Pour moi, smartphone = ordinateur de bord, capable de calculer pleins de trucs en fonction des différentes infos qu’il reçoit (finesse, vitesse, position du thermique, dérive…) + interface graphique et sonore du vario.
Plus le vario est précis, plus les calculs et résultats le sont.
Pour avoir quelques fois utilisé le baromètre du téléphone au lieu de celui du vario, la différence de réactivité est énorme et ça dessert plus qu’autre chose.
Au final, ma réflexion est la suivante : on a (presque) tous un smartphone dans la poche pour aller voler, il ne leur manque que quelques bonnes sondes pour devenir l’équivalent d’un vario-GPS à +200€ qui ne sert, lui, qu’à ça, prend de la place et pèse son poids. Je complète simplement mon smartphone et ne m’encombre pas d’un autre instrument.
Certes, c’est energivore, mais je complète également cet équipement d’une batterie externe et le tour est joué.
Je rajouterai la sécurité du GPS/livetracking gratuit dispo avec certaines applis…
…et j’ai mon téléphone sur le cockpit, du coup quand je suis au plaf je me mets de la musique douce, ou réponds aux parapotes qui ont fait un tas et veulent savoir où je suis car la radio ne passe plus 