Bon ben je m’en sort bien : beaucoup de chance et rien de cassé.
ça s’est passé dans les arbres en dessous de la moquette.
J’y avais déjà fait plusieurs envols seul sans vent,
avec un léger vent de cul en haut.
Cette fois, après avoir décollé juste avant la cassure,
la voile n’a jamais atteint une finesse normale.
J’ai effleuré la cime des premiers arbres…
puis ait basculé sur le dos en m’étalant car j’avais peur à tord d’atteindre la falaise en restant en boule.
Heureusement, un pompier (parachutiste à Chambé… je suis preneur de ses coordonnées si ça vous dit quelque chose !) m’a vu. Ensuite c’est Nico de prévol qui a géré les secours de main de maître (je n’oublie pas le carton de bières promis), et les CRS en hélico. Un grand merci à tous.
Ce qui est vraiment désagréable, c’est de ne pas pouvoir expliquer mon accident de façon évidente.
Pas l’impression que ça ait décroché… ou alors très progressivement.
Conjonction mauvaises habitudes prises (déco pas en charge complète en comptant sur une accélération en plongée + rafale de cul ?)
Ce qui m’a frappé aujourd’hui à la coupe Icare, c’était mon incapacité à comprendre comment l’organisateur arrivait à sentir quand il fallait renoncer à décoller… (j’étais incapable de “deviner” le vent à la cassure).
Enfin, je me rappelle quelques jours plus tôt être repassé chez moi pour un casque oublié…
L’idée de mettre une protection de moto avec ma radicale était géniale.
Mes lunettes m’ont peut-être sauvé un oeil…
Je regrette pas plus que ça le casque intégral (à moins que cela aurait contribué à protéger les yeux?)
Je regrette amèrement de ne pas avoir mis des gants…

… et restez courtois :mrgreen:
), il n’en reste néanmoins qu’il ne faut pas hésiter à se positionner en milieu de terrain au maximum (en haut, ca ne sert à rien), et ne se préoccuper que des 2 petites flamèches rouges à gauche et à droite devant le déco ; quand les deux sont à peu près dans l’axe, ne pas se poser de question et gaz ! ça veut dire que le créneau est là, et qu’il faut y aller.

