Travailler la montée en thermique

  • bouffer des heures de vol
  • aller sur des sites different en toute conditions pour connaitre toutes les “sortes” de thermique…
  • apprendre à noyauter
  • apprendre à imaginer la derive du thermique à le visualiser
  • ne pas regarder en dessous celui qui te ratrape (t’es focaliser la dessus apres)
  • se mettre des demi tour de vrille dans le thermique si t’es enervé, ca te chauffe = surmotivation (si t’a le sang chaud, sinon fait toi pas peur)

pilotage, si t’a un cale pied ou cocon:

  • utiliser ton bassin et tes jambes sur l’axe du lacet avec de la commande (virage sérré et a plat), et donc ne pas simplement te pencher comme une merde du coté ou tu veux tourner.
  • dosage de la main exterieur (déjà dit je crois)
    -utilisation du roulis et tanguage pour créer un mouvement dynamique dans les thermiques puissant…

yes moi mon idée c’est pas se focaliser sur les mains, quand ca envoie on envoie, quand c’est petit on fais comme avec une pucelle!

les voiles aident pas mal, masi la selettes avec des contres, le ressenti de la masse d’air, les info en tangage, tous ca ca aide, des fois le thermique est plus fort 50m devant, le mec en dessous meme 50m en dessous n’est pas dans la meme masse d’air(exiga et rispoli qui disait ca!)

aprés c’est clair qu’en compet quand c’est petit moi je fais mon truc tout seul meme si je galere au debut, souvent aprés je me retrouve tranquille quand les autres se rencontre, perdent la bulle.

puis a part faire des heure et des heures je vois pas autrement.

puis une petite info, plus tu vole vite avec peu de frein mieux tu ressent la masse dair, le taux de chute mini te fais gagner 0.2 de taux de chute alor qu’une bonne info de l’air peux te faire gagner facilement 1m seconde :twisted:

mais bon moi je suis nul encore

Merci pour votre participation c’est super :pouce:

Le truc que je vais essayer c’est d’utiliser la main extérieur pour agrandir le virage dans le thermique. Je me rends compte que pour agrandir le rayon j’ai plutôt tendance à relever la main intérieur pour redonner de la vitesse et j’ai l’impression que ce n’est pas la meilleure méthode. Ça génère plus de tangage et je risque de sortir du thermique plus facilement…

Vivement que ça VOOOOLLLLLEEEE !!!

:trinq:

Exiga ,c’est le DTE et moniteur de Vol’aime de Targassonne à coté de Font Romeu ?

oui, c’est bien lui ! (et aussi le champion de france 97)

Merci ! :trinq:

listoire cest ke lorraine disait jetai juste en dessous je montais pas pareil et ils disaient que en dessous ou au dessus tu n’es pas dans la meme masse daire , le meme thermique, la fin, enfin bref voila, je pence quil fau juste ne pas se prendre la tete, faire des heures essayer un peu tout les systeme et a force ca le fait, le sens de rotation aussi aide, des fois c mieu dun coté que dun autre

Salut Guillaume et tous les autres,
Se faire crâmer par un pilote alors que 30 secondes avant il était en dessous, c’est vrai que c’est rageant, mais c’est justement en l’observant (tout en gardant un oeil sur l’environnement et les autres voiles autour) que tu pourras peut-être distinguer un geste, une position à la sellette de ce pilote énervant ou même parfois la configuration de son bord de fuite, etc…

Etant comme Le Vautour (sympa ton site, et respect pour ton fils au piano, soit dit en passant) un pilote de plaine, je travaille souvent le 'tit thermique qui rend fou mais qui fait vachement progresser.
En effet, quand les conditions sont faiblardes, et notamment en compète (où le but est de faire une perf), ma tactique [color=green](je ne dis pas que c’est la meilleure manière, j’explique simplement ce que je fais) est de toujours OBSERVER : avant de décoller et pendant le vol.
Avant = les nuages, rues de cums ou non, vitesse du vent météo, conditions thermiques, dynamiques ou comme très souvent au Puy de Dôme : thermodynamiques.
Pour pousser le bouchon encore plus loin, parfois quand les conditions du lendemain ou du jour parraissent fumantes, je regardes avec mes pôtes de cross, les émagrammes, les prévi, les bulletins tactique et fin de Météo France et quand les vélivoles sont tout excités, nous regardons leurs alertes météos (mais là c’est vraiment pousser le bouchon très loin) :canape: :sors:

Pendant le vol : toujours observer l’évolution des conditions aéro et de vol, et pour ce qui est de la montée en thermique, j’essaye (je ne dis pas que c’est la meilleure manière, j’explique simplement ce que je fais) de m’imaginer la masse d’air en couleur et notamment quelle forme peut avoir le thermique selon la dérive, le vent météo, les pilotes qui doivent être dans le même thermique que moi et qui sont en dessous ou au dessus, etc…

Comme tu le dis dans ton msg, je serai plutôt le genre de pilote à t’énerver ( :grrr2: sans vouloir me la pêter, car ce n’est pas toujours à mon avantage :evil: , vous allez voir pourquoi).
En effet je suis du genre à vouloir toujours monter le plus vite possible car je ne suis pas du tout patient ( karma- pour ma gueule et karma+ pour toi Guillaume), par contre je serre énormément le noyau, ou tout du moins je reste dedans le plus possible = le doux “chant du vario” :coucou: :trinq: (karma+ pour moi), mais du coup ma voile n’est pas aussi à plat que celui qui tourne moins le noyau et qui moyenne ( karma- pour ma tronche et karma+ pour toi), en revanche parfois nous sommes kif kif :+1: car selon la taille du thermique, son taux de montée/au taux de chute de l’aile utilisée, nous arrivons à peu d’intervalle au sommet du thermique sans avoir eu la même technique.

J’ai découvert il y a quelques mois, grâce à un article de Patrick Bérod (un roi du thermique) dans un magazine, une technique que je n’utilisais pas jusqu’alors : elle consiste à se pencher du côté opposé au virage pour essayer de virer le plus à plat possible. J’ai essayé et je peux dire que c’est efficace même si mes vieux :diable: de pilote impatient reviennent au galop.
D’autre part la tactique n’est pas forcément la même quand on enroule du “gros”, du “teigneux” ou du “p’tit” ou aussi du “hâché” :grrr2:

Bon c’est clair qu’en plaine, quand on prend du +6 on le note sur notre carnet de vol, mais qu’on vole en montagne ou en plaine, l’important il me semble est l’observation (même en vol et surtout en vol) car pleins d’indices s’offre à nous et c’est à nous de les utiliser à bon escient !!!
Le plus hallucinant indice que j’ai eu (une seule fois) lors d’un de mes cross, à été de passer dans un thermique qui sentait la bouse de vache ( on ne se moque pas :affraid: :oops: :dent: ) !!!
Eh oui j’étais 1000 m au dessus d’un magnifique champ où broutait des vaches qui ne se doutait surement pas qu’un parapentiste montait dans un thermique grâce à leur :sos: :affraid: :mdr: :sors: [/color]

[quote]sympa ton site, et respect pour ton fils au piano, soit dit en passant
[/quote]
merci :wink:

[quote]J’ai découvert il y a quelques mois, grâce à un article de Patrick Bérod (un roi du thermique) dans un magazine, une technique que je n’utilisais pas jusqu’alors : elle consiste à se pencher du côté opposé au virage pour essayer de virer le plus à plat possible.
[/quote]
Salut :coucou: ,

Moi aussi j’utilise ca de temps en temps surtout avec ma petite voile qui a tendance a plonger tres vite en virage. Par contre je ne l utilise que dans le petit. C est qd meme une super recette pour partir en helico vite fait. Et si ca commence a partir en vrille ca part a Mach12 … car la selette exterieure accelere encore la rotation en lacet. Tout comme le pompage du vautour, je reserverais cette technique pour les pilotes confirmes qui connaissent bien leurs ailes et les basses vitesses.

Mais a part ca c est vrai que ca marche pas mal du tout … :jump:

Salut
Je croâ que toutes les (bonnes) réponses t’ont été apportées, il y a le taux de chute mini, bien sur, mais j’insisterai encore plus sur le bon positionnement dans le thermique, la notion de noyau est quand même assez floue car ce qui compte, c’est la Vz moyenne sur un tour, en clair s’il y a du +4 sur un cylindre de 10 m de diametre, et du +3 autour, il vaut mieux ne pas se faire caguer dans le centre, trop petit et t’obligeant à un virage serré donc dégradant.
Inversement si ton noyau a 40m de diamètre, cela vaut le coup d’y rester. Personnellement, je ne suis pas doué,mais j’en ai vu qui sentent cela comme des oiseaux (Fifi a été cité, cherche pas à t’aligner, il a du naitre avec une plume dans le derche…), mais il y a aussi des voiles qui sont “autocentrantes” comme d’autres qui fuient le noyau en t’éjectant. C’est le cas de la Golden qui te sortira si tu ne lui dit pas ou aller tout le temps.

ca fais plaisir de repencer au thermique et relire les commentaires.

l’histoire de visualiser la masse d’air est je pence le plus important , comme observer tout ce qui nous entoure, a piedrahita quand tu vois monter des brindille ou bout de paille devant toi c’est que ca monte…

et je pence que ca sers a rien de bourinner t’en que tu n’as pas un gro noyaux , aprés c’est le feeling, certain l’ont et d’autres ne l’ont pas, plein d’exemple sur des collegues qui volent trés bien mais que quand c’est berout en l’air, ils reflechissent pas a la masse d’air a la forme ect…

toujours se recentrer surtout en pleine, le thermique montera plus fort au vent dés qu’il y a un peu d’air… voilou mes idées,

Ben mon p’tit eddie? tu déterre un post sur les thermiques en plein hiver? c’est de la nostalgie? de l’impatience? la methode Coué? :mdr: :mdr:

:bisous: