usage de l'accélérateur en thermique: intérêt?

@ Pipou, :coucou:

En fait, mon incompréhension n’était pas vis-à-vis de ton copain Maurice et sa façon d’entrer dans le thermique mais rapport à ceux qui enrouleraient le thermique au barreau…

Pour ce qui d’entrer dans le thermique… Pour moi (et je pense pour la majorité d’entre nous) le thermique comme son entrée sont invisible. Il m’arrive de ressentir des prémices (frissonnement de la masse d’air, descendance qui augmente ou qui diminue, etc) Soit je suis déjà +/- sur le barreau et alors je remonte tous doux les genoux et reprends du contact avec mon bord de fuite. Soit je n’y suis pas et je reste alors au contact voire j’y viens si j’étais freiné (ce qui est quand même rare en phase de recherche d’ascendances)

C’est au contact qu’il me semble que je suis le plus apte à sentir avec quel coté de mon aile je touche l’ascendance en premier et donc de quel coté j’ai sans doute intérêt à enrouler. Ce n’est pas en le traversant comme un boulet accéléré que je mets les meilleures chances de mon coté de rester dedans.

Il me semble que cadencer son virage pour rester dans l’ascendance est déjà assez compliqué à réaliser en se servant de ses mains et un peu de ses fesses qu’il n’y a pas besoin d’en rajouter avec les pieds et de probables mouvements de tangages.

C’est intéressant de constater comment dans notre microcosme parapente ; une façon de piloter utilisé exceptionnellement par des pilotes d’exceptions sur des machines d’exceptions dans des conditions exceptionnelles, peut servir de modèle pour pilotes lambdas sous des machines lambdas dans des conditions lambdas.

:canape:

.

c’est pas une question de vitesse de (transition) de l’aile.
plutot un comportement comme certaines ailes peuvent cabrer en thermique et d’autre vont plonger / le mordre.
la dernière en date (que j’ai essayé) était de chez gin, la remplaçante de la bonanza (me souviens plus de son nom :canape: ) qui d’ailleurs était préconisée avec des trimms

La Nomad?

:pouce: