , le pilote aura pris pas mal de défaut et encore faut il que le pilote accepte de continuer à se former.
Un pilote qui découvre les premiers cross, l’aérologie tourmentée est en danger s’il ne sait pas descendre les commandes.
A+
bigbud69
). Le débutant qui a tendance à se cramponner aux freins n’aura pas suffisamment de sensibilité pour sentir les efforts aux commandes. Il risque de tirer trop ou trop peu.
). Donc notre pilote n’est pas contrariant, en effet l’avant-bras vient immédiatement se verrouiller sur les élévateurs qui restent tendus ; déjà là on a empêché, tout en conservant une bonne vitesse, tout départ en rotation trop rapide. Dans le même mouvement notre pilote se tractionne sur cet appui en cherchant à “remonter” sur le côté haut de sa sellette, au-besoin en essayant de sortir le buste hors des élévateurs tendus. A ce stade on sait déjà qu’on ne fera pas plus d’un quart de tour et que l’aile est en train de se rouvrir.