théorie de comptoir

nous les paralpinistes on s’en branle de vos réflexions. y’a pas de vario/GPS/ventimetre ou autre qui compte. l’important c’est d’être ne mesure d’analyser si ça décolle et surtout si ça vole assez pour poser à côté de la bagnole. :ange:

La vitesse tue !
La vitesse c’est dépassé !
La vitesse: c’est dépasser
La finesse !!. Aaah !! LA FINESSE !!!. Suivant le régime de vol, ma voile en a une bien spécifique.
Quel que soit le régime de vol, moi je n’en ai aucune.
On peut tenir compte des 2; alors ça devient la Vinasse.

Chuitrokon.

ROTFL :mdr: :mrgreen: => :trinq:

…ouaf…c’est la théorie du g…vol , enfin pour dire que ça ma l’air d’une théorie plutôt “sexual”… pénétration… la masse …finesse … vitesse se mettre dans le sens du vent …?..(pour les experts) , et bien sur après la chute ici en m/s… :soleil: et il est ou le trou d’air :mrgreen: Cordialement . Pierrot capt … :ppte: :trinq:

:coucou:
Pourtant; chaque fois que je tourne la tête en vol; je suis certain de me prendre le vent en travers… :mrgreen:

Ce ne serait pas la définition du Cx, ça ?
Y a des chances que ça se mesure en soufflerie ou même par simulation. Tiens, c’est vrai que ce n’est pas un chiffre donné par les constructeur.

Je ne pensais pas du tout au cx, mais à la capacité d’un profil de passer au travers des turbulences sans trop ralentir (hors fermetures évidemment).

Je suis pas expert. Gibus, qui intervient quand il a le temps sera beaucoup plus calé pour donner une réponse pertinente.

Par contre je sais que le profile n’est pas (et de loin) le seul facteur de la pénétration d’une aile dans une masse d’air turbulente.
Il y a aussi lle centrage, le vrillage, …

Pour ce qui est de mesurer, je vois pas, dans la mesure où il faudrait des conditions reproductibles pour des comparaisons.

A+
L

Pas que les yeux…

Il y a quelques points remarquables dans un parapente :

  • le centre de gravité, à proximité du pilote vu le rapport poids pilote / poids de l’aile
  • le centre de poussée, point d’application de la RFA

En vol stabilisé le CG est sur la même verticale que le CP (à l’équilibre les forces s’annulent).
Maintenant en cas de rafale ou ascendance/descendance (changement d’incidence donc), en fonction du profil (le fameux Cm0) on retrouve 3 comportements :

  • le CP ne bouge pas, l’aile reste parfaitement au-dessus de la tête.
  • le CP avance, ça porte devant le CG, l’aile cabre et ralentit
  • le CP recule, ça porte derrière le CG, l’aile plonge et accélère

A cela on rajoute un piment de déformation de l’aile en fonction de sa conception (BA blindé ou non de joncs, tension de voute, allongement, vrillage des bouts d’aile, etc) et on aura indépendament de la finesse des comportements plus ou moins perf en turbulence. Le terme pénétration me gêne également car il entretient la légende urbaine d’une influence du vent de face alors qu’il n’en est rien.

ou peut être que justement, face à toutes ces notion statiques, on chercher à creuser une notion dynamique !

pour moi effectivement la notion de “pénétration” est importante dans une aérologie mouvementée
y a qu’à faire la course le long de la crête à mouette de st hil pour voir la différence de vitesse entre deux ailes qui devient tout simplement affolante (alors qu’en air calme, toutes les ailes jouent à quelques km/h près)