Sigma 10

Semi-printemps, c’était septembre et pas mai :wink:
Mais oui si je change pour cette Sigma, cela serra ma voile unique. Je ne garde pas la Iota…

Swaxis38, ta boîte est pleine…

J’ai reçu ma S10 et je dois dire que c’est un vrais bonheur cette voile, elle est surprenante en thermique, j’ai l’impression de mieux voler depuis que je l’ai. Venant d’une Artik3 la différence est flagrante.
Bref, je suis certain d’avoir fais le bon choix. :ppte:

Aprés 7h de vol en conditions d’autumme je me regale avec cette voile,

Je la trouve plus precise que mon Iota, plus sensible e beaucoup plus performant.

A+

Ouais j’ai ressenti exactement la même chose entre iota et sigma10, plus sensible et précise, rapide aussi, ce qui donne au final une voile bien équilibrée et plaisante à voler

Vu le prix, c’est sûr que ça doit être plaisant à voler. Mais ce n’est pas très poli. Et c’est un peu osé de s’en vanter ici en public. (Bon, si vous en volez une en trop, faites-moi signe quand-même, je peux débarrasser le surplus).

Comparer une B+ et une C c’est bien normal que la C soit plus sensible et dynamique et performante ! C’est le contraire qui aurait été étonnant voire anormal ! On peut faire le même constat entre une Rush 4 et une Delta 2/3 ou Ikuma et Artik 4 !

Hé les gars, vous avez pas mieux que.
J’ai cette voile elle est super ? :grrr:

On peu de détails ne nous tuerai pas !

Stp, lis un peu quoi…:
“plus precise que mon Iota, plus sensible e beaucoup plus performant”
“plus sensible et précise, rapide aussi”
“La Sigma est clairement plus rapide et plus sensible à la commande. Il faut être plus réactif. Le gonflage est un cran plus compliqué qu’avec la iota et l’approche de l’atterrissage doit-être un peu révisé au vu de son plané/vitesse.”

ROTFL

Que l’on puisse en quelques heures de vol (même en conditions automnales) trouver que subjectivement (ce serait pas plus mal de le préciser) qu’une nouvelle aile est plus sensible voire même plus précise, pourquoi pas. De la à être capable d’affirmer qu’elle serait aussi plus rapide (de combien, mesurée comment ?) et beaucoup plus performante, me semble risible et digne d’un copié/collé du marketing.
De même que je trouve amusant que le “cran” de difficulté en sus au gonflage puisse être significatif pour mériter de se voir écrit pour des pilotes qui se pensent à leur place sous ces ailes (encore une fois, surtout ramené à un constat fait après seulement quelques heures de vol, donc quelques gonflage) Et que penser de la nécessité de devoir “réviser” son approche à l’attérro au vu de son plané/vitesse.

Vous êtes sur que l’on vous à pas vendu un Swift (pas celle d’Ozone, l’autre)

http://www.aerofly.fr/medias/images/swift616d.jpg

Honnêtement avec de tels retours d’utilisateurs et surtout si ils trouvent des oreilles crédules, les marques n’ont pas vraiment à s’inquiéter et peuvent tranquillement continuer à jouer l’inflation des prix.
À croire que le plus grand nombre souhaite trouver une place chez PPmag ou PP+, ou est un vrai esprit critique et une approche réaliste des capacités, performances et exigences de nos jouets.

:trinq:

Eh bien moi je ne trouve pas cela “risible du tout”.

Ce sont les premières impressions que ce pilote a eu. Moi aussi j’essaye différente ailes en ce moment, et il est assez facile de voir quelles sont clairement:

  • Plus rapides, sutout accélérés. J’ai atteint des vitesses/sol sans vent ou par vent faible que je n’avait pas atteint avant, avec une différence bien supérieure à l’incertitude de mesure.
  • Avec un bien meilleurs plané, facile à vérifier grossièrement sur des transitions connues par vent faible et surtout sur les attérissages connus, ou il faut changer ses repéres.

Ce n’est pas parce que des mesures scientifiques de vitesse, finesse, etc,… sont très difficiles au vue du nombre de paramètres en air turbulent (quoique) que l’on ne peut pas faire une comparaison avec son aile précédente, surtout si les différences sont importantes.

Wowo, ton commentaire est vraiment péremptoire. Ce n’est pas parce qu’on trouve une aile meilleure qu’une autre qu’on succombe au marketing et qu’on a perdu tout sens critique. Alors c’est vrai que les retours dans ce fils manquent un peu de détails, mais si on tape sur chaque personne qui donne un retour plus personne n’en donnera.

Peut être que le pilote devrait attendre d’avoir 100h dans toutes les conditions sous sa machine avant de poster un retour, mais alors on en serait peut être à la S12 et surtout le souvenir de son ancienne aile serait plus lointain pour un comparatif.

Concernant les possesseurs de S10, quels sont les points négatifs de l’aile d’après vous ? Avez vous déja testés les manoeuvres de descentes rapides ? des retours de SIV ? comportement en basses vitesses/point dur ? oreilles stables ? Eh oui on est curieux !

Désolé pour les fautes, j’écris rarement en francais.

Bonjour

D’abord je m’excuse pour mes fautes en français. Bien que j’ai dejá fait une these en français il y a quand meme 20 ans de delai. Et la langage ça part trés vite si on ne la pratique pas (je suis portugais d’origine).

Sur le sujet de la sigma 10, je confirme que le decollage c’est un peux plus compliqué que l’Iota. Il faut etre plus doux. Au debut j’ai aidée la montée de la voile avec les A’s (comme je le faisait avec la Iota) mais maintenaint je trouve que a partir des 30 degrees de montée il ne pas necessaire de continuer a aider la montée de la voile.
Je trouve aussi que le debatement des freins et beaucoup plus court que l’Iota. Ça ce pilote avec peux de freins. Pour moi c’est une adaptation que je dois faire: il fault etre précis avec la commande exterior.
Pour les oreilles j’ai trouvée que sont acceptables: elles bougent plus que l’Iota mais restent trés acessibles. Je irai confirmée ça dans les prochains vols.
En turbulence, c’est pas la même chose que l’Iota. Elle bouge plus, donc il faut piloter plus activemente, mais je la trouve aussi trés accessible. Par contre c’est plus simple de trouver l’ascendance qu’avec la Iota. Et la c’est le plaisir.
Dans mes 30 ans de vol libre (a peux prés 60h de vol par an) je crois que c’est une trés belle reussite d’advance (“high performance and accessibility”). Peut-etre je trouverais la même chose en volant une Delta 3. Mais il faut voler avec pour le dire.

Gil

oui bon c’est un fil S10, EN-C, donc si tu veux la comparer avec d’autres voiles, la logique serait de le faire dans la meme catégorie/programme, parce que pour ce qui est cité sur la comparaison avec la Iota, on n’a pas besoin d’essayer la S10 pour le dire, et en comparant S9/Iota, on écrirait la meme chose.

Donc ça en dit pas grand chose sur la nouveauté qu’amène cette S10 par rapport à la S9, ou ce qui la différencie des autres ailes dans la catégorie “sport”.

Ce qui me dérange avec cette S10, c’est l’addition de joncs sur l’extrados. Cela est, semble t-il, une généralité sur ce type d’ailes, mais cette “rigidification” systématique ne me semble pas aller dans une démarche de simplification. Allons nous avoir dans quelques années des “rigides” ?
De plus, la mode est à l’allègement du matériel, mais pourtant le volume des sacs ne diminue pas…

Merci pour les retours sur la S10 ! La comparaison avec la iota est intéressante pour moi, et peut être pour d’autres pilotes qui envisagent le passage iota/sigma.

Oui cette rigidification est un problème pour la compacité. À quoi cela sert d’avoir une aile semi-light si finalement à cause de son volume tu ne peux rien mettre d’autre dans ton sac (j’exagère)?

De manière générale, je me demande si en parapente il est encore possible d’innover ou améliorer les performances en “simplifiant” les structures de la voile, au lieu de les complexifier, en ajoutant des cellules, des joncs, etc. ?!

Je pense qu’il est possible de travailler sur le profil et la qualité d’assemblage (3D shaping) pour gagner en perfs. Moi aussi je ne suis pas chaud pour l’utilisation de joncs sur quasi toute la corde, sauf sur les ailes de compétition de haut niveau, là bien évidement on va difficilement pourvoir s’en passer. Un sac compact et léger moi je suis fan !
Il existe le nitinol (pour les joncs) utilisé par Niviuk qui semble plus tolérant au mauvais pliage mais qui ne change rien au volume final une fois la voile dans son sac.

La S10 malgré l’ajout des joncs sur l’extrados reste tout de même sympa en terme de poids, la Delta3 est plus lourde à taille égale par exemple ! (en moyenne 500gr ! c’est pas rien :? )

Je vous parlerais un peu plus tard car je ne l’ai pas encore assez volé, mais un point me parait important à noter :

Le poids/volume est vraiment optimum, j’ai une 23 en essai.
Je dirais qu’elle est aussi voir moins volumineuse que mon ancienne CURE, qui était en 23m² également.
Le poids est vérifié, 4,7kg avec le sac d’emballage et la sangle.

RIEN A VOIR avec une delta 3, qui est beaucoup plus volumineuse et beaucoup plus chiante à plier de mon point de vue car pour laquelle le coussin de pliage est obligatoire et représente un volume conséquent. J’ai pas vérifié le poids de la delta 3.

Pour la S10, les Cwire s’alignent hyper facilement si vous avez bien aligné le bord d’attage, ce qui est fait normalement si vous utilisez un saucisse bag. on rabat le bord d’attage au raz des jonc du bord d’attaque et on replie à nouveau, les Cwire se positionnent parfaitement et ne sont pas plié. J’ai fait gaffe aux 2 premiers pliage, mais franchement, on peut les oublier.

En terme de volume, je rentre la voile dans le sac de strike (80litres), avec mon bazar, casque doudoune etc…J’en étais bien incapable avec la delta 3 et la mentor 5 essayé recement…

Je précise qu’il y a eu des essais détaillés de la Sigma 10 publiés dans les revues suivantes :

[b]- Parapente Mag n° 172 (juin-juillet 2017) ;

  • Parapente+ n° 454 (septembre-octobre 2017), [/b] actuellement en vente.

Marc

http://www.youtube.com/watch?v=f_f3hgzclMg