(citation)
En 1935, Laval et Staline discutaient un traité franco-soviétique de mutuelle assistance en cas d’agression. Staline était inquiet du nombre de divisions dont pourrait disposer l’armée française sur le front occidental en cas de guerre. Quand Laval lui demande s’il ne pouvait faire quelque chose pour encourager la religion catholique en Russie et faciliter ainsi les relations entre la France et le Vatican, Staline lui répondit cyniquement : “Oh ! Le Vatican, combien de divisions ?”
(autre citation)
La question de Staline : « Le Vatican, combien de divisions ? » ne se voulait pas seulement une affirmation, mais elle contenait surtout une grande part d’incertitude sur la puissance pontificale. Depuis la création du collège Russicum, le 15 août 1929, afin de préparer des prêtres à un futur travail missionnaire en Union soviétique, les services soviétiques avaient cherché à percer les mystères du Saint-Siège. Dans les années 1930, ils avaient tenté de recruter des agents autour de la Place Saint-Pierre, rencontrant bien des difficultés tant les sympathisants potentiels du communisme étaient peu nombreux dans les sphères ecclésiastiques. Ils parvinrent cependant à convaincre de rares personnes de leur livrer des documents : Alexander Deubner , Eduardo Prettner-Cippico et Alexander Kurtna.
A vrai dire, je me suis fait la même reflexion en écrivant… …et c’est même encore pire parce que les cathos de base, c’est pas eux qui ont choisi leur représentant ! Mais par contre, et la différence est de taille,on est pas obligé d’attendre qu’il meure pour en changer (et en principe, il y a des contre-pouvoirs).
à fond le Jean-Paul II, et que d’un point de vue volume de