Vidéo face voile : Suite

Par exemple ceux-ci, et il y en a peut-être d’autres (?) :

http://www.parapentiste.info/forum/techniques-de-base-du-pilotage/methode-de-decollage-par-vent-fort-t38046.0.html

http://www.parapentiste.info/forum/techniques-de-base-du-pilotage/decollage-par-vent-fort-t52994.0.html

Marc

peut être que je me trompe mais je trouve que le pompage dans le début apprentissage est pas top du tout !
je m’explique, je vois énormément de personne qui on pris l’habitude de pompé et qui le font systématiquement résultat quand c’est alimenté il font des gonflage en pompant (par réflexe) et ce retrouve a gérer une voile qui schoute car pas mal d’énergie !!!
et avec les voile moderne, même sans vent j’ai jamais eu besoin de pomper, les seul fois ou je le fais c’est comme sur la video lorsque la voile est en vrac et c’est plus pour la metre en forme !!!
l’avis des pro m’intéresse sur ce sujet !

Gonflant toujours “classique” en me retournant après tempo, il m’est arrivé plusieurs fois, suite à des tempos trop marquées, qua le voile ait perdu son énergie => déco raté.
Ce problème devint classique avec la Diamir, qui avait tendance à dépasser, problème qui disparaissait avec le vieillissement et revenait après révision technique.
Je vois aussi souvent des gens qui loupent leur décollage en se retournant trop tôt.
La vérité est probablement entre les deux techniques et je pense que les deux demandent une perception aussi fine l’une que l’autre de la montée de la voile.
L’avantage me semble quand même aller à la technique “classique” parce qu’on n’engage pas le décollage avant que le voile soit arrivée au-dessus, ce qui est un avantage sur les décos courts parce qu’on n’a pas besoin de s’arrêter et qu’on contrôle la retombée de la voile.
:trinq:

Bonjour,
Vidéo sympa effectivement :pouce:

Bon week à tous.

jamais eu le pb avec ma diamir aussi bien avant que après révision et calage !

Salut

C’est bien de maîtriser les deux. Il y a des tas de choses à travailler en pente école. Mais avec les vols qui s’enchaînent, on va rarement sur la pente quand il n’y a pas de vent. C’est pourtant à ce moment là qu’on apprend à gonfler face-voile normalement et à faire accélérer une aile un peu paresseuse en “pompant”. Je n’aime pas trop le terme, il est plutôt utilisé pour les freins.
Mais c’est clair que c’est une méthode qu’on ne devrait normalement utiliser que lorsque l’aile reste coincée dans la montée.

A+
L