Bonjour,
En furetant sur le net à mes moments perdus, j’ai découvert ce constructeur espagnol: http://adrenaline.com.es/Adrenaline_Paragliders/HOME.html
Apparemment, ils sont assez orientés sur matériel de montagne.
Et ils sont en train de développer, à l’instar d’Ozone, un parapente sans intrados
Quelqu’un connaît, ou vole, avec leurs matériels ?
visiblement cette nouvelle marque n’intéresse personne c’est dommage ils font peut etre du bon matos
Ben moi ca m’ interesse, vu les prix qu’ils pratiquent 
Les perfs de leurs ailes sont plutot interessantes je trouve.
qq1 a t il plus d’info depuis aout ???
Dans cette vidéo, la société Certika (tests partiellement assimilables aux normes d’homologation EN) compare le comportement des deux challengers lors de certaines manœuvres comme la fermeture et le décrochage. C’est très intéressant, mais il ne faut pas perdre de vue que les tailles des deux modèles sont sensiblement différentes : la XXlite testée a 16 m2 (bien qu’Ozone a également une 19m2 dans son programme), la Batlite 22m2. Cet écart significatif explique sans doute, entre autres, la reprise bien plus impressionnante de la XXlite après un décrochage.
Il n’y a que moi qui trouve cette aile carrément craignos du point de vue sécurité ?
Bonne chance aux apprentis voleurs qui l’achèteront pour son caractère facile et débonnaire.
Bonne chance aux alpinistes qui l’achèteront pour le poids et l’encombrement, tout en étant limite dans leur pratique du parapente.
32 km/h à fond et 30 bras hauts ça vous cause ? Avec en plus l’impossibilité d’engager des 360… !
Il faudra absolument respecter le fait de voler en aérologie nulle à douce, et avec la certitude de l’absence d’évolution des conditions.
Ce sera sympa pour les premiers qui vont se faire piéger dans une dégueulante, un effet bagnard, une brise de fond de vallée non-prévue ou encore vont se faire tirer en marche arrière dans les reliefs par un frontelet qui arrive à peine plus vite que ce qu’on croyait !
Hello Hécate, même si je partage ton point de vue, on peut voir les choses différement:
Ce n’est qu’une question de marge. Mais j’imagine que ceux qui achètent ce matériel aiment marcher avant tout, ils redescendront à pied tout simplement plus souvent que les autres. Il y a beaucoup de journées avec moins de 15 km/h de vent. 
Pour relativiser, les limites annoncées sont en gros celles que nous avions avec les premières voiles que j’ai utilisé. A l’époque, je n’ai jamais fait de marche arrière. Il “suffit” de mettre en adéquation le choix des conditions et les limitations techniques du matériel.
A tester en conditions réelles bien sur, je ne fait que moyennement confiance aux tests vidéos. Je suis très curieux de voler sous simple surface, cela aurait un gout de retour aux sources quand je volais sous mon premier delta.
30 km/h bras hauts, non.
On a eu à une époque des ailes qui volaient à 33 km/h bras hauts… et certains ont eu bien des problèmes dessous !
On se fait déjà des chaleurs involontaires avec des voiles qui avancent à 36…
Là c’est du 30 ! Il n’y a aucune marge par rapport aux changements imprévus dans notre micro-aérologie. On raisonne comme si les pilotes maîtrisaient l’évolution des conditions.
Ne serait-ce que sur un “simple” vol montagne de grand dénivelé, le nombre de couches et de changements de conditions rencontrés peut être impressionnant. Va falloir se cantonner aux vols d’hiver sans aucun vent et tout enneigé jusqu’en bas.
Mais bon, il me tarde de voir l’utilisation réelle de cette aile…
Tu n’as pas volé avec cette merveilleuse Alnaïr d’ITV ? 
Un bouchon qui permettait de relativement bien monter en thermique pour l’époque, mais qui n’avançait pas une cacahouète. De plus la mauvaise finesse des voiles de l’époque convertissait mal la vitesse sur trajectoire en vitesse horizontale.
On volait avec des marges plus grandes car on se savait limité en vitesse.
Assez d’accord avec Hécate.
Une voile montagne qui n’accélère pas et qui vole à 30, c’est pas une voile montagne. Je m’imagine pas avec ce genre de voile à Chamonix. Une brise de 25-30 km/h c’est relativement courant en milieu d’aprèm. Et c’est typiquement dans ce genre d’aérologie ou ça doit pouvoir voler.
Pareil en vol rando pour poser près de la bagnole en fond de vallée…
Pour une vraie utilisation voile montagne, je vais attendre un peu que le concept soit un peu plus abouti. Parce que c’est vrai que la taille du paquet et le poids ça fait un peu rêver quand même…
On n’est pas loin du dialogue de sourds, là. :mrgreen:
Rhôôô, mauvaise langue Michel!
Je dis juste que je suis pas encore prêt à troquer ma voile montagne, qui, certes, pèse 2,7kg mais qui détrimée, passe allègrement les 60!
Parce qu’une voile montagne monosurface qui permet de redescendre plus souvent à pieds (certes qu’avec 1 kg et des poussières sur le dos), c’est pas une avancée majeure dans le parapente montagne! :mrgreen: