Porosité? A réformer ou pas???

ta précision m’inspire une remarque générale:
pour quantifier sa pratique, je crois qu’il faut de manière générale:
-compter les vols quand on est en montagne
-compter les heures quand on est en en plaine.
l’usure est très différente et le nombre de posés l’est tout autant.

Ça voudrait donc dire qu’en plaine on vol plus longtemps qu’en montagne … ? … A vérifier.
Toujours est il qu’a nombres d’heures égales, je pense pas que ce soit les heures de cross qui bouffent une aile, mais les heures de pente école / gonflage / déco, posé, déco, posé, déco …

justement je voulais dire le contraire. à savoir en plaine, on décole, on pose 5 minutes après, on regonfle la voile, on repose 5 minutes après, on regonfle, on se fait trainer par le vent, on regonfle , on redécolle, etc.
bref, en une heure, dire “j’ai fais 10 vols n’a pas vraiment de sens”. Dire que l’on a fait 1 heure de vol en soaring est plus représentatif.

en montagne, “a priori”, (ca dépend de chacun) mais, souvent les vols sont plus longs, donc par exemple le taux d’usure de la voile sera surtout fonction du nombre de vol plutot que du temps passé dessus.
le mec qui vole 100 heures en 25 vols, la voile sera neuve ou presque. -> il sera alors plu représentatif de parler en “vols”
en plaine ou en soaring , le mec qui a fait 100 heures avec, la voile aura déjà a priori (à relativiser en fonction du pilote) plus dégustée qu’en montagne. On peut limite parler de moitié de vie.

sinon, effectivement, comme tu le soulignes, préciser le nombre d’heure de pente/gonflage, c’est encore mieux.