C’est jamais, because, aprés le vol, et du à la bière. 
Pour Jeff, moin idée n’était pas de me faire peur, sinon il y a bien longtemps que je ne ferais plus de motos, de plongée, que je n’irais plus dans le désert, etc… mais simplement de prendre conscience pour moi - et ceux qui le souhaitent - du niveau de risque, et donc de la nécessité de maintenir le niveau de vigilence souhaitable (pour moi) et d’adapter en conséquence aussi mon niveau de pratique.
Pour les activités précités par exemple, en + de 30 ans de pratique, j’ai déjà eu des “bobos” mais je ne suis jamais passé par la case hôsto. Même si j’en accepte l’augure, j’essais de faire en sorte de l’éviter.
Pour le parapente, j’accepte certain dommages corporels : ampoules à la montée, chevilles foulées à la descente, égratignures lors d’arbirssage dans des bosquets,… par ex.
Peut-être un os facturé sur une fois sur un membre et sur une carrière complète. Mais je ne veux pas considérer cela comme un élément courant de ma pratique, idem pour les atteintes à la colonne vertébrale.
Si, comme cela semble se dessiner 40% des pilotes ont eu des blessures que l’on peut considérer comme non négligeables, je ferais en sorte d’essayer d’être largement plus prudent que la moyenne.
S’il n’y avait que 1.2% à être dans ce cas… cela pourrait-être mis sur le compte d’une erreur exceptionnelle dans une vie de pilote.