C’est quasiment impossible de savoir réellement à l’avance, ca dépend de trop de chose.
Ce que j’ai compris, c’est qu’au printemps, quand y’a des matinées très froides, puis une journée chaude (gros gradient de température), c’était nickel pour les pros qui cross, mais pas top pour moi qui veut progresser cool ! Donc je me lève tôt ou j’y vais tard !..
Du coup on peut faire des vols calmes le matin jusqu’à un certain point, ou d’un coup ca se met à déclencher. Et du coup, c’est un peu on/off et alors que c’était de l’huile 1/2 h avant, la c’est devenu turbulent avec des pétards désorganisés.
Après rappelle toi que le soleil se lève à l’est ! Ça change la donne aussi suivant l’orientation de ton site 
Le problème c’est qu’en parapente il est quasi impossible de pouvoir inscrire un pratiquant dans une progression réelle de la difficulté.
En ski par exemple, quand tu apprends, tu vas sur des inclinaisons de plus en plus forte, tu choisis une piste damée ou avec quelques bosses, de la neige damé ou pas. Tu peux y aller graduellement.
En parapente, c’est quand même vachement plus délicat ! Bon les moniteurs y arrive quand même un peu car ils connaissent très bien les sites, mais une fois en l’air, t’es jamais à l’abri d’une surprise
Du coup c’est un peu de l’apprentissage forcé ! Et finalement, ben tu te rends compte que tu t’acclimates au mouvement de l’aile et que tu finis rapidement par piger le truc pour garder l’aile au dessus de la tête. Après, le problème c’est de supporter ca dans la durée, sur 1h ou plus… Autre paire de manche !