bien vu marc !
ça doit tirer un peu a gauche.
Vol bivouac au féminin.
Et la résistance du mousqueton est bien moins bonne lorsqu’il est ainsi monté de travers.
On apprend qu’il faut faire attention à ce qu’il soit bien dans l’axe…
Marc
Ca reste tout de meme tres largement suffisant pour les besoins en parapente.
En general, c’est pas loin d une tonne en portafaux.
Vu la structure souple (suspente et voile), je ne vois pas comment on pourrait ne serait ce qu’approcher cette valeur en vol.
y’a de la marge quand même si le doigt est bien fermé 
les supair en zicral par exemple c’est generallement (ecrit desus) 20 KN dans la longueur et 7 KN dans la largeur.
edit : grillé par akira
Je ne pensais pas qu’elle était en danger, mais ce n’est pas recommandé…
C’était une simple remarque car cela m’a étonné de la part d’une pilote aussi expérimentée.
Marc
Le pb c’est qu’on n’a pas toujours le choix. Ça m’est arrivé en bi alors que j’avais tout bien vérifié à la prevol…
Mais lors du gonflage, ce foutu mousqueton a vrille…
Rien a faire ensuite en l’air sous tension pour le remettre dans l’axe.
J’ai pas trop aimé ce vol !
j’ai eu le même souci dernièrement suite à changement de prévol.
Jusqu’ici, je détachais systématiquement ma voile, comme je vole avec un ventral, ma prévol était, avec un montage de mousquetons Austria Alpin inox, ouverture vers l’arrière:
- mise en place des élévateurs du secours sur les maillons
- mise en place des élévateurs de la voile, face voile, en faisant tourner d’un demi-tour les élévateurs dans mes mains (pas simple à expliquer, mais, bien maîtrisé, je n’ai absolument jamais eu le moindre problème avec cette technique)
Comme j’ai repris la Kamasutra (avec utilisation secours ventral), j’ai décidé de tenter de laisser la voile solidarisée avec la sellette en permanence. Du coup, ça donne maillons avec ouverture vers l’avant:
- je laisse le secours attaché sur maillon droit en permanence
- élévateurs de la voile attachés en permanence (donc vers l’arrière le temps d’accrocher le secours)
- mise en place de l’élévateur de secours gauche après m’être attaché à la sellette.
Dans cette configuration, avec l’ouverture des maillons vers l’avant, je me suis retrouvé avec l’élévateur droit de la voile qui tirait sur le maillon de travers, comme sur la photo de Kinga…pas top.
J’ai réussi à remettre tout ça en place en soulageant le coté droit et en tirant assez fort sur l’élévateur, mais ça m’a plu moyen. Je dois donc intégrer la remise en place correcte des élévateurs de voile avant décollage :? .
ok, :floodstop: , désolé
:mdr: Si puisque même cela y est :
Trop fort, tout comme B42 qui avait toujours un problème d’élevateur mal monté. :mdr:
un petit joint torique comme pour les secours et le problème est reglé.
En sachant que le plus gros soucis avec cet incident c’est qu’on ne pense plus qu’a ça pendant le vol en oubliant le reste.
Merci 
:lol: :lol: :lol: :lol:
toujours pas vomi… je vais me finir avec la video d’archaleon !
Cool laquelle ?
Oublie pas de partager une photo de ton clavier après 
C’est quand même put… de beau ces Dolomites, même en pano trop speed.
Une bonne façon de démystifier les nuages c’est de toujours être prudent et de respecter la règle des 45 degrés. Perso je préfère largement être au dessus d’un sommet, sous un gros nuage bien sombre qui tire à +6 bien régulier (à condition que les autres autour ne partent pas en congestus) qu’être en bord de caillou dans du +3 haché par la brise. Après c’est certain que quand tu prends 100m par tour, le problème c’est que t’as souvent pas trop le temps d’en profiter, le plaf te tombe vite sur la tête.
Mais j’ai toujours respecté la règle des 45 degrés et j’ai jamais vraiment fini dans un nuage (quelques fermetures de barbulles sous les pieds quand même) et du coup ça aide vraiment à les considérer de manière plus sereine… un peu moins quand tu sors du dit +6 par le côté sous le vent par contre 
:canape:
Du coup tu veux bien l’énoncer cette lois des 45°?
En général plus ça tire plus je reste en bordure des nuages. Si c’est bouché et que ça tire même en vallée c’est qu’il ne faut pas être en l’air… c’est ma règle du coin bleu.
Oui quand le ciel est bien bouché, toujours garder un trou bleu à portée d’aile c’est effectivement judicieux. Mais en général ça ne tire pas trop fort dans ces cas là, ou alors comme tu dis on a rien à faire en vol à ce moment là.
La règle des 45 degrés c’est une traduction basique de ce que tu fais peut être déjà avec tes trous bleus. A savoir de toujours garder un angle inférieur à 45 degrés entre la verticale et le bord du nuage (ou supérieur à 45 degrés entre l’horizontale et le bord du nuage).
De ce fait si tu es loin en dessous, cela te permet de rester au centre et plus tu montes et plus le nuage est large plus tu dois te déporter vers le bord. Ça force souvent à sortir de la zone de meilleure ascendance, mais ça permet d’évoluer en sécurité sans risque de finir perdu dans le coton (sauf à trouver un truc qui monte tellement fort qu’en volant droit vers le bord tu n’arrives pas à rester dans la bonne zone des 45 degrés, mais cela ne m’est encore jamais arrivé même dans des zones en 7/8ème, voire en 7,9/8ème :D).
Je n’arrive pas à visualiser 
Voir image jointe…
Plus tu te rapproche du plaf plus pour respecter cet angle de 45 degrés ça te force à te rapprocher du bord du nuage… le truc vu autrement, tu dois toujours être sous la ligne que j’ai tracé à 45 degrés pour être safe. Si tu es au dessus tu risques de finir dans le nuage.
En gros :
- ton parapente avance à 10m/s horizontal (36km/h)
- tant que tu n’es pas dans un +10, si tu as environ 45 degrés entre l’horizontale et le bord du nuage, tu es tranquille tu pourra forcément sortir de la pompe dans le bleu.
Après pas besoin de sortir le sextant, tu fais ça au jugé, mais l’idée c’est que plus tu montes, plus tu te rapproche du bord du nuage pour rester dans ta zone de confort.
merci Chamalo et les autres, pour ce rappel de la règle des 45°
Excellent, merci