Brandi ton premier message ici m avais déjà fait plaisir … Celui la me conforte …
Merci a toi et à vous autres !
J expliquerais très vite ma progression sans me préoccuper des réflexions de certains
MERCI A TOUS
Brandi ton premier message ici m avais déjà fait plaisir … Celui la me conforte …
Merci a toi et à vous autres !
J expliquerais très vite ma progression sans me préoccuper des réflexions de certains
MERCI A TOUS
salut boya ! tout depend de savoir ce que tu fait et pourquoi ! pour moi j’ai une bonne 50 ene de vrais vols !(mais 150petits derriere la maison vu quej’ai appris seul
) et je tient environ 1h30 2 h en l’air pour des gains de 600 a 800 m et un stage perf qui m’a permi de bien savoir rentrer dans un thermique et d’y rester ! au debut je me suis fait jeter mechant ,l’autre jour une fermeture a 40/50% ,je remercie d’avoir bouquiner et m’etre mis dessous portique avec ma sellette et de m’imaginer le truc et faire pour de faux , ca m’a permis de ne pas ““stresser”” …(un peu quand meme :canape: )lors du en vrai!! maintenant je ne te connais pas et c’est vrai que chacun a SA progression ! une remarque interessante plus haut : savoir descendre quand ça monte … :grat: ca m’est arriver l’autre jour pour la premiere fois de ne pas arriver a descendre et de faire ce qu’il faut est important ! voila bon vols a toi est a un de ces jours sur le lac ou au banchet ou ailleurs ! bon vols !
Quelques réflexions d’un moniteur :
Le principal danger en débutant en thermique ne vient pas de l’aile mais des obstacles environnants. Il faut donc commencer en enroulant les thermiques loin du relief et loin des autres pilotes.
Quand on débute, on est absolument pas sur de sa trajectoire. Il faut donc se mettre d’énormes marges de sécurité. Plus la masse d’air bouge, plus on se méfie. Je ne compte plus le nombre de pilotes qui se sont retrouvés face à un arbre alors qu’ils pensaient enrouler un thermique (il est pourtant rare de voir un épicéa monter plus vite qu’une voile dans l’ascendance !
).
Il est difficile de comprendre la masse d’air et de savoir si ton pilotage est approprié avec 15 vols si personne ne t’aide à débriefer tes vols. L’air est un milieu invisible et terriblement fluctuant, il est compliqué de mettre en rapport les sensations, les connaissances théoriques et la réalité du jour. Même à mon niveau, le soir après un beau vol je me rend compte que nous n’avons pas tous fait la même analyse des conditions. L’échange est donc très important.
Bien sur faire gaffe à la qualité de la masse d’air et de son évolution, mais cela à déjà été dit.
Mes conseils :
Continue à prendre du plaisir en l’air comme tes posts le font sentir. 
Fait gaffe à l’excès de confiance qui est le pire ennemi de chacun de nous.
Essaye de te lier à un club, une école ou à une bande de pilote pour bénéficier d’un regard extérieur et de l’expérience des autres. Les vieux pilotes sont rarement avare de conseils (surtout si cela leur permet de briller devant un petit nouveau :lol: ).
L’épine peut offrir des restit’ particulièrement douces et agréables l’été sans vent, notamment en longeant le lac. Ca aide à progresser en confiance, assures-toi que ce soit zen et profites en!!!

Salut Boya, loin d’être un expert, voici tout de même quelques conseils (que les pros corrigeront si je raconte des âneries).
Au début je tenais ma voile avec trop de freins dans les thermiques, en pensant “tenir ma voile”, être au “taux de chute mini” et avoir un meilleur rendement. Non seulement c’est peu efficace, mais t’as vite fait de partie en vrille…
Laisse ta voile voler en restant au contact, un peu moins que le poids des bras. Ca te permettra de sentir la masse d’air tout en laissant vivre ton aile. Il y a deux moment ou ça me parait judicieux de faire complètement bras hauts : quand tu rentres dans le thermique, ou quand tu ne sens plus de vent sur le visage (rafale de cul ?)… On est dans les basses vitesses et c’est pas bon du tout ! Laisse ta voile reprendre sa vitesse de croisière avant de revenir au contact… tout en étant prêt à temporiser si elle part trop devant. Comme l’a dit Laurent, si tu es dans une aérologie merdique il faudra parfois aller chercher sous les fesses pour éviter la fermeture.
Il faut toutefois relativiser quand on dit vitesse=sécurité, le risque de fermeture est moindre car tu as plus de portance, mais si ça ferme ça sera aussi plus violent ! Il faut donc rester sur la défensive…
A 15 vols je pense que les vols de fin de journée sont une bonne idée si tu restes loin des obstacles (relief et autres camarades zoiso). Essaye aussi de bien comprendre ce qui peut arriver, et comment réagir le cas échéant.
Bon vols !!! :ppte:
Bon j ai relus plusieurs fois vos post…
J essaye de comprendre ce que veux dire tenir son aile mais c est un peu dur à assimiler à 15vols
Je suis aller à la bellette ce soir et j ai encore voler une bonne heure !!
Je rentre dans les thermiques , je traverse , et je reviens mais j enroule pas …
Je trouve que quand c est turbulent ( thermique ) il est difficile en plus d enrouler … En gros de tourner alors que ça bouge !?
Ça a du vous faire ça dans vos début ?
Je traverse donc les thermiques ce qui me permet de tenir …
Je suis tout le temps au contact (400 gr) mais je freine jamais sauf pour temporiser les abattées …
Bref pour le moment je m éclate comme ça , je stress quand ça monte dans du +2 mais ça passeras :canape:
Et je commence à balancer des gros virages au dessus du lac ça envoie 
Je vais aller voir ce lien de pp. Menegoz et je vais continuer les vols du soir
Et si ça ferme bras haut et je garde le cap à la sellette …
Franchement, enrouler en thermique, c’est quand même pas le tout début du début.
Moi j’ai mis quasiment un an avant d’accepter de me mettre face au relief (ça passe ou ça passe pas) et dans le traffic, et heureusement, j’avais déjà fait un paquet de beau vols en gérant des 8 le long des arêtes/reliefs.
Après, y’a enrouler et enrouler, personnellement, je suis un pilote très moyen, et je ne me souviens avoir réussi à noyauté un thermique qu’une seul fois après avoir zoner pendant 1 heure au rocher de bluffy.
Evidemment après, tout devient plus facile, plus large, plus évident.
En parapente, c’est toujours plus dur en bas qu’en haut, c’est pour ça que traverser un thermique à hauteur de relief, à mon niveau, ça ne me choque pas. J’essaye de l’optimiser en ralentissant pour en profiter au max, et en tournant avant d’en être ressorti. Après, quand tu l’as tâter une ou deux fois, tu envisages la possibilité d’aller essayer le noyauter.
Mais comme je le dis, pour un débutant, volant sur site, dans le traffic, je suis pas sûr que l’objectif de décoller, noyauter et foutre le camp soit vraiment pédagogique… y’a d’autres étapes avant…
Par exemple, j’ai fait une demi-heure de vol haché dans du sud merdique au semnoz cette aprem, et j’avais vraiment aucune envie de lui tourner le dos pour enrouler quoi que ce soit. Ce qui ne m’empêcher pas de monter (malgré moi parfois).
Noyauter le thermique, c’est la règle de l’art, mais y’a quand même de quoi faire de beaux vols, et de dégrossir l’oisillon sans ça (quoi qu’en dise les puristes)
My two cents… et ça vaut pas plus
‘‘Tenir son aile’’ c’est de savoir dosé entre bras haut ou tempo, suivant la situation pour garder ta voile au-dessus de ta tête.
En observant les pilotes en vol, certaine voile ne bouge pas en l’air tandis que d’autre se font brasser, Le gonflage dans un champ plat… pourra t’aider à comprendre le terme tenir son aile.
Profite bien et prends du plaisir. :rando:
as tu un gps ? je trouve que cela peut être génial comme outil pédagogique.
avec un outil comme le reversal qui est très précis et avec un point/s on arrive même à voir la dégradation du taux de chute dans un virage , ce qui permet de l’améliorer.
il est également possible de faire la courbe de l’arrondi de l’atterro et de vérifier que l’on ne passe pas par du positif à la sortie d’un 360 dissipé.
Ou bien encore de comparer les taux de chute avec différents exercices .
vérifier l’approche en fin de vol (PTS, PTU)
Et pour le debriefing après une journée thermique , même via le forum c’est le top surtout pour ceux qui sont restés coincé au bureau .

Envoyer des gros virages (ou quoi que ce soit d engage) au dessus du lac est vraiment la derniere bonne idee.
Quand on a pas de beteau qui te suis effectivement en dessous, le risque est bien plus eleve au dessus d un lac qu au dessus de la foret.
Pour avoir fait quelques (8) recups bateau en SIV, je peux te dire que certains auraient mechamment bu la tasse (pour pas dire qu ils se seraient noye) si on etait arrive 5-10mn plus tard.
enrouler le “petit” thermique c’est pas un soucis, mais je pense que le gros probleme c’est plus de mal analyser la situation et de ce retrouver dans une aérologie trop musclé pour toit résultat risque de grosse frayeur et donc risque de se dégouter du vol …
voler avec d’autre afin d’avoir leur ressentie sur la masse d’air est comme bien intéressant !

on bla-blate , on bla-blate mais tout est déjà dit et écrit par le
.
il vaut mieux un qui sait que deux qui cherchent.
Pas encore de GPS j ai déjà investi dans tout le Matos si tu vois ce que je veux dire …
Donc vais attendre de me refaire une santé financière 
Akira quand je dit gros virage je me comprend hein … Je tourne juste des 180 degrés sans enchaîner …
Mais je note pour le lac !
En tout cas je demande toujours l avis des gars sur le deco TOUJOURS ! D ailleurs samedi y’a une semaine jsuis redescendu …
Le livre de menegoz je ne fait que ça de le lire karma+