Accidentologie du parapente chez les competiteurs : etude comparative

Accidentologie du parapente chez les competiteurs :
etude comparative avec les non competiteurs

En recherchant un doc sur le web, je suis tombé la dessus:
http://dumas.ccsd.cnrs.fr/dumas-01338714/document

Pas encore tout lu (et pas vu a priori de post dessus ?) mais je me suis dit que ca pourrait en intéresser certains ici !

Norbert

pas encore lu mais a priori c’est du miel pour moi. merci Norby d’avoir exhumé ce doc!

Les résultats commencent page 44.
En gros, pas de différence significative entre compétiteurs et non-compétiteurs, le nombre d’accidents est globalement proportionnel au nombre d’heures en l’air.

Tu peux aller directement lire le dernier paragraphe de la page 68 de la “thèse”…
Il n’y a pas grand chose d’autre hormis des statistiques pas trop compliquées sur des données incomplètes/

Edit : grilled

C’est ca un doctorat en medecine ???
J’ai pas choisi la bonne filiere !

La thèse en médecine / pharmacie est une recherche bibliographique plus ou moins poussée qui se fait en général en 6 mois en parallèle du reste, rien à voir avec une thèse en science où là il faut produire des résultats expérimentaux.

Ah ok !

Oué ben j’ai des master2 qui font des rapports de stage de 2 mois qui ont une autre gueule… 6 mois pour ça c’est risible. Si c’est ce qui est attendu par leurs pairs, autant éviter cette perte de temps. Mais bon c’est pas le sujet, désolé…

Bonsoir,

Il est quand même assez incroyable qu’un rapport de thèse (document “officiel”) puisse contenir autant de fautes aussi grossières (et je n’ai regardé le document qu’en diagonale, de façon rapide et superficielle…).

On est quand même au niveau de l’université et les fautes (multiples) sont du niveau du collège, voire de l’école primaire…

Je sais bien que le fond est plus important que la forme, mais quand même…
Personne ne relit donc de tels rapports ! :bang:

:sors:

Marc

Effectivement, une simple analyse de statistiques que tout alternant en formation bac+2 sait faire…

[quote]Le nombre d’heure de vol moyen était de 79.6 heures +/- 84
[/quote]
Whoo, y a des gens avec un nombre d’heure de vol négatif???

Mon pauvre Marc… Si tu voyais les fautes d’orthographe de la prose de mon boss, qui est professeur à l’université, tu en perdrais la vue… Du coup dans ce type de cas, lire les thèses des étudiants n’a pas grand effet sur l’orthographe.

Whoo, y a des gens avec un nombre d’heure de vol négatif???
[/quote]
Au delà du chiffre absurde, comment peut-on avoir une incertitude autour d’une moyenne? Je comprendrais un écart-type autour d’une médiane, mais là?

On retiendra et méditera cette pensée profonde:

“Le décollage est la seule phase du vol où le pilote peut choisir le moment où il s’élance.”

Correction Marc … Personne ne relit lit donc de tels rapports ! :slight_smile:

:mdr: pas mal celle là oui!! :slight_smile:

Mouais, je trouve ça un peu facile de critiquer tel travail.
Il a le mérite d’exister, et on ne connaît pas le contexte d’un tel mémoire. Il apporte une nouvelle lumière sur des stats qui ne sont pas toujours faciles à lire.
Bref.

Ce qu’on peut noter de cette analyse (modulo les données manquantes), c’est qu’on vole effectivement à risque constant.
Et ça c’est important de le remarquer, si on veut faire progresser les statistiques.
Il apparaît que malgré tout ce qu’on investit pour se mettre en sécurité, les formations, les SIV, les heures de vol accumulées, au final on le consomme en équipement plus pointu, en aérologie plus velue, bref en marges réduites.

Je te rejoint Jlg, la critique est facile, faire mieux sans doute bien plus difficile…

Après je rebondis sur une de tes remarques ; "Il apparaît que malgré tout ce qu’on investit pour se mettre en sécurité, les formations, les SIV, les heures de vol accumulées, au final on le consomme en équipement plus pointu, en aérologie plus velue, bref en marges réduites.
On pourrait aussi en déduire que finalement ces investissements pour se mettre en sécurité ne servent pas vraiment parce que l’on ne retient pas le plus important de toutes ces formations, SIV, heures de vol ; la notion de valeur réelle de nos capactés et compétences de pilote. Bref, de l’humilité, de la conscience, de la raison, de la compréhension de soi même.
:canape:

Oh grand sage Wowo, depuis le temps que tu pisses dedans, je crois que tous les violons de l’orchestre sont bien remplis …

En gros, tu peux toujours rabâcher l’étendue (pourtant limitée) de tes obsessions, ce n’est pas ça qui te donnera ni raison, ni force à une argumentation primaire dénuée de fondements.

L’énoncé est mal posé : on investit pas pour se mettre en sécurité, on investit pour être plus fort et mettre la nique à ses idoles. Le reste c’est du blabla :twisted: