…le prix pourrait ne pas être si cher que ça si réalisé en série , les militaires testent en ce moment des drones pour la récup de blessés au sol par traction cela semble fonctionner , une plate forme de base et ensuite habillage à la demande des clients… EDF , SNCF , Police , Douane , Cinéma , Reportages divers , Pompiers et autres …
Cordialement . Pierrot capt .
Et puis après on montera en drone pour les vols « rando »?.. Puis on sautera en se-bag pour aller poser les stabs sur le cul des chamois?..
Plus sérieusement, se faire tracter en drone pour ensuite thermiquer ça existe déjà, ça s’appelle le paraprout, ou le paramoteur électrique pour ceux qui veulent moins prouter. Il suffit de décoller en moteur et après de couper tout, mais à ma connaissance peu de monde pratique de la sorte, alors le drone… Personellement je ne vois pas trop l’intérêt… À part peut être pour les clubs éventuellement, qui utiliseraient le drone pour plusieurs personne, mais bon vue la différence de prix avec un treuil et la faible autonomie l’utilité me semble là aussi limitée.
Mouais… Chaque constructeur voudra sortir “sa” plateforme.
Et tous les clients que tu cites (militaire, EDF, cinema, etc) utilisent du matériel super cher en général.
De nombreux pilotes font un paquet de bornes en voiture pour se rendre sur un colline bien orientée. Dans certaines régions c’est même tellement loin qu’il faut oublier de pratiquer cette activité
150 mètres AGL (QFE…) C’est l’altitude maximale réglementaire établie par la DGAC pour les “aéronefs télépilotés sans personne à bord” (drones)
Arrivé à l’altitude “réglementaire” tu actionnes le Return To Home, soit, mais quand on sait que se larguer au treuil à 300m c’est déjà compliqué pas facile car il faut être très rapide dans sa prospection pour trouver “LE” thermique qui va bien…
Du coup je rejoins la conclusion de xbug
Il devrait être possible de créer des zones spécifiques comme pour celles de treuillage.
De plus, même dans une limite de 150m/sol, le drone peut permettre de remorquer le parapente en attente et jusque dans le thermique.
Le souci reste la source électrique qui coûte bonbon aujourd’hui pour une telle activité.
Je crois que tu oublies que tout le monde ne vole pas dans les Alpes…
Je ne suis pas un expert du treuil mais il me semble que ce système gomme un de ses principaux inconvénients : avoir à disposition une route adaptée (longue, dans le sens du vent, sans obstacle, sans circulation, etc).
Donc non, l’idée ne me semble pas débile du tout. Après il faut voir le coût évidemment.
il suffirait sans doute de faire homologuer le terrain de remorquage par la DGAC, en dehors de toute zone réglementée, à l’exemple du terrain de mon club d’aéromodélisme
et qui a une altitude maxi de 500m. (et qui apparait sur la carte IGN aéro)
Je ne souhaite pas contrarier les travaux des concepteurs du drone tracteur (TASA) en parlant ici d’une autre solution trouvée il y a un moment.
Bobet (Norbert Barboux) qui a été, entre autres, starter dans notre club “la Belle idée” à l’époque, avait, avec Hubert Chrétien, réalisé un mini treuil radiocommandé embarqué comme un ventral avec son câble accroché à un point fixe au sol et qui a été homologué.
Il n’est/n’était pas électrique mais thermique.
Je ne sais pas s’il a, ou a eu, un succès commercial. :grat:
Avec l’amélioration des systèmes de télécommande il semble plus logique et efficace de laisser le moteur au sol. Cela supprime les problèmes d’encombrement et de poids embarqué.
La version précédente était plus classique CàD treuil de petite taille arrimé au sol , radiocommandé comme l’autre par le pilote. Le câble accroché au pilote comme avec un treuil normal et qui se largue manuellement.
Inconvénient : une fois le largage effectué, le petit treuil au sol est laissé tout seul, embêtant dans le cas d’une installation à un endroit sans surveillance, à moins de revenir se poser en ayant volé en rond tout le temps pour toujours avoir un œil dessus… :clown:
Est-ce cela la raison de l’abandon du projet ou impossibilité d’homologation :grat:
Bon, d’accord, j’ai merdé en écrivant “un pilote lambda”, pensant qu’un pilote financé par RedBull évolue ipso facto dans un cadre exceptionnel et ne peut être qu’un pilote exceptionnel.
Je ne volais pas à l’époque et le souvenir que j’avais de cette vidéo était surtout le vrac avec le pilote, la moto et la voile.
Revoyant grâce à ce fil de discussion une vidéo qui me rappelle celle vue à l’époque, j’observe que le gus n’a pas de parachute, donc qu’il sait où il va et qu’il a fait plein d’essais avant de réussir son truc, donc que c’est un tout bon. (je viens de découvrir la Vivat, une ambrée du Nord pleine de promesses, qui a fini à l’évier, un mauvais plan)
Cela ne répond pas au même cadre d’utilisation. Pour treuiller, il faut un très grand champ ou grande zone “libre” dans l’axe du vent. Avec un drone, les possibilités deviennent multiples.