Sur stricte un plan gestion économique :
Des essais “gratuits”, c’est simplement les intégrer dans le prix de vente pour celui qui vend.
Pour celui qui vend sans faire essayer , il peut le déduire de ses charges ce coût et donc de son prix de vente.
Donc les essais “gratuits” son payés par les acheteurs qui achêtent là ou on peut essayer… en payant un peu plus cher.
Les essais sont véritablement gratuits pour ceux qui achêtent moins cher là ou on ne peut pas essayer.
Ceux qui essayent là ou c’est possible gratuitement et vont acheter ailleurs moins cher, là ou on ne peut pas essayer, font peser la charge des essais réalisés sur le porte-monnaie de ceux qui vont acheter là ou on peut essayer.
Un fabriquant - importateur - revendeur - qui n’intègrerait pas ces notions de gestion élémentaire se verait assés rapidement avec des compte déficitaire et en situation de mettre la clefs sous la porte trés vite. Sauf…
… Sauf s’il accepte ce dumping dans le but de s’attirer ainsi une clientèle… qui, il l’espère, va lui rapporter par ailleurs des marges suffisantes sur d’autres produits ou services pour largement couvrir cette perte. (CF les offres promotionnelles sur une petite quantité de produits ciblée des hypermarchés… qui se rattrappent largement sur le reste du caddie à la sortie, ou des fabriquants de produits technologiques qui se rattrappent sur les consommables ou les logiciels,…)
CQFD.
Donc il n’y a pas de vrai “gratuit”, on a tout juste le choix de savoir ou on la place sur la facture et quel client va la supporter. Ne pas admettre cette simple vérité économique, c’est tenter de se voiler la face derrière son petit doigt.
Un petit doigts n’a jamais protéger des coups de poings dans la G… au mieux, on n’a moins peur de les voir venir.
Il me semble donc qu’une plus juste devrait être : Les essais, une ligne séparée sur la facture ou pas ?